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DES CHERCHEURS CREENT UNE ENZYME QUI CHANGE LE GROUPE SANGUIN

http://www.journaldelascience.fr/sites/default/files/imagecache/full_node/globule-rouge_0.jpg

 

 

 

 

Les globules rouges portent à leur surface des « antigènes de groupes sanguins », qui définissent le groupe auquel on appartient. Il existe 4 types de groupe sanguin : les groupes A, B, AB et O. Ainsi, un individu de groupe A possède l’antigène A à la surface de ses globules rouges, un individu de groupe B possède l’antigène B, un sujet de groupe AB possède à la fois l’antigène A et l’antigène B, et un sujet de groupe O ne possède ni l’antigène A ni l’antigène B. De plus, la présence ou l’absence, à la surface du globule rouge, d’un antigène appelé D (définissant le groupe sanguin Rh+ ou Rh-) permet de savoir si on possède un rhésus positif ou négatif.

Le sang de groupe O- est précieux car cela signifie qu’on peut le donner à tous les autres groupes sanguins. Ce groupe est très rare. En effet seulement 6% de la population française possède un sang de groupe 0- .

L’enzyme trouvée par les chercheurs (appelée « glycoside hydrolase 98 ») est issue de la bactérie Streptococcus pneumoniae. Elle a pour effet de provoquer des mutations artificielles (technique : « évolution dirigée ») qui ont la capacité d’ôter les antigènes A et B de la surface des globules rouges.

Cette découverte permet de posséder un sang de groupe 0- qui est plus facile à donner aux malades atteint de problèmes sanguins.

 

 

 

 

Tableau de compatibilité des groupes sanguin.
http://villemin.gerard.free.fr/Biologie/SangHer_fichiers/image027.jpg


Tableau représentant les pourcentages de population de chaque groupe sanguin.
http://www.transfusion.be/fileadmin/library/repartition-types-de-sang_02.jpg

 

Aujourd’hui les donneurs sont trop peu nombreux. En cas d’accident de la route par exemple, il est très difficile de trouver des donneurs pour aider la personne concernée. L’intérêt est donc d’avoir plus de donneurs pour aider les personnes atteintes de ces accidents.

Delanneau Robin

Transfusion sanguines, greffes et transplantations.

Nous allons vous présentez comment se déroule les transplantations et les transfusions sanguines.

 

1.Comment peut-on se procurer un coeur ?

Pour se procurer un coeur il faut une greffe, puis il  faut voir si il est cohérent avec son sang. Puis enfin il faut attendre son tour sur une liste d’attente car ils sont nombreux à avoir besoin d’un organe..

On ce procure un coeur grâce à une personne qui est décédée, et qui à le même groupe sanguin (note du professeur : non les groupes sanguins ne sont pas en cause, il faut que les cellules soient compatibles c’est plus compliqué que les groupes sanguins et c’est surtout beaucoup plus difficile de trouver quelqu’un de compatible).

 

2.Quels sont les risques qu’il peut y avoir lors d’une transplantation ?

Il faut d’abord savoir que les risques des transplantations peuvent être liés soit au receveur, soit au donneur. Par exemple, les nourrissons et les personnes âgées sont des receveurs à haut risque. De même, les donneurs porteurs de cicatrice, d’infection sont également potentiellement à risque. Cependant, chaque étape de la greffe comporte des risques spécifiques : le processus amont mettant en oeuvre le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation du greffon est soumis à une réglementation stricte ; la greffe elle-même pose encore d’importants problèmes de transmission d’infections et des problèmes de rejets du greffon.

Le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation des greffons font l’objet de règles de Bonnes Pratiques dans le cadre réglementaire européen d’une démarche qualité. La possibilité de conservation prolongée des tissus dans des banques permet d’envisager des techniques de sécurisation après prélèvement : l’inactivation des tissus chaque fois que cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives).

Le rejet du greffon reste le risque majeur.

 

3. Quels sont les différents types de greffes ?

L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez le même individu, d’un rein de sa situation normale dans la région lombaire, vers un emplacement placé plus bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation « isogénique » ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation.
L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus).
La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme

 

4. Transfusion sanguine.

La transfusion sanguine aujourd’hui:

Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. La transfusion dite « sanguine » consiste de nos jours à administrer par voie intraveineuse des préparations de concentré de globules rouges (concentrés globulaires) obtenues à partir de sang de donneurs anonymes non rétribués. La gestion et la transformation des produits sanguins issus des dons sont assurées en France par l’Etablissement Français de sang.

Les risques de compatibilité:

Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Les globules rouges du donneur sont dits compatibles avec le sang du receveur si le receveur ne présente pas d’anticorps circulants dirigés contre un antigène érythrocytaire du donneur.

