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Articles produits par les élèves de 3e7 pendant l’année scolaire 2011-2011.

Organes les plus touchés lors des accidents de moto

Trois types d’impacts :

- L’impact Frontal : La moto bascule autour de l’axe de la roue avant et le motard vient heurter le guidon avec la tête , le thorax , l’abdomen ou le bassin. Des fractures des fémurs possibles si les pieds reste coincés sur les cales pieds.

- L’Impact Transversal : Le motard est écrasé entre la moto et l’objet heurté. Le choc est à l’origine de lésions des membres et de l’abdomen.( voyez l’etat de la moto sur la photo suite à ce choc )

- Une éjection : Le motocycliste poursuit sa trajectoire jusqu’à ce que sa tête,  ses bras,  sa poitrine, son abdomen ou ses jambes heurtent le sol, un véhicule ou un  rail de sécurité. Les lésions s’observent au point d’impact, mais aussi dans le reste du corps (transfert d’énergie cinétique). Dans cette situation le risque de lésions grave est très élevé, le motard n’étant pratiquement pas protégé.

 

La répartition des lésions chez les conducteurs de moto survivant à un accident de la route
(pourcentage rapporté pour chaque région anatomique au nombre de victimes concernées)

Membres inférieurs: 65%
Membres supérieurs: 50%
Crâne et face: 18,5%
Surface cutanée: 10%
Thorax: 9%
Colonne vertébrale: 7%
Abdomen: 5,5%
Cou: 4%

Le total dépasse 100% puisqu’il n’est pas rare qu’une même victime porte plusieurs lésions…

Quelle tranche d’âge est la plus fréquente pour les accidents de 2 roues ?

Ce sont chez les personnes masculine de 20 a 25 ans, chez les femme cela va de tout âges !

Sources : google image , traumatologie motard.fr , l’accidentalogie.fr , texte realisé par mes soins , redigé par devillers alban aprouvé par ceritli allan

Les différents facteurs qui peuvent entrainer une stérilité !

MAÎTRISE DE LA REPRODUCTION

 

L’ÂGE DES FUTUR PARENTS:

Chez la femme:

La période de fertilité de la femme s’étend de la ménarche (apparition des premières règles) jusqu’à la ménopause (disparition définitive des menstruations).
Mais, la fécondabilité n’est pas égale tout au long de cette période.

Chez l’homme:

Chez l’homme, l’âge intervient de façon moins importante que chez la femme, l’altération des spermatozoïdes ne commençant à s’observer qu’à partir de 45 ans, avec un risque accru d’anomalies chromosomiques au-delà de 55 ans.

LE TABAC:

Chez la femme:

Plusieurs études ont montré que le tabac allongeait le délai de conception et diminuait la réserve ovarienne.Le tabac serait responsable d’une diminution de la fertilité de l’ordre de 10 à 20%, en fonction du nombre de cigarettes fumées par jour (effet dose-dépendant). En FIV, on observe chez les femmes qui fument, une réduction de la qualité des ovules, une baisse du taux d’implantation et une diminution du taux de grossesse. Il semblerait même que le tabagisme passif subi in utero pourrait entraîner une diminution de fertilité chez les femmes dont la mère a fumé pendant la grossesse.

Chez l’homme:

Le tabac a également une forte répercussion sur la fertilité masculine.

En plus d’allonger le délai de conception, il réduirait la quantité et la qualité des spermatozoïdes.

En FIV, comme pour la femme, le taux de grossesse diminue si l’homme fume.

 

 

L’ALCOOL:

En plus de réduire la libido, et donc la fréquence des rapports sexuels, une forte consommation d’alcool (plus de 2 verres par jour) chez l’homme, comme chez la femme, semble allonger notablement le délai de conception du couple.
A l’heure actuelle, on ne connaît pas encore l’impact d’une consommation « modérée » d’alcool sur la fertilité du couple.

