Archives mensuelles : avril 2012

Quelle sont les différence entre la prise d’une pilule contraceptive et la prise de la pilule du lendemain ?

 

 

Quelle est la différence entre la pilule contraceptive et la pilule du lendemain ?

La pilule contraceptive  (ou classique ) est celle que l’on prend quotidiennement afin d’éviter une grossesse. C’est un médicament faiblement dosé en hormones féminines (oestrogène ou progrestérone). Malgré des contre-indications par exemple tabac, hypertention … Chez certaines femmes, cette pilule n’a que très peu d’effets secondaires. On peut la nommer la pilule classique. Elle assure une contraception sûre et efficace à long terme.

Par opposition,  la pilule du lendemain (contraception d’urgence) est une pilule à n’utiliser qu’en cas d’urgence.  Ce médicament est fortement dosé en hormones féminines (oestrogène ou progrestérone) et évite entre autres la nidation de l’oeuf  une hypothèse du mode d’action.

 

Quelle sont les effets secondaires de la pilule classique ?

Les effets secondaires de la pilule apparaissent généralement dès les premiers mois de la prise de la pilule et disparaissent par la suite. Si un effets secondaires persistent il est fortement conseillé de changer de pilule. Comme tous les traitements hormonaux, les effets secondaires peuvent varier dans leur degré de gravité en fonction de votre corps.

Les effets secondaires fréquents sont : maux de tête, nausée, légère tâches entre deux périodes, prise de poids léger et sensibilité des seins. Il y a de plus grave effets secondaires comme : une thrombose veineuse profonde ou une coagulation du sang, des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux et peut augmenter certains risques de développer des cancer, notamment du sein, du col de l’utérus et le cancer du foie.

Les femmes qui fument, qui ont des antécédents de thrombose, qui sont en surpoids et celle qui ont plus de 50 ans ont plus de risques d’avoir des effets secondaires.

La pilule classique est-elle un danger ?
La pilule contraceptive est sans danger dans le sens où elle vous protège d’une grossesse non désirée. Il y a eu beaucoup de débat quand à savoir si il y a un risque accru de cancer lors de la prise de la pilule.  Dans le passé, on a pensé que la pilule augmentait le risque de développer un cancer de sein , mais plus récemment des études ont prouvé qu’il n’y avait pas de risque global chez les utilisatrices de pilule. Il peut y avoir une légére augmentation du risque du développer un cancer du col de l’uterus, mais cela peut être éviter en faisant des frottis régulièrement.


Les sacrifiés de Fukushima.

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Donner sa vie avec l’espoir fou que cela puisse sauver celle des autres.  Il y a là-bas une cinquantaine de personnes qui ont hypothéqué leur vie en espérant que leur sacrifice permettra de sauver leur pays, et tant d’autres vies à travers le monde. Des anonymes engagés avec détermination contre des forces terrifiantes. La mission est simple : refroidir coûte que coûte les réacteurs. Pour cela, il faut aller au cœur de la centrale. Les systèmes de refroidissement ayant été détruits, il faut d’une part pomper l’eau de mer, la transporter dans des camions-citernes pour l’injecter dans les réacteurs, et d’autre part actionner manuellement les vannes pour faire baisser la pression.

http://s2.lemde.fr

 

Ils interviennent équipés de combinaisons intégrales, branchées sur un compresseur ou dotées de bouteilles d’oxygène portables, voire d’un casque en surpression, pour se protéger de tout risque d’exposition cutanée, d’inhalation ou d’ingestion de particules radioactives. Ils tentent de se mouvoir dans la chaleur étouffante des bâtiments, due au dégagement de chaleur des combustibles.

http://images12.levif.be

 

Passé un certain seuil, les rayonnements gamma percent tout. La dose maximale admissible est de 20 millisievert (mSv) par an pour les travailleurs du nucléaire. Elle a été portée mardi par les autorités japonaises à 250 mSv. Et on évoque des débits de dose radioactive de 400 à 500 mSv/heure donc les pompiers ne sont pas sûrs de survivre très longtemps, exposés à de telle doses.

