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Articles produits par les élèves de 3e6 pendant l’année scolaire 2009-2010.

Greffes et Transplantations

GREFFES et TRANSPLANTATIONS.

Ce sujet va concerner l’histoire de la greffe , la façon de se procurer un coeur ou un rein ainsi que les précautions à prendre.

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DEPUIS QUAND GREFFE-T-ON ?

Les premiers succès chez l’ Homme sont :

- 1959 pour le rein

- 1967 pour le coeur

http://www.france-adot.org/don-organe/don-organes.php

COMMENT PEUT-ON SE PROCURER UN COEUR/UN REIN POUR UNE GREFFE ?

À partir d’un donneur vivant

Une personne en bonne santé a la possibilité de donner un organe de son vivant. C’est le cas par exemple du rein, d’une partie du foie ou très rarement du poumon. On peut en effet vivre en bonne santé avec un seul rein, une partie du foie (car c’est un organe qui se régénère rapidement) ou une partie des poumons.

Ce don n’est possible que si le donneur est majeur et très proche génétiquement du receveur. La loi de bioéthique fixe la liste des personnes qui peuvent donner un organe de leur vivant. Cette liste est constituée par la famille proche (père, mère, conjoint, frères et sœurs, enfants, grands-parents, oncles, tantes, cousins germains, conjoint du père ou de la mère), ainsi que toute personne ayant vécu pendant au moins deux ans avec le receveur.

Les transplantations issues de donneur vivant les plus fréquentes concernent le rein, le risque pour le donneur étant extrêmement faible. Elles présentent en outre plusieurs avantages pour le receveur : elles fonctionnent en général mieux et plus longtemps que les greffes de rein à partir de donneur décédé. En outre, elles permettent de raccourcir ou de supprimer la période difficile d’attente en dialyse, ce qui comporte des avantages considérables sur les plans familiaux, personnels et professionnels. Pour le foie et le poumon, les risques pour le donneur sont beaucoup plus importants.

Il n’y pas d’age limite pour être donneur

http://fr.wikipedia.org/wiki/Greffe_(m%C3%A9decine)#Pr.C3.A9l.C3.A8vement_d.27organe

http://a33.idata.over-blog.com/2/27/51/39/passports-cartes-temoins.gif

QUELLES  PRECAUTIONS FAUT-IL PRENDRE POUR FAVORISER LA REUSSITE D’UNE GREFFE ?

Il faut :

- d’ une part, greffer un tissu ou un organe dont les caractéristiques bilogiques soient les plus proches de celle du receveur : c’est la compatibilité tissulaire

- d’ autre part, maîtriser les phénomènes inéluctables de rejet.

http://www.france-adot.org/don-organe/don-organes.php

La géothermie

La géothermie .

 

 

I/ Qu’est ce que la géothermie ?

La géothermie en France est un mode de chauffage électrique économique.

II / A quoi sa sert ?

La géothermie consiste à extraire et exploiter la chaleur du sol. La température de la croûte terrestre augmente avec la profondeur de forage ( environ 0.03°C par mètre de profondeur).
On capte pour cela l’eau présente en profondeur .Le sol doit présenter des eaux souterraines circulant dans les fissures de roches poreuses ( appelées aquifères). La géothermie de haute énergie est exploitée pour la production d’électricité.C’est la géothermie très basse énergie dont on entend le plus parler actuellement, et qui va se développer.

http://www.encyclopedie-gratuite.fr/ecologie/energie/chauffage-geothermie.php

III / Combien ça coûte et où cela s’installe ?

Le coût du MWh thermique livré au réseau est de l’ordre de 12 € pour une opération-type de la région parisienne.Les ressources à haute température françaises se trouvent dans les DOM (régions volcaniques), mais des ressources moyenne température existent en métropole.

http://energiespropres.free.fr/doc/Les%20Energies%20Propres-25.htm

COMMENT PUIS-JE CONTRIBUER A PRESERVER UNE RESOURCE EN EAU POTABLE POUR LES GENERATIONS FUTURES ?


Introduction :
On a coutume de qualifier la Terre de « planète bleue », car l’eau recouvre les trois quarts de sa surface. Mais la majorité de l’eau présente sur Terre est salée et l’eau douce n’est pas bien répartie entre les différents pays ou régions du globe. Et, à mesure que la population mondiale augmente, les besoins en eau de l’humanité ne cessent de croître.


I Les ressources en eau dans le monde.