 

LE CANNABIS:

Des études ont montré qu’une consommation importante de cannabis avait des répercussions sur la fertilité du couple.
Elles ont pu mettre en évidence l’effet délétère du THC (molécule de la marijuana) sur la capacité de fécondation de l’ovule par les spermatozoïdes.
Ces altérations s’observent également chez les grosses fumeuses qui présentent une concentration importante de THC dans leurs voies génitales.

A ce jour, aucune étude n’a mis en évidence l’effet de consommations épisodiques de cannabis sur la fertilité.

 

LA FRÉQUENCE DES RAPPORTS SEXUELS:

La fréquence des rapports est un facteur important influençant la fertilité.
Etant donné que la durée moyenne de survie des spermatozoïdes est estimée à 72 heures, il est conseillé aux couples désirant procréer, d’avoir des rapports sexuels tous les 2 ou 3 jours en période d’ovulation.

 

 

LE POIDS:

Chez la femme, l’anorexie est une cause fréquente d’absence d’ovulation (anovulation), tandis que l’obésité est responsable de l’apparition d’irrégularités de cycle et d’une réponse moindre aux traitements stimulants utilisés en PMA.
Un surpoids chez l’homme pourrait également avoir des répercussions sur les spermatozoïdes.

 

 

LE STRESS:

Chez la femme, un stress intense peut être responsable de l’arrêt de toute ovulation.
Mais le stress quotidien influe également sur la fertilité. On observe une relation non négligeable entre le stress et l’endométriose, la qualité de la vascularisation de l’endomètre et le taux de grossesse.
Le stress semble également jouer un rôle dans la baisse de la fertilité masculine observée ces dernières décennies.

 

Une des nombreuses preuves de l’effet néfaste du stress sur la fertilité est représentée par tous ces couples qui, après avoir adopté, arrivent très rapidement à procréer naturellement.

Article créé par Mandy et Emma.

Avec le cite www.natisens.com , cite de recherche pour les troubles de la fertilité et Google images pour les photos.

La transplantation

 

La transplantation

Introduction:

La toute première transplantation date de 1933. Il s’agit d’une transplantation de rein

réalisée à partir d’un donneur décédé. L’intervention a été réalisée par le docteur VORONOY à Khersov (URSS).

I. Les étapes de la transplantation

Les différentes étapes de la transplantation sont:

1)Le donneur potentiel décède.

2)Le corps du défunt est sous surveillance.

3)La famille témoigne pour dire si le défunt n’était pas opposé au don de ses organes.

4)Le laboratoire analyse le sang du donneur.

5)Coordination et régulateur organisent le prélèvement et les greffes.

6)Les organes du donneur sont prélevés.

7)Les organes sont transférés dans les hôpitaux où les receveurs attendent d’être greffés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II. Comment se déroule l’intervention chirurgicale ?

Les circonstances du décès rendent le prélèvement possible. Tant que la décision de prélever n’est pas prise, les organes sont maintenus en état de fonctionnement par l’équipe de réanimation, sous surveillance constante. De plus la salle dans laquelle s’effectue l’opération est une salle stérile. Dans un timing compté à la minute près, chacun sait ce qu’il doit faire. Cette coordination entre les acteurs est indispensable pour que les organes qui ont put être prélevés soient greffés dans les meilleures conditions. C’est une chaîne de vie: la chaine du don à la greffe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

III. Le transport des organes

Si traditionnellement l’organe est simplement déposé dans un bac à glace. Un nouveau système (LifePort™ Kidney Transporter) constitue une alternative au traditionnel «bac à glace» (méthode statique d’entreposage d’organe) en améliorant nettement les conditions de transport et le soin des organes à transplanter.

Le LifePort™ Transporter consiste en un système sophistiqué fournissant une température et une pression constantes et contrôlables combinées à une perfusion utilisant une solution tampon physiologique appropriée. L’organe est mieux préservé dans sa structure et sa fonction et par conséquent, il peut offrir un fonctionnement complet plus rapide de l’organe après la transplantation.

 

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Conclusion:

La transplantation d’organes a connu une avancée technologique grâce au LifePort qui permet de garder l’organe en parfait état.

