Catégories des archives : 2014-2015

Articles produits par les élèves pendant l’année scolaire 2014-2015.

les algues brunes

Les algues brunes, à l’inverse, sont liées à un manque de lumière. Elle disparaissent d’elles même en quelques semaines. Elles se propagent sur les plantes et le décor, comme une fine poussière de rouille. Les Silicate sont trop élevés. Les algues brunes ne peinent pas à se propager car l’eau n’est pas propre et les ramène sur les plages.

Les algues sont très toxiques car elles rejettent de l’acide sulfurique, et cet acide peut être mortel pour les humains. Elles peuvent facilement attaquer les humains car elles sont très répandues sur les plages.

 

 

BAILLY Louis

GOOIKER Matthys

Jeune surfeur tué par un requin bouledogue

La Réunion est une nouvelle fois endeuillée les requin bouledogue sont impliqués dans la quasi-totalité des accidents le requin bouledogue a pour habitude de se rapprocher des côtes en début d’après-midi et de remonter vers la surface au crépuscule pour chasser. Le manque de nourriture conduit probablement le requin à se rapprocher des récifs pour y trouver des poissons coralliens. Les requins bouledogues semblent également avoir fait de l’île un site de reproduction

 

 

La Réunion est une nouvelle fois endeuillée, désemparée. Près d’un millier de personnes se sont rassemblées sur la plage de Saint-Paul, mercredi 15 avril, en mémoire d’Elio. Le dimanche précédent, ce jeune surfeur de 13 ans y a été happé par un requin bouledogue de 2,50 mètres. Deux cents manifestants s’étaient alors regroupés devant la sous-préfecture et avaient déversé de la peinture couleur sang pour dénoncer le manque d’action de l’Etat.

Chaque nouvel accident ravive la « crise requin », comme disent les Réunionnais, et son lot de polémiques. La région a en effet connu 16 attaques de squales depuis 2011, dont sept mortelles. Pourquoi cette recrudescence autour de l’île ? Comment s’en prémunir ? Que font les pouvoirs publics ?

 

Les scientifiques peuvent-ils aider à comprendre la situation ?

Jusqu’à présent, on ne connaissait presque rien du comportement ni des habitats du requin-tigre et du requin bouledogue, jamais étudiés à La Réunion auparavant. Les scientifiques ont alors mis les moyens : en trois ans, 40 spécimens du premier et 39 du second ont été équipés de marques acoustiques qui ont permis de suivre leurs déplacements grâce à un réseau de 52 stations d’écoute sur le littoral. Certains animaux ont été dotés de balises satellite. D’autres ont aussi été pêchés pour être analysés.

Rapidement, les recherches se sont resserrées autour du requin bouledogue, impliqué dans la quasi-totalité des accidents. Les habitudes, les allers et venues, la génétique et le contenu de l’estomac de plusieurs de ces squales, ont été passés au crible pour constituer l’une des plus importantes études au monde à leur sujet. Pilotés par Marc Soria, docteur en écologie marine au sein de l’IRD, ces travaux ont nécessité des centaines de plongées, ainsi que l’aide de l’université de La Réunion et d’autres organismes de recherche.

Que sait-on du comportement du requin bouledogue ?

image: http://s1.lemde.fr/image/2015/04/17/534×0/4618197_6_4722_un-requin-bouledogue-entoure-de-poissons_9ebb9e9e74c265b39bbbffd45d5a0491.jpg

 

Si Elio a été tué un matin, le requin bouledogue a pour habitude de se rapprocher des côtes en début d’après-midi et de remonter vers la surface au crépuscule pour chasser. Nomade – il peut faire le tour de l’île en quatre jours ou s’en éloigner d’au moins 300 km en plein océan –, le squale se déplace parfois avec un de ses congénères.

Les Réunionnais avaient remarqué qu’une eau turbide après un orage, ou une forte houle, étaient propice à sa venue. Les données des stations d’écoute l’ont confirmé. Selon les biologistes, le manque de nourriture conduit probablement le squale à se rapprocher des récifs pour y trouver des poissons coralliens. De même, il semble attiré par les eaux côtières riches en détritus que les cours d’eau rejettent en mer.