1) 1 400 millions de km3… mais beaucoup moins d’eau douce.

 


Si la Terre est bien la planète de l’eau, c’est avant tout la planète de l’eau salée, cette dernière représentant 97,2 % du volume. Il ne reste donc plus que 2,8 % pour l’ensemble des eaux douces des terres émergées : glaces, eaux souterraines, cours d’eau, lacs. 70 % de ces eaux douces sont concentrées dans les glaces des pôles et la majeure partie du reste se trouve dans les sols, sous forme d’humidité, ou dans des nappes souterraines très profondes, inexploitables pour l’homme.Au final, l’homme ne peut utiliser que moins d’1 % du volume total d’eau douce présent sur Terre. Ceci englobe les cours d’eau, les réservoirs naturels ou artificiels (lacs, barrages…) et les nappes souterraines dont la profondeur n’est pas trop importante pour qu’elles soient exploitables à des coûts abordables.

 


On évalue à 40 000-45 000 km3/an, la ressource mondiale en eau continentale. Mais, du fait de la forte croissance démographique couplée à l’industrialisation, l’urbanisation et l’intensification agricole, la ressource en eau renouvelable et disponible n’était plus que de 7 500 m3/personne/an en 1995. Elle devrait chuter à moins de 5 100 m3/personne/an en 2025.


2) Des besoins en hausse constante

 



A l’échelle de la planète, les prélèvements d’eau ont été multipliés par plus de 7 entre 1900 et 1995, soit un rythme de croissance plus de deux fois supérieur à celui de la population mondiale. En rapportant l’ensemble des besoins actuels en eau de l’humanité à la population totale, on estime à 500 m3 les besoins annuels moyens en eau, par habitant, tous usages confondus.La population mondiale a plus que triplé depuis le début du siècle, pour atteindre aujourd’hui près de 6 milliards d’individus. Au rythme actuel, elle devrait dépasser les 8 milliards en 2025 et pourrait doubler d’ici la fin du XXIème siècle. Les répercussions sur les besoins en eau sont multiples : plus d’hommes signifie plus de personnes à abreuver, plus d’activités humaines consommant de l’eau et, surtout, plus de bouches à nourrir. L’agriculture est responsable du formidable développement des consommations d’eau au cours des dernières décennies.

 


Ce développement de l’irrigation, qui contribue à 40 % de la production alimentaire mondiale (pour seulement 18 % des terres cultivées) est directement lié à la croissance démographique. D’autant qu’elle concerne surtout les zones arides ou semi-arides où les ressources en eau sont, par définition, limitées et où la croissance démographique est particulièrement forte. Plus des deux tiers des terres irriguées se trouvent en Asie dans les zones à forte densité de population, où la forte croissance démographique a justifié une intensification de la riziculture.

Or, l’eau prélevée pour l’irrigation est en grande partie consommée (une partie humidifie les sols et est absorbée par les plantes… mais la plus grande part s’évapore) et ne peut donc servir à d’autres usages. De plus, trop de systèmes d’irrigation ont encore, dans le monde, des rendements beaucoup trop faibles (trop d’eau qui s’évapore sans même nourrir les sols ou les cultures).

D’autres facteurs influent sur les consommations d’eau, tels que l’urbanisation et le niveau de développement des pays. Ainsi, la consommation d’eau par jour et par habitant, hors besoins agricoles, s’élève à 300 litres aux Etats-Unis, 100 à 200 litres en Europe (137 en France), pour seulement quelques litres dans certains pays du Tiers-Monde (à peine le minimum pour survivre).


3) Des ressources inégalement réparties.
Dans un rapport publié en 1995, la Banque Mondiale estimait que 80 pays, représentant 40 % de la population mondiale, souffraient déjà de pénuries d’eau, nombre d’entre eux voyant d’ailleurs leur développement entravé par ce problème. L’eau constitue, de fait, l’une des ressources les plus mal réparties sur la planète.

 


Actuellement, 1,1 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’eau salubre. Un tiers de la population mondiale est privé d’eau potable.

Dans certains pays, moins de 40 % de la population a accès à l’eau potable. C’est le cas du Cambodge, du Tchad, de l’Ethiopie, de la Mauritanie, de l’Afghanistan et d’Oman.