 

 

Cet article a été réalisé par Gaël Coutant et Dorian Draperie.

 

Liens:

http://www.dondorganes.fr/La-chaine-du-prélèvement-a-la-html

http://www.tpegreffe.com/deacuteroulement-dune-greffe.html

Conséquences de l’obésité sur la santé

 

Les conséquences de l’obésité:

 

1) Comment l’obésité s’installe dans le quotidien des humains ?

Elle s’installe à cause une mauvaise alimentation régulière. De plus les industries agro-alimentaires contribuent à cette mauvaise alimentation, et les gens ne pratiquent plus d’activités sportives régulières.

 

2) Pourcentage d’obésité dans différents pays

 

3) Conséquences de l’obésité sur la santé.

L’obésité provoque des maladies comme :

L’hypertension artérielle: En fait la pression du sang dans les artères est trop forte certains artères se perforent .

Le diabète de type 2: Le corps est toujours en manque de sucre, alors la personne en mange encore mais il est directement rejeté dans l’urine c’est un cercle vicieux. Et donc une augmentation de l’appétit. Tout ceci entraine une cécité. (Pour améliorer son état de vie la personne doit vivre aux rythme des perfusions d’insuline).

L’insuffisance veineuse: A cause du manque d’activités sportives et de la mauvaise qualités des tissus les obèses ont des varices, des ulcères et enfin des jambes lourdes.

Il a fallu attendre les années 2000 pour voir apparaître une définition internationale de l’obésité de l’enfant.

La prévention auprès des enfants est importante. Ils sont les plus sensibles aux sollicitations publicitaires pour les aliments, ils sont naturellement attirés par les goûts sucrés, et une bonne partie des enfants a été habituée très tôt à un déséquilibre de l’alimentation, y compris dans le ventre de leur mère, si elle avait une alimentation déséquilibrée. C’est d’autant plus difficile de contrarier ces mauvaises habitudes qu’elles sont plus anciennes, cela demande plus de temps et de patience, pour eux et pour leur entourage.

 

PAR :  Deroussen Tanguy et Bordet Willy.

L’obésité

+-I. Comment devient-on obèse ?

On peut devenir obèse par :

- hérédité : c’est à dire que ceux qui ont des parents obèse ont plus de risque de souffrir de surcharge pondérale que les autres.

- les troubles des comportements alimentaires : c’est à dire manger trop par rapport à ses dépenses énergétiques ou trop gras par rapport à ses capacités d’oxygénation des graisses.

- les facteurs psychologiques: c’est à dire être en dépression, angoissé, être anxieux peut entraîner une tendance à trop manger.

- l’arrêt du tabac

 

II. Peut on vraiment guérir de l’obésité ?

Dans la mesure où il est encore difficile de soigner les causes de l’obésité, le traitement de celle-ci reste malaisé et requiert une prise en charge et un suivi à long terme ainsi que la participation active du patient.

Il vise avant tout à prévenir les rechutes qui sont fréquentes.

L’objectif, complexe et variable, peut viser la réduction de poids ou sa stabilisation, l’amélioration des facteurs de risques et des maladies associées, l’amélioration de la qualité de vie du patient.

Plutôt qu’un amaigrissement spectaculaire, l’objectif doit être réaliste, même modéré, cet amaigrissement est très souvent bénéfique pour la santé.

Les procédures les plus souvent utilisées sont des régimes restrictifs équilibrés, appauvris en graisses et en sucres solubles.

En cas d’obésité sévère ou morbide, diverses techniques chirurgicales modifiant le tractus digestif (notamment l’estomac) et visant à limiter de façon permanente l’alimentation peuvent être pratiquées .

III. Quels sont les conséquences de l’obésité sur la santé ?

Le surpoids et l’obésité entraînent de graves conséquences pour la santé. Les risques augmentent progressivement avec l’IMC. Un indice de masse corporelle élevé est un important facteur de risque de maladies chroniques comme : les maladies cardiovasculaires, le diabète, les troubles dits musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose, certains cancers (endomètre, sein et colon), lorsque l’obésité est sévère, on constate également des apnées du sommeil et des pathologies orthopédiques, les adolescentes présentent souvent des troubles endocriniens (puberté précoce, aménorrhées).

