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Fukushima : les conséquences de l’explosion

Le vendredi 11 mars 2011 à 14h46 heure française, a eut lieu le plus grand séisme jamais enregistré au Japon. Il est suivit d’un tsunami d’une hauteur de 30 mètres qui s’étendra sur 10 kilomètres au alentours et détruira près de 600 kilomètres de côte.


Fukushima  avant l’explosion                                                 Fukushima après l’explosion


La population subit deux types d’attaques, le premier par inhalation d’air contaminé lors du passage du nuage radioactif et le second par exposition aux dépôts radioactifs. Le 13 décembre 2011 la préfecture révèle les premiers résultats préliminaires sur 1727 habitants de Namie situé à dix et cinquante kilomètres de la centrale.

1/ Une zone d’évacuation

Sur la carte ci-dessous nous pouvons voire une description de la zone d’évacuation.

Les villes suivantes ont été évacuées : Namie, Katsurao, Mlnamisoma, Kawamata, Itate. Des milliers de personnes sont évacuées vers d’autres villes

Seules une évacuation dans un rayon de 8 à 10 kilomètres faisant l’objet d’une urgence est prévue.

L’état d’urgence nucléaire ayant été décrétée par le gouvernement le 11 mars à 19h03, la préfecture de Fukushima émet un ordre d’évacuation pour les personnes situées dans un rayon de 2 km autours du réacteur n°1 de la centrale.

Pleins de personnes sont obligées de déménager, d’autres habitants resteront au dépend de leur vie..

 

 

2/Conséquence sur la population

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La photographie ci-contre montre les personnes à la recherche d’éventuels survivants.

Les conséquences sont que plusieurs personnes sont mortes notamment par le séisme et le tsunami. Encore aujourd’hui les habitants près de Fukushima  qui n’ont pas été évacuées sont sous la menace des radiations.

 

3/Conséquence économique et alimentaire

 

Le reste de la population non évacuée doit faire face aux radiations notamment dans l’eau potable et dans la nourriture. Les produits d’alimentation non contaminé se font de plus en plus rare. Le gouvernement a même interdit la vente de produits agricoles. L’économie japonaise est complètement boulversée car il n’y a presque plus personnes dans l’alentour de fukushima. Les survivants et les non-évacués ne sont pas nombreux et doivent se débrouiller seuls. La ville n’a pas encore été reconstruite et l’on doute que cela se fasse rapidement car 1 ans après il y a pas de progrès remarquables. Nous disons ça car comme le séisme à Haiti la ville a été reconstruite sure mais la vie n’est plus celle d’avant plus de délinquants plus de chomage et une vie économique moins importante qu’avant. Le japon étant en plein développement mondial le séisme l’a quand même chamboulé.

Conclusion:

Sa vie économique est boulversée car pour la première fois depuis 42 ans le Japon ne dispose plus d’aucun réacteur nucléaire en service. Une situation qui pourrait s’avérer déterminante pour l’avenir énergétique de l’archipel.


Les sacrifiés de Fukushima.

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr

Donner sa vie avec l’espoir fou que cela puisse sauver celle des autres.  Il y a là-bas une cinquantaine de personnes qui ont hypothéqué leur vie en espérant que leur sacrifice permettra de sauver leur pays, et tant d’autres vies à travers le monde. Des anonymes engagés avec détermination contre des forces terrifiantes. La mission est simple : refroidir coûte que coûte les réacteurs. Pour cela, il faut aller au cœur de la centrale. Les systèmes de refroidissement ayant été détruits, il faut d’une part pomper l’eau de mer, la transporter dans des camions-citernes pour l’injecter dans les réacteurs, et d’autre part actionner manuellement les vannes pour faire baisser la pression.

http://s2.lemde.fr

 

Ils interviennent équipés de combinaisons intégrales, branchées sur un compresseur ou dotées de bouteilles d’oxygène portables, voire d’un casque en surpression, pour se protéger de tout risque d’exposition cutanée, d’inhalation ou d’ingestion de particules radioactives. Ils tentent de se mouvoir dans la chaleur étouffante des bâtiments, due au dégagement de chaleur des combustibles.

http://images12.levif.be

 

Passé un certain seuil, les rayonnements gamma percent tout. La dose maximale admissible est de 20 millisievert (mSv) par an pour les travailleurs du nucléaire. Elle a été portée mardi par les autorités japonaises à 250 mSv. Et on évoque des débits de dose radioactive de 400 à 500 mSv/heure donc les pompiers ne sont pas sûrs de survivre très longtemps, exposés à de telle doses.