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De plus, afin de réaliser une cartographie précise des zones contaminées autour de la centrale nucléaire accidentée, l’université de Fukushima a émis l’idée d’utiliser des singes et des sangliers équipés de différents outils de mesures. Si la situation de la centrale de Fukushima est considérée comme stabilisée depuis des mois, la possible radioactivité environnante continue de susciter l’inquiétude. Afin de mesurer avec la plus grande précision les niveaux de radioactivité autour de la centrale de Fukushima, l’université de la préfecture japonaise a eu une idée pour le moins spéciale : envoyer des singes et des sangliers dans les zones irradiées. Les animaux permettront de cartographier des lieux difficiles d’accès. Dotés de GPS, de dosimètres et de compteurs Geiger, ces cobayes permettront de réaliser des mesures qui viendront compléter les données recueillies lors de survols en hélicoptère et en avion des zones contaminées. L’idée n’est pas nouvelle. En octobre dernier en effet, des singes avaient déjà ainsi été utilisés. Mais les données récoltées grâce aux bracelets électroniques dont ils étaient équipés n’avaient pas pu être récupérées.

 

De nombreux êtres humains se sacrifient chaque jour pour sauver la population japonaise et même la population mondiale. Même des animaux sont sacrifiés pour aider les  « sacrifiés »  à faire des mesures  ou à cartographiés la zone. Nous pensons que ces hommes sont des héros car ils meurent chaque jours pour sauver le « destin » de la planète.

Article réalisé par Chauvet Alexis et Dumont loup

Les méthodes contraceptives.

Les méthodes contraceptives :

 

Introduction : Les méthodes contraceptives visent toutes à faire en sorte que le procréation d’un enfant ne survienne qu’au moment choisi par le couple. Ces méthodes, très variées, agissent soit localement soit de façon globale en modifiant l’équilibre hormonal féminin. Les méthodes locales ont deux objectifs : Empêcher la rencontre des gamètes mâles et femelles, donc empêcher la fécondation (par exemple, les préservatifs masculins et féminins). Empêcher la nidation et donc s’opposer au déclenchement de la grossesse (par exemple, la pose d’un stérilet). Les méthodes hormonales : ce sont actuellement les méthodes les plus utilisées et les plus efficaces. Elles consistent à absorber sous forme de pilules, des hormones stéroïdes de synthèse (œstrogènes, progestatifs…). Ces hormones modifient le cycle hormonal naturel de la femme soit en empêchant l’ovulation, soit en empêchant la nidation de l’œuf, soit en rendant la glaire cervicale imperméable aux spermatozoïdes. Les méthodes contraceptives ne protègent en rien contre les maladies sexuellement transmissibles. Seul le préservatif est à la fois une méthode contraceptive et une protection contre les MST.

Source : http://www.palais-decouverte.fr/index.php?id=495

 

1/Le préservatif féminin


  • C’est quoi ?

Le préservatif féminin se présente sous la forme d’une gaine souple avec deux anneaux flexibles à chaque extrémités. Il s’insère au niveau du vagin, un anneau se mettant au fond, tandis que l’autre vient reposer sur la vulve à l’extérieur. Tout comme le préservatif masculin, il empêche le sperme de se répandre dans le vagin. On le trouve dans les pharmacies et dans les lieux de prévention.

  • Comment l’utiliser ?

Gare à la déchirure lorsque vous le sortez de l’emballage. Adoptez tout d’abord une position confortable afin de le poser. Le mieux est de se trouver assise ou couchée, voire debout en écartant une jambe. Prenez l’anneau intérieur entre le pouce et l’index, puis pressez. Insérez le délicatement dans le vagin le plus loin possible. Passez votre index dans le préservatif, puis poussez le jusqu’à ce que l’anneau intérieur soit au fond. Attention, l’anneau externe doit rester en dehors du vagin, et reposer sur la vulve. Pendant le rapport, il faut toujours vérifier que le pénis soit à l’intérieur du préservatif. Pour le retirer, il suffit de tourner l’anneau externe, pour que le sperme ne s’écoule pas au dehors, et de le tirer délicatement.

invonv vantages
- Un peu plus cher que le préservatif  masculin.

* Il est plus solide que le préservatif masculin, il y a donc moins de possibilité de déchirures éventuelles .

* Il peut être mis en place longtemps avant le rapport (jusqu’à plusieurs heures)

* Il ne comprime pas le sexe masculin .

* N’étant pas en latex, il ne provoque pas d’allergie .

Protection MST : vrai Protection grossesse :vrai

- Les anneaux ne font pas mal.

- Le préservatif, s’il est bien posé, ne bouge pas pendant le rapport.

- Il est facile à mettre en place.

 

Source : http://sante.ados.fr/dossiers/contraception/preservatif-feminin.html

 

2/Le préservatif masculin


Le préservatif masculin est indispensable lors des rapports sexuels. Il retient le sperme en l’empêchant d’entrer dans le vagin.