Accès à l’eau potable en 2000
Afrique 62 %
Asie 81 %
Amérique latine et Caraïbes 85 %
Océanie 88 %
Europe 96 %
Amérique du Nord 100 %
GLOBAL 82 %


Au cours du siècle dernier, les prélèvements d’eau douce dans le monde ont augmenté deux fois plus vite que la population mondiale, qui a elle-même plus que triplé. Aujourd’hui, 20 % des êtres humains n’ont ni accès, ni les moyens de se fournir en eau potable, en raison de la pollution et de la contamination des eaux. Ainsi, 8 millions de personnes meurent chaque année d’une maladie liée à l’eau, soit 15 personnes par minute.  » L’absence d’eau tue dix fois plus que les guerres « , déclarait le président du Conseil mondial de l’eau (organisme lié à l’ONU), avant la tenue du quatrième Forum mondial de l’eau à Mexico. Alors que la population mondiale doit apprendre à mieux gérer et partager l’eau, cette ressource vitale est devenue un réel enjeu économique et politique.

Actuellement la quantité moyenne d’eau douce disponible par habitant et par an diminue si parallèlement la tendance actuelle à l’augmentation des prélèvements en eau se poursuit, entre la moitié et les deux tiers de l’humanité devraient être en situation dite de stress hydrique (On parle de stress hydrique quand la demande en eau dépasse les ressources disponibles.) à l’échéance 2025, seuil d’alerte retenu par l’Organisation des nations unies (ONU).

eau

Conclusion :

Le risque d’une pénurie d’eau douce existe donc bel et bien.

http://www.escartonduqueyras.com/Download/CONTENU_RESS_EAU.pdf

http://serveurdata.com/sg2/SES/telechargement/carte-usines-eauxdesources.pdf?PHPSESSID=186398da44a1fc8a9563b689defddd3d

DUBREU BENJAMIN – COQUELET LOUIS – DUTRAIT MATHIEU – 3°6

!! énergies fossiles et énergies renouvelables !!

Energie Fossiles et énergies renouvelables


I définition

On considère comme renouvelable, toute source d’énergie qui se renouvelle assez rapidement pour être considérée comme inépuisable (d’où son nom) à l’échelle de l’homme mais aussi dans certains cas de l’humanité

II L’énegie Solaire

Le soleil est à l’origine de toutes les énergies sur terre (à l’exception de l’énergie nucléaire). Le rayonnement solaire apporte à la Terre de la chaleur et de la lumière.Nous pouvons utiliser l’énergie solaire de 3 façons :

- En utilisant directement la chaleur : on peut construire des bâtiments et des habitations en fonction des effets bénéfiques du soleil pour le chauffage en hiver, afin d’en profiter au maximum. C’est ce qu’on appelle l’architecture solaire passive. On peut aussi utiliser des capteurs de chaleur solaire (capteurs thermiques) pour chauffer les bâtiments, l’eau des chauffe-eau et celle des piscines. On appelle ces équipements « systèmes solaires actifs ».

- En transformant la lumière en électricité, grâce aux capteurs photovoltaïques.

- En transformant la chaleur en électricité, grâce à des centrales électriques solaires par voie de haute température.

http://www.technyk.com/photovoltaic.jpg

III L’énergie hydrolique

L’énergie hydraulique est connue depuis longtemps. C’était celle des moulins à eau, qui fournissaient de l’énergie mécanique pour moudre le grain ou puiser de l’eau. Aujourd’hui, l’énergie hydraulique nous sert principalement à fabriquer de l’électricité dans les centrales hydroélectriques. Pour cela, on se sert de l’énergie des chutes d’eau. De l’eau qui tombe d’une chute (forte variation d’énergie potentielle) apporte en effet une énergie beaucoup plus concentrée que de l’eau qui coule dans une rivière (énergie cinétique).

L’énergie hydraulique est une manifestation indirecte de l’énergie du soleil, comme beaucoup de sources d’énergie sur terre (le vent, la houle, la biomasse, les énergies fossiles…). Sous l’action du soleil, l’eau s’évapore des océans et les nuages se déplacent au gré des vents. Des abaissements de température au-dessus des continents provoquent la condensation de la vapeur d’eau. La pluie et la neige (les précipitations) alimentent ainsi l’eau des rivières et des lacs.

http://media.actu.orange.fr/mag-environnement/I/full/P54-2.jpg

IV L’énergie éolienne

L’énergie éolienne est l’énergie du vent et plus spécifiquement, l’énergie directement tirée du vent au moyen d’un dispositif aérogénérateur ad hoc comme une éolienne ou un moulin à vent. L’énergie éolienne est une des formes d’énergie renouvelable.