http://img.over-blog.com

 

De plus, afin de réaliser une cartographie précise des zones contaminées autour de la centrale nucléaire accidentée, l’université de Fukushima a émis l’idée d’utiliser des singes et des sangliers équipés de différents outils de mesures. Si la situation de la centrale de Fukushima est considérée comme stabilisée depuis des mois, la possible radioactivité environnante continue de susciter l’inquiétude. Afin de mesurer avec la plus grande précision les niveaux de radioactivité autour de la centrale de Fukushima, l’université de la préfecture japonaise a eu une idée pour le moins spéciale : envoyer des singes et des sangliers dans les zones irradiées. Les animaux permettront de cartographier des lieux difficiles d’accès. Dotés de GPS, de dosimètres et de compteurs Geiger, ces cobayes permettront de réaliser des mesures qui viendront compléter les données recueillies lors de survols en hélicoptère et en avion des zones contaminées. L’idée n’est pas nouvelle. En octobre dernier en effet, des singes avaient déjà ainsi été utilisés. Mais les données récoltées grâce aux bracelets électroniques dont ils étaient équipés n’avaient pas pu être récupérées.

 

De nombreux êtres humains se sacrifient chaque jour pour sauver la population japonaise et même la population mondiale. Même des animaux sont sacrifiés pour aider les  « sacrifiés »  à faire des mesures  ou à cartographiés la zone. Nous pensons que ces hommes sont des héros car ils meurent chaque jours pour sauver le « destin » de la planète.

Article réalisé par Chauvet Alexis et Dumont loup

Fukushima 1ans après

 

Le 11 mars 2011, la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, au nord de Tokyo, est frappée par les vagues d’un tsunami provoqué par un très violent séisme. Elle échappe à tout contrôle. Retour en vidéo sur ce mois où l’archipel japonais a survécu sur le fil de l’atome.

A 14h46, le 11 mars 2011. A 130 kilomètres au large de la ville de Sendai, sur l’île de Honshu, un séisme de magnitude 8,9 ébranle la croûte terrestre. L’onde de choc du tremblement de terre et de ses répliques entraine la formation d’un tsunami qui met l’ensemble du Pacifique en alerte.

A peine entrés en 2012, les japonais ont encore été frappé par le pire. Un puissant séisme, de magnitude 7, s’est produit dimanche en début d’après-midi (heure locale) à Tokyo et dans sa région. Mais il a eu lieu à une grande profondeur et aucune alerte au tsunami n’a été émise, a indiqué l’Agence météorologique japonaise. Le séisme fait trembler les immeubles mais n’interrompt pas le tournoi de football La secousse a eu lieu à 14H28 (05H28 GMT), a précisé l’agence. L’épicentre était situé près de Torishima, une île à environ 560 km au sud de la capitale japonaise. La profondeur était de 370 km, selon l’agence japonaise et de 348 km, selon l’Institut de géophysique américain (USGS). Le séisme a fait vaciller les immeubles de Tokyo — dont la plupart sont construits selon des normes antisismiques très strictes –, mais il n’a pas interrompu la finale du tournoi de football de la Coupe de l’empereur, dans le stade national de la capitale. Le séisme n’a pas fait de victimes Il n’y a pas eu de victimes, selon les premières informations. Les trains et les avions au départ ou à l’arrivée de la capitale n’ont pas été affectés par la secousse.

Le 11 mars, un tremblement de terre de magnitude 9 avait provoqué un gigantesque raz de marée dans le nord-est du Japon.En déferlant sur les côtes, il avait tout détruit sur son passage, déclenchant une série d’avaries à la centrale atomique Fukushima Daiichi, provoquant le plus grave accident nucléaire depuis Tchernobyl (Ukraine) en 1986. Quelque 20 000 personnes sont mortes ont ou été portées disparues dans la catastrophe. Dans son message de Nouvel An, l’empereur Akihito a déclaré: «notre pays traverse des temps difficiles à cause du tremblement de terre et d’autres facteurs. Mais j’espère que les coeurs des gens seront toujours avec ceux qui ont souffert et que tous continueront de travailler ensemble pour contruire des lendemains meilleurs», a-t-il ajouté.