 

 

Article réalisé par Cassandre et Ophélie.

TRANSFUSIONS SANGUINES, GREFFES ET TRANSPLANTATIONS

Chaque jour, nous entendons parler des groupes sanguins et nous voudrions savoir pourquoi il est important de connaître son groupe sanguin.

 

I- Qu’est ce qu’un groupe sanguin ?

Le sang sert à transporter l’oxygène dans tous les organes du corps humain. Il est constitué de plasma (55%) et de cellules sanguines (45%). Ces cellules sanguines sont elles-mêmes divisées en trois catégories : les globules blancs, les globules rouges, et les plaquettes sanguines.

Séparation du sérum et du plasma

Séparation du sérum et du plasma. Photo prise par Léonie en stage en entreprise

 

La découverte du système ABO, le premier de ces systèmes, en 1900, par Karl Landsteiner a permis de comprendre pourquoi certaines transfusions sanguines étaient couronnées de succès, alors que d’autres se terminaient tragiquement.

Le groupe sanguin d’une personne dépend des antigènes (c’est-à-dire des protéines et des sucres) présents à la surface des globules rouges dans son sang.

II- A quoi sert-il ?

Les principaux groupes sanguins sont ceux qui définissent les systèmes  ABO et Rhesus et Kell, mais il en existe beaucoup d’autres. Ces trois systèmes sont les plus importants, en pratique. Le premier, ABO, car il entraîne un accident transfusionnel immédiat en cas de transfusion incompatible, et de ce fait a été le premier découvert. Le second, Rhésus, car l’immunogénicité de deux de ses antigènes (D – RH1 et c – RH4 surtout) entraîne très fréquemment des immunisations sources d’accidents ultérieurs et d’incompatibilités fœto-maternelles. Le troisième système, Kell, car l’antigène Kell est très immunogène, moins cependant que l’antigène RH1, D, et donne de ce fait, mais moins fréquemment, les mêmes complications.

La détermination du groupe dans ces trois systèmes en ABO (A, B, AB ou O), en Rhésus (+ ou -), ou en Kell (+ ou -) se base, comme pour tous les systèmes, sur les caractéristiques des antigènes présents à la surface des érythrocytes et, pour le système ABO, sur les anticorps présents dans le sang.

 

Explication analyse de groupes sanguins. Photo prise par Léonie en stage en entreprise.

 

Il existe trois types d’antigènes (A, B et AB) qui permettent de distinguer quatre groupes sanguins différents. Le groupe O se caractérise par l’absence d’antigènes à la surface des globules rouges. Il est important de connaître son groupe sanguin lorsqu’on subit des opérations médicales. Certain groupes sont plus rares que d’autres (B-, A-…) donc il y a moins de donneurs ; pour ces cas là on pratique l’auto-transfusion, ce qui est moins risqué pour les transmissions maladies.

 

Sources : wikipédia.org  ; l’internaute.com

CHAMPAGNAT Ophélie ; VIVIER Audrey ; CHASTANG Léonie

Transfusions sanguines

 

Transfusions sanguines

 

Chaque année, 500 000 malades sont transfusés. Les volontaires qui font don de sang 1,6 million s’avèrent désormais insuffisants pour faire face aux besoins.

L’établissement français du sang (EFS) lance une nouvelle campagne afin de mobiliser 200 000 donneurs supplémentaires. L’objectif est de convaincre de nouvelles personnes à donner leur sang mais aussi de fidéliser ceux qui l’ont déjà fait. Car, si 50% des français âgés de 18 à 65 ans ont été un jour donneurs, seuls 4% d’entre eux le font chaque année. Actuellement, les besoins les plus urgents concernent les donneurs de groupe O (- ou +) .

 

Dans quel cas peut-on avoir recours à une transfusion de produits sanguins ?

1°) Explication

 

Le corps a besoin du sang pour se nourrir, et pour transporter l’oxygène des poumons vers les cellules de l’organisme.

Une transfusion sanguine est une opération consistant à injecter, par perfusion intraveineuse, du sang ou des dérivés sanguins.

Dans le système de santé français actuel, seuls les médecins, infirmiers et sages femmes ont le droit de pratiquer des transfusions sanguines.

 

2°) Quand et pour qui ?

 

On peut avoir recours à une transfusion de produits sanguins au cours d’un traitement des hémophiles et des grands brûlés ; d’un traitement des hémorragies ; d’un traitement de l’anémie (manque de globules rouges ) lorsqu’on n’a subit une opération, ou alors une maladie du sang thalassémie.