L’énergie éolienne peut être utilisée de deux manières :

http://www.energiedufutur.com/Uploads/champeoliennes.jpg

V La Géotermie

Quand on creuse profondément sous terre, par exemple une mine ou un forage, on s’aperçoit que la température augmente peu à peu, en moyenne de 3° C par 100 mètres. C’est ce qu’on appelle le gradient géothermique. L’eau contenue dans les roches réservoir du sous-sol est donc de l’eau chaude. Et elle est d’autant plus chaude que le réservoir est plus profond. Le principe de la géothermie est d’utiliser ces réservoirs d’eau chaude pour récupérer une partie de la chaleur. Elle peut être utilisée directement pour le chauffage et, quand l’eau est suffisamment chaude, pour la production d’électricité.

La géothermie est une énergie renouvelable, à condition que l’eau chaude souterraine soit exploitée avec modération, car elle ne se réchauffe que lentement.

http://www.confortgeothermique.com/images/content/UserFiles/Image/systemes/systeme_verticale.jpg

VI les énergies fossiles

On qualifie une énergie de  » fossile  » lorsqu’ elle est issue de la décomposition de plantes et d’animaux d’une époque préhistorique

Les différents types d’énergies fossiles présents sur Terre sont :

-le charbon
- le pétrole
- le gaz naturel
- l’uranium ( le nucléaire ).

rrLe point commun entre toutes ces sources d’énergies est qu’elles sont composées essentiellement de carbone

(et d’hydrogène pour le gaz et le pétrole) et que leur ressource est limitée dans le temps et dans l’espace.
Mis à part leur disponibilité de plus en plus limitée, les énergies fossiles ont un autre inconvénient : leur
combustion, pour produire de l’électricité et de la chaleur, émet une grande quantité et une grande diversité depolluants. Le principal est le gaz carbonique, gaz le plus incriminé dans le réchauffement planétaire.

Les réserves d’énergies fossiles ont mis des millions d’années à se former et nous les consommons très vite. C’est pourquoi il est nécessaire de les préserver.

conclusion:

Les énergies renouvelables ne sont pas polluantes mais sont cher à l’installation, et ne sont pas à la portée de tous !!

Plancq Mathilde, Rousselet Anaïs, et Lanchais Clothilde

La différence entre la pilule contraceptive et la pilule du lendemain

LA PILULE DU LENDEMAIN :D

Introduction
La pilule du lendemain, à base de lévonorgestrel, est un médicament permettant une contraception d’urgence (contraception postcoïtale).

Ce médicament ne doit être utilisé que de façon exceptionnelle et si possible  sous surveillance du pharmacien ou du médecin (après 3 semaines de la prise de la pilule il faut faire une visite médicale pour s’assurer que tout est en ordre). 

Dans quel cas peut-on utiliser la pilule du lendemain ? – Indication de la pilule du lendemain
La pilule du lendemain est un médicament que l’on peut prendre si aucune contraception n’a été assurée ou si un moyen de contraception habituel n’a pas été correctement utilisé (oubli de la pilule, rupture de préservatif) lors d’un rapport sexuel.

Cette pilule du lendemain (lévonorgestrel) est alors utilisée en urgence pour éviter une grossesse. Néanmoins elle n’est pas dénuée de risques et c’est pourquoi il ne faudrait surtout pas se dire que si j’oublie ma pilule »classique » j’ai toujours à disposition la pilule du lendemain, c’est un mauvais raisonnement. C’est vraiment à n’utiliser qu’en cas d’urgence, car la prise régulière de la pilule du lendemain pourrait perturber le cycle.

Quand doit-on prendre la pilule du lendemain ?
La pilule du lendemain se prendra au plus vite après le rapport sexuel pour lequel la contraception n’a pas été assurée, mais dans les 72 heures au maximum après la relation sexuelle.
On compte 95% d’efficacité si la pilule du lendemain est prise dans les 24 heures suivant le rapport sexuel, 85% d’efficacité 24 à 48 heures après le rapport et 58% d’efficacité 48 à 72 heures (3 jours) après.
La prise d’une pilule d’urgence plus de 3 jours après le rapport sexuel n’est pas conseillée, car après cette durée nous ne connaissons pas l’efficacité de la pilule du lendemain (certainement inférieure à 50%).
Pour davantage d’informations, demandez conseils à votre pharmacien

LA PILULE CONTRACEPTIVE :D

Que contient une pilule ?