 

 

Une vidéo sur le déroulement de l’accident de Fukushima Daiichi :

 

Le gouvernement devrait annoncer cette semaine le redémarrage de la centrale d’Ôi dans la préfecture de Fukui, dont nous parlions le 28 mars dernier. Finalement, seul le gouverneur de Fukui aura eu son mot à dire. Celui-ci ne s’y opposait pas et ne s’oppose toujours pas malgré l’avis de la population.

Vendredi 6 avril l’injection d’azote dans 3 réacteurs ayant subi une fusion du coeur s’est arrêtée automatiquement suite à une alarme pendant plus d’une heure : arrêt à 16h43, reprise à 17h56, et retour à la normale à 18h28.

Jeudi 5 avril, une fuite à la centrale de Fukushima Daiichi, due a un tuyau déconnecté, a été détectée à 1h05 et a continué jusqu’à 2h20. Elle aurait pu laisser s’échapper de l’eau fortement contaminée en strontium, avec une activité allant jusqu’à 100 millions de becquerels par litre.

Un nouveau service à destination des habitants d’Utsunomiya (capitale de la préfecture de Tochigi, et à 140 km au nord de Tokyo) a été mis en place la semaine dernière. Il s’agit d’une service de contrôle de la radioactivité : des employés municipaux vont chez les personnes qui le demandent et contrôlent le débit de dose en 3 endroits définis par l’habitant. La ville espère effectuer 5 contrôles chez des particuliers par jour en plus du contrôle des lieux publics.

Depuis la semaine dernière il n’est plus obligatoire d’exécuter les animaux dans la zone des 20 km autour de la centrale de Fukushima. Les agricultures ayant refusé à l’époque de l’interdiction de les tuer sont tenus de les maintenir isolés.

Quelques semaines après Fukushima, «Des projets ont effectivement été annulés ou différés, mais ça n’a pas marqué la fin du secteur nucléaire», affirme Colette Lewiner, directrice énergie au cabinet de conseil Capgemini.La France et la Grande-Bretagne ont décidé d’aller de l’avant  Les États-Unis, pays abritant le plus de réacteurs au monde (104), ont validé la construction de nouvelles tranches pour la première fois depuis l’accident de Three Mile island en 1979, tandis que la Chine et l’Inde prévoient toujours la mise en chantier de dizaines de réacteurs. En 2011, environ 60 pays ont consulté l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à propos du démarrage du programmes nucléaires. En revanche au Japon, le dernier des 54 réacteurs du pays devrait être arrêté quelques semaines après l’anniversaire de la catastrophe. En Italie, un référendum a rejeté un retour à l’énergie nucléaire tandis que la Suisse a approuvé les plans visant à éliminer progressivement ses cinq centrales d’ici à 2034. L’Allemagne a pris la décision la plus marquante en programmant l’arrêt définitif de ses 17 réacteurs: huit immédiatement et neuf d’ici 2022.

 

Travail  réalisé par Jean-Christophe.


Le nuage radioactif au Japon

Le nuage radioactif au Japon

Nous allons vous présenter notre exposé sur le nuage radioactif du Japon.

Quelles sont les dangers pour le monde ?

Quelles sont les conséquences pour le Japon ?

Peut-on revenir sur un lieu radioactif ?

Nous allons vous présenter notre exposé sur le nuage radioactif au Japon.


 

Les dangers pour le monde :

source : http://www.japonation.com/tag/radioactivite

 

Il n’a fallu qu’une dizaine de jours pour que le nuage radioactif du Japon atteigne les Etats-Unis puis l’Europe. Sur cette carte, les plus touchés ont été les japonnais et les américains, mais les experts français disent que la radioactivité en France est trop basse pour être détectée.

De plus, les fortes pluies ne font qu’accentuer le dépôt de radioactivité.

Sources : www.japonation.com

 

2° Les conséquences pour le Japon :

sources : http://www.lefigaro.fr/environnement

 

Une alerte à la contamination de produits alimentaires près de la centrale de Fukushima (ex : le lait et les épinards) ainsi que l’eau dans les robinets de Tokyo et ses environs.

De plus, beaucoup de japonnais ayant respiré l’air du nuage seront atteints de cancers de la thyroïde.

Sources : www.lefigaro.com

 

3° Peut-on revenir sur un lieu radioactif ?

sources : http://www.leblogfinance.com/assets_c/2011/03/fukushima-nucleaire-japon-thumb-200×160-124311.jpg

 

Il est très dangereux de revenir sur un lieu radioactif car la radioactivité y est toujours présente avec des taux plus ou moins élevés.