  • Comment l’utiliser ?

Avant toute chose, on vérifie que l’emballage comporte la mention NF ou CE… C’est un gage de qualité, la marque ayant été testée par les organismes de contrôle avant d’être commercialisée. Ensuite, on ouvre l’emballage avec beaucoup de précautions : utilisation des dents interdite, sous peine de déchirure.
L’extrémité du réservoir (la partie qui ressort) doit se trouver vers l’extérieur : on pince l’extrémité pour en chasser l’air. On le place sur le bout du pénis en érection et on le déroule tout le long jusqu’à sa base, tout en maintenant le réservoir. Si le préservatif s’en va au cours de votre rapport, changement obligatoire. Après éjaculation, il faut se retirer en maintenant la base du préservatif et mettre celui-ci à la poubelle.

invonv vantages
- Rien à signaler de particulier.

- Un des seuls moyens de se prémunir en même temps des maladies sexuellement transmissibles et les grossesses non désirées.

- Moyen de contraception que l’on peut trouver facilement.

- Prix modique voire gratuit dans certains centres.

Protection MST : vrai Protection grossesse :vrai

- Utiliser deux préservatifs ne protège pas plus.

- Il existe plusieurs tailles de préservatif : oubliez l’excuse du pénis trop grand (ou trop petit…).

- Lavage interdit bien sûr : un préservatif ne sert qu’une seule et unique fois.

- Le Sida peut se transmettre durant les préliminaires.

 

Source : http://sante.ados.fr/dossiers/contraception/pilule-du-lendemain-ivg.html

 

3/La pilule contraceptive


La pilule contraceptive est un contraceptif hormonal féminin . Elle se présente sous la forme de comprimés.

Comment l’utiliser ?

On les prend de manière quotidienne. Pour les plaquettes de 21 comprimés, c’est une par jour pendant 21 jours puis on arrête pendant 7 jours, période des règles. Pour celles de 28 comprimés, il faut toujours en prendre, sans jour d’arrêt. Le rythme est mensuel. Si l’oubli est supérieur à douze heures, il n’y a plus de protection. Pour les pilules microdosées, le seuil est de trois heures.

invonv vantages

- Un simple oubli peut remettre en cause la protection.

- Quelques effets plus ou moins indésirables peuvent parfois survenir : les peaux soumises à l’acné ou les cheveux peuvent parfois se graisser. (sutout pour les pilules progestatives)

- Si vous êtes sous traitement, certains médicaments peuvent atténuer son effet.

- Protection très efficace, connue et reconnue (entre 85 et 97% de protection).

- L’effet est immédiat.

Protection MST : faux Protection grossesse :vrai

- La pilule ne rend pas stérile, son effet s’estompe dès qu’on l’arrête.

- Elle ne favorise pas le cancer du sein.

Source : http://sante.ados.fr/dossiers/contraception/pilule.html

 

Conclusion: La contraception est-elle bien utile ?

La contraception est très utile si l’on ne souhaite pas avoir un enfant. Mais elle a aussi d’autres atouts. Revue de détail. Combinaison de deux hormones (le plus souvent) de synthèse, un estrogène et un progestatif, quelle que soit sa forme (pilule, patch ou anneau), elle a été conçue pour empêcher une grossesse. Ses avantages collatéraux ont été au fur et à mesure mis en évidence si bien que certaines filles la prennent, toujours sur ordonnance d’un médecin, alors qu’elles n’ont pas de rapports sexuels.

 

 

Lejemble Emma

Guillemeau Ophélie.

Energie fossile et énergie renouvelables : le nucléaire et l’éolien

1.INTRODUCTION

L’énergie nucléaire en France produit 421,1 millions de kilowatt/heure (75,2% de la production d’électricité en France).

L’énergie éolienne en France produit  (1,5%de la production d’électricité en France).

 

 

2.COMMENT CA MARCHE ?

2.1 Le nucléaire

Dans une chaudière appelée réacteur nucléaire l’eau est chauffée par les calories dégagées par la fission de l’uranium contenu dans les crayons combustibles. Ce phénomène se déroule sous forme de réaction en chaîne, contrôlée dans le coeur du réacteur par des barres de contrôle, et libère de la chaleur.

Un pressuriseur est chargé de maintenir l’eau à une pression de 155 bars afin qu’elle n’entre pas en ébullition. L’eau circule à plus de 300°C dans un circuit étanche dit primaire et alimente les générateurs de vapeur.