La pilule, moyen de contraception le plus utilisé en France, est une méthode contraceptive hormonale qui modifie les taux d’hormones chez la femme, empêchant ainsi la libération d’ovules par les ovaires.

La plupart des pilules associent deux types d’hormones, identiques à celles produites par la femme : l’oestrogène et la progestérone, hormones participant au cycle de la femme.

Les différentes marques de pilules contiennent des quantités différentes d’oestrogènes et de progestatif.

Les pilules oestroprogestatives contiennent de faibles doses d’oestrogène et de progestatif et les pilules progestatives uniquement des progestatifs.

Une pilule est prescrite par un médecin, sauf dans certaines situations, lors d’une contraception d’urgence par exemple.

Que se passe -t-il lorsqu’une femme prend une pilule contraceptive ?

  • La pilule remplace le cycle naturel de la femme par un cycle artificiel.
  • Les ovaires cessent de libérer des ovules, rendant impossible l’ovulation et la grossesse.
  • La glaire cervicale s’épaissit et rend difficile le passage des spermatozoïdes.
  • La muqueuse utérine s’amincit, devient incomplète, rendant difficile la fixation de l’oeuf fécondé à la paroi de l’utérus.

Avantages de la pilule

  • La pilule empêche la survenue d’une grossesse dans presque 100 % des cas, si elle est correctement utilisée
  • Elle permet de régulariser les règles et de les rendre parfois moins abondantes en diminuant les saignements
  • Les règles sont moins douloureuses

maison productrice d’énergie

maison productrice d’énergie

Les technologies actuelles permettent maintenant de produire son énergie, notamment l’électricité de sa maison et même de revendre le surplus d’électricité produite. Elles ont souvent l’avantage d’être très peu polluantes et d’utiliser principalement des ressources renouvelables. Et dans ce cas vous pouvez bénéficier d’un crédit d’impôt et de subventions (selon les localités).

Dans le cas d’une situation isolée sans possibilité de se raccorder à un réseau, on stocke l’électricité dans des batteries ou au moyen d’autres technologies qui vont probablement se développer rapidement dans les prochaines années.

Lorsqu’on en a la possibilité, on cumule différents moyens de production d’énergie : panneaux solaires, peinture solaire, éoliennes, énergie thermique. On peut alors devenir excédentaire et donc autonome. Si on est raccordé à un réseau, on lui revend l’excédent.

On peut aussi plus simplement chauffer soi-même l’eau et alimenter ainsi le système central de chauffage de sa maison. On mettra en oeuvre des panneaux solaires thermiques ou la géothermie.

maison productrice d'énergie
maison productrice d’énergie
PANNEAU SOLAIRE
On distingue deux types de panneaux solaires :

 

Dans les deux cas, les panneaux sont habituellement plats, d’une surface approchant plus ou moins le m² pour faciliter et optimiser la pose. Les panneaux solaires sont les composants de base de la plupart des équipements de production d’énergie solaire.

EOLIENNES

Une éolienne est une machine utilisant la force motrice du vent. Cette force peut être utilisée mécaniquement (dans le cas d’une éolienne de pompage), ou pour produire de l’électricité (dans le cas d’un aérogénérateur). On parle de parc éolien ou de ferme éolienne pour décrire les unités de productions groupées (installées à terre ou en mer).

Les régions du monde où les champs éoliens sont les plus nombreux sont, l’Allemagne, l’Espagne, les États-Unis et le Danemark.

En France les centrales éoliennes de production d’électricité sont en pleine expansion sur une grande partie du territoire. L’Aude et la Bretagne, sont des zones géographiques pionnières en la matière.

GEOTHERMIE

La géothermie, du grec Géo (la terre) et thermie (la chaleur), est la science qui étudie les phénomènes thermiques internes du globe terrestre et la technique qui vise à l’exploiter. Par extension, la géothermie désigne aussi l’énergie géothermique issue de l’énergie de la Terre qui est convertie en chaleur.

On distingue trois types de géothermie :

  • la géothermie peu profonde à basse température ;
  • la géothermie profonde à haute température ;
  • la géothermie très profonde à très haute température.

Ces trois types de géothermie prélèvent la chaleur contenue dans le sol.

L’énergie géothermique est exploitée dans des réseaux de chauffage et d’eau chaude depuis des milliers d’années en Chine, dans la Rome antique et dans le bassin méditerranéen.

Ce magnifique exposé vous a été offert par  Quentin BALLERE et Robin GEORGES