La radioactivité ne s’estompe pratiquement jamais, comme par exemple à tchernobyl où elle est toujours présente.

Pour la sécurité des habitants, ces endroits sont fermés à la population pour éviter les risques d’irradiation.

Sources : www.leblogfinance.com

Les conséquences du nuage radioactif sont à l’échelle mondiale puisque plusieurs  pays ont été touchés. Le Japon a été durement affecté par la radioactivité. La central de Fukushima a été condamnée définitivement à toute la population ainsi que ses alentours.

Auteurs : Bonnet Quentin – MAILLET Tom

Quelles sont les conséquences de la pollution à Fukushima ?

Introduction :

Le 11 mars 2011 un tremblement de terre de magnitude 9 et un tsunami ont provoqué une séries de dégradations et d’explosions dans la centrale nucléaire de Fukushima, d’où une importante pollution nucléaire. Comment peut-on expliquer une telle pollution ?

 

vue aérienne de la centrale de Fukushima

 

I Qu’est ce que Fukushima ? Quelle est la cause de cette pollution ?

Fukushima est une centrale nucléaire située dans la ville de Fukushima, sur la côte Pacifique de l’île de Honshu, au Japon. Cette centrale nucléaire est l’une des 25 plus grandes au monde ! La pollution nucléaire de la centrale de Fukushima est due au tremblement de terre et au tsunami du 11 mars 2011. En effet, suite à ce  tremblement de terre de magnitude 9, les réacteurs 1, 2 et 3 se sont automatiquement arrêtés, seulement les systèmes de refroidissement et de secours ayant été endommagés, une partie du réacteur s’est retrouvée à l’air libre, dégradant la gaine qui s’est oxydée à cause de la vapeur et créant une fusion partielle du combustible. Les enceintes de confinement des réacteurs n’étant plus étanches, expliquent une forte hausse de la radioactivité.

Schéma du fonctionnement d’un réacteur

 

II Comment aurait-on pu éviter cette pollution ?

Le drame de Fukushima aurait-il pu être évité ? La réponse est non, car  il ne faut pas oublier que c’est une suite de catastrophes naturelles qui ont engendré un tel drame. Toutefois, si les systèmes de refroidissements avaient été examinés commes ils auraint dû l’être, les explosions en chaîne ne se seraient peut être pas produites. De plus, si la gestion de la sécurité avait été faite par l’Etat et non des entreprises privées aveuglées par la rentabilité, le système de sécurité aurait pu être plus performant, et mieux adapté aux différentes conséquences.

Explication schématée des évènements du 11 mars 2011

 

III Quels sont les risques encourus sur la santé des hommes ?

Le niveau de radiation après les explosions de la centrale risque d’avoir de graves conséquences sur la santé des personnes. Les pathologies sont différentes selon le mode d’exposition. Les personnes dans la centrale au moment des explosions ont été irradiées directement, et leur durée de vie a été littéralement raccourcie ! Sur le long terme, les cancers, pour les populations extérieures à la centrale, qui ont été irradiées par le nuage nucléaire, par les fortes radiations du Japon, auront probablement des tumeurs bien plus développées, et seront plus exposées au risque de cancers. De plus les techniciens dans la centrale ont été obligés d’arroser avec de l’eau de mer, attentant à leur santé et leur vie.

techniciens de Fukushima arrosant les réacteurs
techniciens de Fukushima arrosant les réacteurs

 

Conclusion

Bref, ces explosions qui ont entraînées des fuites radioactives dans les cuves des réacteurs, précédées d’un tsunami et d’un séisme, ont entraîné de graves conséquence autant d’un point de vue sur la santé des hommes mais également sur la pollution des sols et des dégâts engendrés. C’est bien entendu une accumulation de circonstances qui ont causé de tels évènements. La population restera probablement marquée par ce jour du 11 mars 2011 et ne risque pas d’oublier ce qu’il s’est produit ce jour là. Malheureusement, le sol étant pollué ainsi qu’une bonne partie de la faune aux alentours de la centrale, le reconstruction et la reprise d’une vie normale pour ces habitants sera très longue et douloureuse, n’oubliant pas que des mutations des cellules seront inévitables.

 

D’après : http://fr.wikipedia.org/wiki/Centrale_nucléaire_de_Fukushima_Daiichi

News-environnement.com

Cet exposé a été réalisé par CLAN DE POMMAYRAC Marie, DEROUIN Sophie et PAGNARD Amélie.