Au contact des tubes des générateurs, l’eau d’un deuxième circuit appelé secondaire, se vaporise. Cette vapeur fait tourner la turbine. Un alternateur couplé à la turbine produit l’électricité en 20 000V et un transformateur élève la tension à 400 000V avant son transport sur le réseau national de distribution.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2.2 L’éolien

Dans la nacelle, l’hélice entraîne l’arbre de transmission relié à l’alternateur. L’énergie de mouvement lors de la rotation de l’arbre permet de produire un courant électrique alternatif. Une vitesse de 15 tours par minutes n’est pas suffisante pour faire fonctionner correctement l’alternateur, c’est pourquoi un multiplicateur de vitesse est positionné juste avant afin d’augmenter la vitesse de rotation à 1500 tours/minute.

Le transformateur situé à l’intérieur du mât élève la tension du courant électrique pour qu’il soit facilement transportable dans les lignes à moyenne tension du réseau.

 

 

3.Le démantèlement

 

3.1Le nucléaire

Le démantèlement contrairement à la déconstruction comprend la destruction de tous les composants, y compris les réacteurs nucléaires.

Le démantèlement est classé en trois étapes comme suit :

  1. mise à l’arrêt définitif
  2. démantèlement partiel
  3. démantèlement total

Le stockage des déchets nucléaires peut se faire soit en surface, à faible profondeur, en couches géologiques profondes ou en mer.

 

3.2 L’éolien

Le démantèlement est la phase finale d’un projet : l’éolienne est démontée, le site est débarrassé de tous les équipements liés au projet et le terrain restitué à son usage initial ou à un autre usage approuvé.

La durée de vie d’un parc éolien est estimée à 20 ans, une fois l’exploitation achevée la règlementation précise, dans l’article L 553-3 du Code de l’environnement, que l’exploitant d’une éolienne est responsable de son démantèlement et de la remise en état du site.

Le démantèlement d’une installation éolienne doit comprendre :

  • le démontage de l’éolienne;
  • le démontage des équipements annexes;
  • démantèlement du poste de livraison
  • l’arasement des fondations
  • desempierrement des chemins d’accès aux éoliennes
  • le devenir du réseau local de connexion au réseau électrique.

 

4. .Les accidents

 

4.1 Le nucléaire

Les accidents nucléaires sont classifiés dans 8 niveaux selon leur gravité.

Les accidents de Tchernobyl et de Fukushima sont des accident de niveau 7.

 

 

Les accidents nucléaires provoquent la contamination du lieu. En France, la distribution de pastilles d’iodes stables est prévue car la protection de la glande thyroïde est réalisée par absorption d’iode stable qui prévient la fixation ultérieure d’iode radioactif.

 

4.2 L’éolienne

 

Video :

 

 

5.Conclusion

 

En fait, l’homme a depuis toujours utilisé l’éolien (ou le vent c’est pareil), on a tendance à l’oublier : bateau à voile, moulin … et même pour sécher le linge !  Malheureusement l’homme a par la suite remplacé l’éolien pour une autre énergie moins capricieuse qu’il pouvait maîtriser. L’homme n’aime pas ne pas maîtriser, c’est comme çà.

 

 

Article fait par Vincent et Morgan

La truite

I / Introduction : Définition et étymologie

Nous cherchons à savoir comment les truites se maintiennent-elles dans les rivières. Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8e/Truite_gold.jpg/250px-Truite_gold.jpg

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truite dorée.

II / Localisation :

Les truites vivent dans des eaux claires et vives. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Les truites sont  plus fréquemment retrouvés dans les rivières, de première catégorie. En 2012 l’ouverture de la truite s’est faite le 10 mars. Les premiers pêcheurs pouvaient mettre les « cannes à l’eau » une demi heure avant le lever du soleil. C’est pareil pour tous les pêcheurs français. Quant à la date de fermeture, elle est fixée le dimanche 16 Septembre.

III / Description :

http://www.truitesetrivieres.com/connaitrelatruit/index.html

http://www.truitesetrivieres.com/connaitrelatruit/index.html

les parties de la truite.