Lors d’une lésion du sanguinum tuberculus (organe situé au fond de la gorge) ou lors d’un cancers.

Un autre cas peut se produire, le cas de maladie du système de production du sang qui peuvent mette en danger la personne.


On peut avoir recours à une transfusion de produit sanguin lorsqu’il il y a d’importante pertes de sang (hémorragie grave). Ou lors d’une auto-transfusion dans le cas d’une intervention chirurgicale programmée.
On prélève à l’avance, une certaine quantité de son propre sang. Ainsi, dans le cas où il y aurait besoin d’une transfusion, on est sûr d’avoir le sang correspondant à son groupe sanguin.

 

Le groupe sanguin AB est receveur universel, mais il est donneur seulement à son propre groupe.

Le groupe sanguin A est donneur au groupe A et AB, il reçoit les groupes A et O.

Le groupe sanguin B est donneur au groupe B et AB, il reçoit les groupes B et O.

Le groupe sanguin O est donneur universel, mais il le reçoit simplement de son propre groupe.

Remarque: Dans ces 4 groupes (A, B, AB, O) il y a des groupes négatifs et positifs (exemple, AB-, AB+, O-, O+, …). Les groupes négatifs peuvent donner leur sang aux négatifs et positifs, mais les positifs peuvent n’en donner qu’aux positifs.

 

En conclusion tout le monde peut donner son sang, mais pas forcément en recevoir de n’importe qui. Mais il manque beaucoup de personnes pour faire des dons de sang.

 

Source du texte :

http://fr.wikipédia.org/wiki/transfusion_sanguine

http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100415104052aauliaj

http://francois.derouin.free.fr/svtclggsand/?p=6910

Source des images :

http://www.donnersonsang.com/image/bibliotheque/don_sang/Sang%20poche2.jpg

http://www.leucemie-espoir.org/IMG/jpg/Doc_3-13.jpg

http://thierryvatin.e-monsite.com/rubrique,globules-rouges,788653.html

 

Réalisé par : Couty Alexandre, Auguin Océane et Legroux Mélanie.

Les groupes sanguins

SOMMAIRE :

 

 

 

http://www.gralon.net/articles/vignettes/thumb-les-groupes-sanguins---presentation-et-caracteristiques-2469.gif

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I. Qu’est ce qu’un groupe sanguin ?

II. Combien y a-t-il de groupe  sanguin ?

III. Comment reconnaître un groupe sanguin ?

IV. Pourquoi est-il important de connaître son groupe sanguin ?

 

 

 

 

 

 

I. Qu’est ce qu’un groupe sanguin ?

Le sang est constitué de trois sortes de cellules sanguines : les globules blancs, les globules rouges et les plaquettes sanguines. Il est aussi constitué de plasma. Le plasma est une partie liquide du sang qui représente environ 55 % de son volume. Le plasma est composé d’eau et contient des lipides (graisses), des hormones, des facteurs de coagulation (formation d’un caillot) et plus d’une centaine de protéines.

Un groupe sanguin est la classification des sangs selon le rhésus auquel on appartient. Il est constitué d’un antigène (A, B, AB,O) puis d’un rhésus positif ou négatif (+ ou -), et enfin du phénotype (C +ou-, c +ou-, E +ou-, e +ou-, K +ou-).

 

II. Combien y a-t-il de groupes  sanguins ?

Il existe 8 groupes sanguins ; A+, A-, B+, B-, AB+, AB-, O+, O-.  Le phénotype est intégré dans les groupes ce qui permet de les classer avec plus de précision.

 

III. Comment reconnaître un groupe sanguin ?

Pour reconnaître un groupe sanguin, les techniciens de laboratoires font une expérience à l’aide d’une palette en mettant plusieurs gouttes d’un même sang dans les alvéoles et en ajoutant le sérum du patient. En mélangeant sur chacune d’elle soit un anti A, soit un anti B, soit un anti AB. On mélange aussi un positif et négatif sur de nouvelles gouttes. Suivant la réaction, on peut déterminer à quel groupe, on appartient. Dans les alvéoles où l’agglutination (petits points) est présente, cela veut dire que c’est soit, positif, négatif, rhésus A, rhésus B ou rhésus AB. S’il n’y a aucune agglutination dans  les gouttes de sang c’est le rhésus O.       Mais aprés les rhésus, il y a le phénotype qui s’effectue à l’aide de cartes comme celle-ci :

 

 

 

 

 

Pour savoir notre phénotype, il faut melanger dans chaque « trou » une goutte de sang + du sérum. Puis la carte est mise dans une centrifugeuse. Quand le sang est en bas des « trous », c’est négatif, et quand le sang est en haut c’est positif.