Les requins bouledogues semblent également avoir fait de l’île un site de reproduction. Entre mars et juin, quand leur présence est particulièrement forte, ils se rapprochent de la façade ouest de l’île, vers les stations balnéaires proches de Saint-Gilles et dans la zone de l’Etang du Gol (Saint-Louis), pour s’y accoupler.

Compte tenu des conclusions des scientifiques, nulle parade unique ne se dégage pour se protéger d’un prédateur aussi mobile. Marc Soria propose de poursuivre les recherches, notamment sur le comportement de chasse et de reproduction du bouledogue, ainsi que sur ses échanges avec ses congénères des côtes est de l’Afrique.

Comment les pouvoirs publics peuvent-ils prévenir les attaques ?

Ces dernières années, les services de l’Etat et les élus locaux ont recouru aux scientifiques, aux pêcheurs, avec d’importantes campagnes de « prélèvement » de requins, et aux exemples étrangers pour imaginer des dispositifs de protection et aux mesures d’interdiction. En 2013, la préfecture a annoncé que toutes formes de baignade et toutes « activités nautiques utilisant la force motrice des vagues » (autrement dit surf, bodyboard, paddle…) seraient désormais prohibées dans une bande de 300 mètres tout autour de l’île. La décision avait été prise après la mort d’une jeune fille de 15 ans, attaquée à quelques mètres du rivage, à Saint-Paul.

Cette interdiction est régulièrement reconduite depuis. Elle est affichée partout sur les plages, et même lue à l’atterrissage des avions à l’attention des touristes. Mais elle n’est que partiellement respectée. Malgré quelques procès-verbaux, certains surfeurs continuent de braver le risque pour pratiquer leur sport. Sur les sept personnes tuées depuis 2011, six étaient sur une planche de surf ou de bodyboard, alors que l’on n’en compte aucune parmi les plongeurs sous-marins qui vont parfois à la rencontre des squales.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/04/17/comment-la-reunion-lutte-contre-les-requins-bouledogue-apres-une-nouvelle-attaque-mortelle_4618200_1652692.html#vkKYb0ruGBS4124i.99

 

réalisé par Bûcheron Apolline Hujol Léa et Mercier Paul

! Pêche crevette Danger Tortue !

Le mercredi 15 Avril l’association de protection des animaux marins Oceana a poursuivit en justice le gouvernement américain pour non respect des lois de la pêche qui entraîna de graves conséquences sur l’espèce protégée des tortues de mer.


Oceana, fondée en 2001 et est la plus grande organisation internationale de plaidoyer, axée uniquement sur ​​la conservation des océans. Leurs bureaux situés dans le monde entier travaillent ensemble pour gagner des campagnes de sensibilisation dirigées stratégiquement et qui permettent d’atteindre des résultats mesurables. Celles-ci aideront nos océans à se repeuplés et se diversifier.

C’est donc normal qu’il se lancent a l’assaut de la compagnie de la pêche pour sauver les tortues de mer restantes.

Par la faute de l’industrie de la pêche à la crevettes, environ 53 000 tortues meurent chaque années dans le Golfe du Mexique et dans l’océan Atlantique, prises dans les filets normalement destinés aux crevettes.

La pêche non contrôlée de la pêche au chalut à entraînée de nombreuses bavures dans les codes de la loi.

Premièrement, ils enfreignent la loi des espèces menacée en ne déterminant pas si il y avait un risque avec de la pêche à la crevette sur la population des tortues marines.

Ensuite il ont enfreint la loi en ne limitant pas le nombre de tortues pouvant être abattues et en ne diminuant pas l’impact de de la pêche sur les tortues.

Pour ce dernier point, preuve encore que l’entreprise de la pêche n’a pas fait le nécessaire, car des dispositifs permettant aux tortues de s’échapper des filets (TED) peuvent être facilement installé sur les chaluts, mais aucune mesures n’ont été prises.