IV. Quels sont les différentes formes d’obésité ?

L’expansion du tissu adipeux peut être liée à une augmentation des cellules adipeuses soit en taille (obésité hypertrophique), soit en nombre (obésité hyperplasique), les obésités morbides sont à la fois hypertrophiques et hyperplasiques.

Une première forme de répartition, de type féminin, est dite gynoïde, elle n’entraîne guère de risques graves pour la santé. Les dépôts adipeux sont localisés de façon prépondérante à la partie inférieure du corps et aux aires sous cutanés (fesses, hanches, jambes).

Une deuxième forme dite androïde est typiquement masculine mais s’observe également chez bon nombres de femmes. Les dépôts adipeux sont principalement situés sur le tronc et l’abdomen.

Une troisième forme dite viscérale, est caractérisée par une augmentation de la graisse à l’intérieure de l’abdomen, autour des viscères. Elle est la plus critique en terme de risques métaboliques et cardiovasculaires. Plus fréquente chez les hommes, elle est malaisée à diagnostiquer, car elle peut exister même lorsque l’IMC est normal ou peu élevé.

Transfusion sanguines, greffes et transplantations.

Nous allons vous présentez comment se déroule les transplantations et les transfusions sanguines.

 

1.Comment peut-on se procurer un coeur ?

Pour se procurer un coeur il faut une greffe, puis il  faut voir si il est cohérent avec son sang. Puis enfin il faut attendre son tour sur une liste d’attente car ils sont nombreux à avoir besoin d’un organe..

On ce procure un coeur grâce à une personne qui est décédée, et qui à le même groupe sanguin (note du professeur : non les groupes sanguins ne sont pas en cause, il faut que les cellules soient compatibles c’est plus compliqué que les groupes sanguins et c’est surtout beaucoup plus difficile de trouver quelqu’un de compatible).

 

2.Quels sont les risques qu’il peut y avoir lors d’une transplantation ?

Il faut d’abord savoir que les risques des transplantations peuvent être liés soit au receveur, soit au donneur. Par exemple, les nourrissons et les personnes âgées sont des receveurs à haut risque. De même, les donneurs porteurs de cicatrice, d’infection sont également potentiellement à risque. Cependant, chaque étape de la greffe comporte des risques spécifiques : le processus amont mettant en oeuvre le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation du greffon est soumis à une réglementation stricte ; la greffe elle-même pose encore d’importants problèmes de transmission d’infections et des problèmes de rejets du greffon.

Le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation des greffons font l’objet de règles de Bonnes Pratiques dans le cadre réglementaire européen d’une démarche qualité. La possibilité de conservation prolongée des tissus dans des banques permet d’envisager des techniques de sécurisation après prélèvement : l’inactivation des tissus chaque fois que cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives).

Le rejet du greffon reste le risque majeur.

 

3. Quels sont les différents types de greffes ?

L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez le même individu, d’un rein de sa situation normale dans la région lombaire, vers un emplacement placé plus bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation « isogénique » ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation.
L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus).
La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme

 

4. Transfusion sanguine.

La transfusion sanguine aujourd’hui:

Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. La transfusion dite « sanguine » consiste de nos jours à administrer par voie intraveineuse des préparations de concentré de globules rouges (concentrés globulaires) obtenues à partir de sang de donneurs anonymes non rétribués. La gestion et la transformation des produits sanguins issus des dons sont assurées en France par l’Etablissement Français de sang.

Les risques de compatibilité:

Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Les globules rouges du donneur sont dits compatibles avec le sang du receveur si le receveur ne présente pas d’anticorps circulants dirigés contre un antigène érythrocytaire du donneur.

 

 

Article réalisé par Cassandre et Ophélie.