 

  • 1: Bouche
  • 2:Oeil
  • 3:Nageoire dorsale, sert pour la rotation droite/gauche
  • 4:Adipeuse
  • 5:Opercule
  • 6:Nageoire pectorale, sert pour la direction haut /bas
  • 7:Ligne latéral
  • 8:Nageoire pelvienne,sert pour l’équilibre de la truite
  • 9:Nageoire anal, en complément de la nageoire dorsale, direction droite/gauche
  • 10:Nageoire caudale, sert à la propulsion

Certains individus atteignent une trentaine de kilogrammes. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d’années.

IV/Moyen de peuplement :

Pour garder la population des truites nombreuses dans les rivières, il existe des associations telle celle de « la truite fariot » qui siège à La Châtre. Cette association densifie les rivières de l’Indre. A chaque sortie, elle dépose environ 1000 truites dans les rivières.

Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu’il s’agit d’espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu’il s’agit d’introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d’être anormalement porteurs de maladies ou parasites.

V/ Les fraudes :

Certains pêcheurs font de la surpêche, c’est à dire qu’ils prennent plus de poissons que la limite autorisée. Dès qu’un pêcheurs va à la pêche il ne peut pas prendre plus de 6 truites. D’autres pêcheurs eux, pêche sans respecter les lois, soit en pêchant avant l’ouverture, soit en mettant des batteries dans la rivières ce qui électrocutent les poissons qui vont remonter à la surface et qui vont les pêcher avec un filet. Pour surveiller les fraudes il existe des gardes pêches.

VI / Conclusion :

Pour conclure, je peux dire que si les associations pour repeupler les rivières n’existaient plus, il n’y aura peut être plus de poissons au jour d’aujourd’hui.

Travail réalisé par CORDIER Cédric et LANGLOIS Flavien.

TRANSFUSIONS SANGUINES, GREFFES ET TRANSPLANTATIONS

Chaque jour, nous entendons parler des groupes sanguins et nous voudrions savoir pourquoi il est important de connaître son groupe sanguin.

 

I- Qu’est ce qu’un groupe sanguin ?

Le sang sert à transporter l’oxygène dans tous les organes du corps humain. Il est constitué de plasma (55%) et de cellules sanguines (45%). Ces cellules sanguines sont elles-mêmes divisées en trois catégories : les globules blancs, les globules rouges, et les plaquettes sanguines.

Séparation du sérum et du plasma

Séparation du sérum et du plasma. Photo prise par Léonie en stage en entreprise

 

La découverte du système ABO, le premier de ces systèmes, en 1900, par Karl Landsteiner a permis de comprendre pourquoi certaines transfusions sanguines étaient couronnées de succès, alors que d’autres se terminaient tragiquement.

Le groupe sanguin d’une personne dépend des antigènes (c’est-à-dire des protéines et des sucres) présents à la surface des globules rouges dans son sang.

II- A quoi sert-il ?

Les principaux groupes sanguins sont ceux qui définissent les systèmes  ABO et Rhesus et Kell, mais il en existe beaucoup d’autres. Ces trois systèmes sont les plus importants, en pratique. Le premier, ABO, car il entraîne un accident transfusionnel immédiat en cas de transfusion incompatible, et de ce fait a été le premier découvert. Le second, Rhésus, car l’immunogénicité de deux de ses antigènes (D – RH1 et c – RH4 surtout) entraîne très fréquemment des immunisations sources d’accidents ultérieurs et d’incompatibilités fœto-maternelles. Le troisième système, Kell, car l’antigène Kell est très immunogène, moins cependant que l’antigène RH1, D, et donne de ce fait, mais moins fréquemment, les mêmes complications.

La détermination du groupe dans ces trois systèmes en ABO (A, B, AB ou O), en Rhésus (+ ou -), ou en Kell (+ ou -) se base, comme pour tous les systèmes, sur les caractéristiques des antigènes présents à la surface des érythrocytes et, pour le système ABO, sur les anticorps présents dans le sang.

 

Explication analyse de groupes sanguins. Photo prise par Léonie en stage en entreprise.

 

Il existe trois types d’antigènes (A, B et AB) qui permettent de distinguer quatre groupes sanguins différents. Le groupe O se caractérise par l’absence d’antigènes à la surface des globules rouges. Il est important de connaître son groupe sanguin lorsqu’on subit des opérations médicales. Certain groupes sont plus rares que d’autres (B-, A-…) donc il y a moins de donneurs ; pour ces cas là on pratique l’auto-transfusion, ce qui est moins risqué pour les transmissions maladies.

 

Sources : wikipédia.org  ; l’internaute.com

CHAMPAGNAT Ophélie ; VIVIER Audrey ; CHASTANG Léonie