 

Au final, si nous voulons protéger la population des tortues marines, il faudrait soit, stopper la pêcher à la crevette, ou bien la plafonner et utiliser le TED. Nous pouvons faire évoluer la situation, nous savons que nous en avons le pouvoir. Mais il faut maintenant nous en donner les moyens et agir !

Protéger la nature de veut pas seulement dire sauver la flore et les animaux mais aussi notre propre avenir. Nous avons déjà fait disparaître des espèces -des espèces disparaissent chaque jours!- et nous en avons observé les conséquences tragiques. La nature en a été déséquilibrée.

Réagissons avant d’essuyer de nouvelles erreurs irréparables.

 

Sources :

-Site officiel d’Oceana: http://oceana.org/

-Logo d’Oceana : http://oceana.ca/fr/canada/a-propos/notre-mission

-Image tortue : http://www.google.fr/url?source=imglanding&ct=img&q=http://p9.storage.canalblog.com/91/22/681104/55616985.jpg&sa=X&ei=EDxfVcKLA8z9UvSpgOgD&ved=0CAsQ8wc4Mg&usg=AFQjCNGjm1K2C2Q-YvDMfGC6SjNKwi53HQ

 

Réalisateurs: Natacha Oudry, Julie Bredier et Mathilde Bellande classe 305

Collège George Sand

Le Requin Bouledogue

La Réunion a subit plusieurs attaques mortelles durant ces 4 dernières années. La région a du faire face à 16 attaques dont 7 mortelles. Récemment un jeune surfeur de 13 ans est mort.

I. Requin bouledogue

Le requin bouledogue ou appelé requin du zambèze est une espèce de requin de la famille des Carcharhinidés. Ils atteint 3,40m de longueur son dos est gris ou brun olive avec l’extrémité des nageoires un peu plus foncée et son ventre est blanchâtre. Il tient son nom de son apparence massive, trapue, lourde et vigoureuse et de son museau aplati et court. Il peut vivre 14 ans ou 20 ans mais un âge maximal de 32 ans est également évoqué. On le confond souvent avec le requin taureau,car le nom vernaculaire anglais du requin bouledogue est Bull Shark, ce qui se traduit littéralement par requin taureau et prête donc à confusion. Pêché pour sa chair, son cuir ou son foie, l’UICN le classe espèce quasi-menacée sur la base d’une étude qui date du 1er octobre 2005.

II. Attaques mortelles par le requin bouledogue

Une attaque de requin est une attaque d’un être humain par un requin bouledogue. Les attaques de requins sur l’homme sont rares et exceptionnelles. Les raisons conduisant à une attaque ne sont pas toutes connues ni bien définies, le manque de données fait qu’il est délicat d’en déduire des statistiques fiables. Le comportement en milieu naturel des requins est également mal connu et peu étudié, ce qui contribue à ce qu’il n’y ait pas de systématique en la matière.

Nous avons choisit ce thème parce que c’est la première actualité sur laquelle nous sommes tombées. Et nous sommes très attachées à la mortalité dans le monde.

 

Réalisé par : Laure,Coralie,Julie

sources:wikipedia,http://www.aquaportail.com/aquabdd/photos/carcharhinus-leucas.jpg;
http://referentiel.nouvelobs.com/file/6107224.jpg

LA PREMIERE FOIS, POURQUOI LES FILLES SONT-ELLES SOUVENT DECUES ?

 

En général, la gente féminine est souvent déçue de leur premier rapport sexuel. Dans un premier temps, nous allons nous demander pourquoi une première fois est souvent synonyme de déception pour les jeunes filles. Dans un second temps nous allons évoquer certains conseils donnés par les spécialistes pour améliorer ce moment.

 

I)Pourquoi les filles ne gardent pas toujours un bon souvenir de leur première fois ?

 

Les filles ne gardent pas souvent un bon souvenir de leur première fois pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, les filles n’osent pas forcément dire non à leur compagnon. En effet, il arrive que certaines franchissent cette étape sans en avoir l’envie. Il est souvent dit que le « meilleur âge » n’existe pas. Le meilleur moment reste celui où les deux personnes sont prêtes.