 

IV. Pourquoi est-il important de connaître son groupe sanguin ?

Il est important de connaître son groupe sanguin en cas d’accident, par exemple lors d’une hémorragie. Mais aussi lors d’une opération ou en cas de maladie. Le risque encouru de transfuser du sang non compatible est bien plus grave que le risque pris en attendant quelques minutes sans transfusion. Tous les groupes sanguins ne sont pas compatibles.

0- peut recevoir de 0-

O+ peut recevoir de O-, O+

A- peut recevoir de O-, A-

A+ peut recevoir de O-, O+, A-, A+

B- peut recevoir de O-, B-

B+ peut recevoir de O-, O+, B-, B+

AB- peut recevoir de O-, A-, B-, AB-

AB+ peut recevoir de O-, O+, A-, A+, B-, B+, AB-, AB+

En revanche pour ce qui est de « donner », c’est différent :

A peut donner à  A et AB

B peut donner à B et AB

O peut donner à tout le monde

AB peut donner à AB

Le + donne au +

Le – donne à tout le monde

 

J’espère que le sujet vous aura plus et que vous aurez tout compris,  si il y a des questions n’hésitez pas.

www.gralon.net www.Futura-sciences.com www.web-libre.org Rapport de stage de LABESSE Sophie

LABESSE Sophie, COLAS Sarah, MALASSENET Aude

L’IMPORTANCE DU GROUPE SANGUIN :


INTRODUCTION: Le groupe sanguin est une catégorie de personnes dans laquelle on classe tous ceux qui ont le même antigène présent à la surface de leurs globules rouges:Groupe A, B, AB et O.
I ) Quels sont les différents groupes sanguins  ?

Nous avons tous chacun deux gènes, hérités de nos parents, qui définissent notre groupe sanguin. Il y a le gène A, B, AB ou O. Le gène O est recessif, tandis que les gènes A et B sont dominants. C’est à dire, si quelqu’un hérite d’un gène A (A, B ou AB) et d’un gène O, le groupe sanguin de cette personne sera A (ou B). Par contre, si quelqu’un hérite de deux gènes O (A ou B), son groupe sanguin sera O (A ou B).

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II) Quand et dans quel cas avons-nous besoin de connaître notre groupe sanguin ?

  • En cas d’hémorragie, si une transfusion de sang est nécessaire, elle se fera plus tard, après le contrôle du groupage complet du patient.
  • En cas d’accident, lors d’une intervention chirurgicale ou lors d’un accouchement, il est plus que nécessaire que chacun sache son groupe sanguin.
  • Lors d’une transfusion, le contact entre antigènes et anticorps incompatibles peut entrainer une réaction sévère chez le patient.
  • Pour éviter cette complication il est nécessaire de respecter la compatibilité entre les globules rouges du donneur (poche de sang) et le sérum du receveur (patient). Ceci est systématiquement vérifié avant chaque transfusion.

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III) Quels sont les différents moyens de connaître son groupe sanguin ?

1. On peut s’informer auprès du médecin de famille ou d’une personne autorisée à consulter votre dossier médical.

2. On peut participer à une collecte de sang.

3. On peut le connaître en clinique privée avec une prescription de votre médecin.

4. On peut aussi demander à consulter notre dossier médical à l’hôpital.

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IV) Est-il utile de connaître son groupe sanguin ?

Beaucoup de gens pensent qu’il est utile de connaître son groupe sanguin et d’avoir dans son portefeuille sa carte de groupage. Ils s’imaginent qu’en cas d’accident ou d’hémorragie nécessitant une transfusion, le fait de savoir qu’ils sont par exemple O+ permettra un soin plus rapide. D’ailleurs, le groupe sanguin est toujours demandé lors de l’inscription pour des rallyes.

En fait, en cas d’hémorragie, il n’est jamais injecté du sang en urgence au bord de la route. Les médecins utilisent des produits de remplissages qui permettent de maintenir la pression artérielle jusqu’à l’arrivée à l’hôpital. La transfusion de sang, si elle est nécessaire, se fera plus tard, après contrôle du groupage complet du patient. Le risque de transfuser du sang non compatible est bien supérieur au risque pris en attendant quelques minutes sans transfusion.

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CONCLUSION : Il est important de connaître son groupe sanguin en cas d’accident. Pour connaître son groupe  sanguin il n’y a pas que notre médecins généraliste qui peut nous préscrire un bilan sanguin.

L  ‘exposé a été réalisé par Labesse Anais et Deschatres Elise

Source des textes : Dictionnaire LAROUSSE, http://tatoufaux.com, http://www.mavietonsang.com.