Ensuite, la majorité des filles ressentent des douleurs. Effectivement, la gente féminine possède une membrane se nommant l’hymen, pouvant se déchirer pendant le rapport sexuel. Cette perte peut produire des saignements et des douleurs.

De plus, le vagin n’est pas habitué aux pénétrations et à cette sensation contrairement au pénis d’un garçon qui est souvent stimulé (au contact des vêtements et plus tard lors de la masturbation). L’expression utilisée pour décrire leurs vagins est «vierge de sensations ».

Puis, lors de leur premières fois, nombreuses sont les adolescentes qui réalisent leur première fois sans ressentir de plaisir, sans orgasme ( 95%)

Enfin, les jeunes filles se masturbent très peu. Seulement 45% des filles affirment s’être masturbées avant 18 ans contrairement aux garçons qui sont beaucoup plus nombreux.

 

En conclusion, les filles sont souvent déçues car elles s’étaient faites des idées sur cet acte. Elles se forcent à faire leur première fois pour ne pas vexer leur compagnon. Elles ne pensaient pas ressentir des douleurs.

 

II)Que faire pour améliorer ce moment ?

 

Nous pouvons régulièrement étendre des conseils pour améliorer notre première fois. Nous retenons qu’il est important d’écouter et de comprendre son corps, de vivre en harmonie avec son corps et notamment son sexe. Le vagin est une zone qui est difficile à réveiller.

 

III)Notre travail soulève un problème d’actualité.

 

Nous avons choisi de traiter ce sujet car pour nous, il représente de nombreuses questions dans la têtes des jeunes filles d’aujourd’hui. Nous trouvons que c’est un sujet tabou dans la société, que les adultes en parlent peu car pour eux c’est un sujet gênant.

Liens:

- http://acces-sante.net/fr/2014/11/premiere-fois-pourquoi-les-filles-sont-elles-souvent-decues/

- http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Ffocuselles.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F2013%2F04%2Fromantisme.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Ffocuselles.com%2Fqui-a-dit-que-les-hommes-ne-sont-pas-romantiques%2F&h=366&w=523&tbnid=-EB6C-K5TdAsIM%3A&zoom=1&q=romantisme&docid=7_ZBXcOIQqkuiM&ei=WTtfVZDgL8X2UoOwgcAH&tbm=isch&client=firefox-a&iact=rc&uact=3&dur=397&page=1&start=0&ndsp=24&ved=0CDkQrQMwCA&biw=1280&bih=854

AUDUREAU Marie

DECHATRE Camille

MAUREL Léa

305


Le dernier rhinocéros blanc menacé

Sudan est un rhinocéros de 42 ans qui est le dernier représentant de son espèce. Ce pensionnaire qui réside dans la réserve d’OI Pejeta, au Nord du Kenya est surveillé 24h/24 par des gardes armés. Ce spécimen a été chassé pour ses cornes, un programme a été mis en place pour faire reproduire ce mâle avec une femelle de cette même espèce. Comme son ivoire est constitué – particulièrement composé de kératine qui de plus est très courue des population d’Asie du Sud est qui lui prête des vertus médicales et aphrodisiaque. Ensuite 1 kilo de poudre de la défense de cet animale peut se revendre 65000 dollars soit 61000 € au marché noir. Son braconnage est désormais puni de 30 ans d’emprisonnement. Voila 50 millions d’années que cette espèce vit sur notre planète elle a été détruit en moins d’un siècle.

 

Pour protéger ses rhinocéros des braconniers, une réserve sud-africaine a pris une décision radicale : injecter dans la corne très prisée de l’animal du poison, afin de rendre gravement malades les amateurs de cette poudre parée de vertus médicinales et donc de les dissuader d’en consommer.

Le modus operandi : administrer aux rhinocéros un tranquillisant, percer un trou dans leur corne, puis injecter un colorant rose indélébile

 

http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/04/16/01008-20150416ARTFIG…

Louis,  Baptiste, Paul