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Le mouvement des plaques indienne et eurasienne à l’origine du séisme au Népal

Introduction:

Ce séisme au Népal a eu lieu à cause des plaques tectoniques. Le mouvement des plaques provoque des phénomènes sismiques ou volcaniques. Le Népal est situé aux croisement de deux plaques majeures, la plaque eurasienne et la plaque indienne.

 

http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/04/28/les-mouvements-des-plaques-indiennes-et-eurasiennes-a-l-origine-du-seisme-au-nepal_4623691_3244.html

Comme on peut le voir sur la photo ci-dessous, les deux plaques se rapprochent l’une vers l’autre depuis plus de cent millions d’années. La plaque indienne se dirige vers le nord. Tout les ans, la plaque Indienne avance de 10 centimètres en se dirigeant vers la plaque eurasienne. Entre elles existait une mer, la Thétys, qui aujourd’hui a disparue.

 

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Il y a cinquante millions d’années, la plaque indienne a fini son chemin et s’est enfoncée sous la plaque eurasienne par phénomène de collision. Ce phénomène a crée le plateau tibétain et la chaîne himalayenne que l’on voit ci-dessous.

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Conclusion:

Après cette catastrophe au Népal le 25 avril 2015, les victimes manquaient de secours, ils n’ont donc pas pu bénéficier d’aide rapidement.

Dans cette région, les pays sont beaucoup trop pauvres pour reconstruire des bâtiments solides et éviter tous ces effondrements et pour diminuer le nombres de victimes.

Contrairement aux Etats-Unis où il y a également des séismes de même niveau, les grattes-ciel sont construits plus solidement alors il n’y a aucunes victimes donc beaucoup moins de dégats.

 

Noms des auteurs: BERNARD Killian, COURTAUD Lou, ADDIAS Margaux

Source de l’article: http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/04/28/les-mouvements-des-plaques-indiennes-et-eurasiennes-a-l-origine-du-seisme-au-nepal_4623691_3244.html

Plus de 5 000 morts au Népal après le séisme

Selon l’ONU, 8 millions de Népalais sont touchés par les conséquences de la catastrophe. Les secours peinent à atteindre les villages reculés. Plusieurs monuments historiques de la capitale népalaise, qui étaient classés au patrimoine mondial de l’Unesco, n’existent plus. Le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui a frappé le Népal samedi est le plus fort recensé dans le pays depuis 1934. Le bilan humain s’aggrave d’heure en heure et l’aide humanitaire s’organise. Le puissant tremblement de terre qui a frappé le Népal samedi et causé plus de 3 700 morts a été suivi de près de cinquante répliques. Dans la capitale ravagée, les habitants se pressaient dans les magasins pour faire des réserves de denrées de base, comme le riz et l’huile. De longues files d’attente s’étaient formées devant les stations-service pour y faire le plein. Des familles entières se ruaient dans les autocars pour se rendre dans leur village d’origine. Les habitants contraints de rester à Katmandou ont passé une troisième nuit dehors, sous des tentes de fortune. Le sol ne cesse de trembler et les gens ont peur de rentrer chez eux. Les hôpitaux sont débordés et les médecins sont mobilisés vingt-quatre heures sur vingt-quatre pour soigner les blessés dans des conditions très difficiles. Les morgues arrivent à saturation. La dégradation de la situation sanitaire est la principale préoccupation. Un orage était annoncé dans les prochaines heures.

Le Népal continue de compter ses morts et de panser ses plaies, plus de deux semaines après le tremblement de terre de magnitude 7,8 qui l’a frappé, le 25 avril. La vie revient à Katmandou, où les commerces rouvrent peu à peu depuis jeudi 7 mai, après le deuil rituel de treize jours observé dans la tradition hindoue.

  • Plus de 8 000 morts, dont 10 Français

Selon les autorités locales, le bilan du séisme est à ce jour de plus de 8 000 morts et près de 16 000 blessés au Népal. Plus de cent personnes ont aussi perdu la vie en Inde et en Chine. Le gouvernement népalais craint que le coût humain ne soit encore plus élevé, une fois tous les cadavres découverts.

Le nombre de Français tués s’élève désormais à dix, a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères, « deux [sont morts] à Katmandou, huit dans la vallée du Langtang », départ de nombreux trails. Lors du précédent bilan, le Quai d’Orsay avait fait état de quatre morts et neuf disparus. Parmi ces derniers, six ont été retrouvés morts et trois vivants.

 

  • Des recherches toujours en cours

Les recherches se poursuivent pour retrouver les victimes, notamment dans la village de Langtang, entièrement dévasté par une coulée de neige. Situé sur l’un des itinéraires de trekking les plus fréquentés du pays, Langtang comptait avant la catastrophe quelque 55 pensions et refuges. dans les décombres du village, dont vingt vendredi. Mais deux de ces corps ont immédiatement été ensevelis par une nouvelle coulée de neige.

« De nouvelles avalanches sont signalées en permanence sur le site », selon Gautam Rimal, responsable de district. La neige, le brouillard et les risques d’avalanche ont contraint dimanche les équipes de secours à suspendre les recherches et à se déplacer pour gagner des endroits plus sûrs. Des habitants estiment que jusqu’à 180 personnes pourraient avoir été ensevelies à Langtang.

Dans certaines régions isolées, parfois situées à des jours de marche des villes, les secours commençaient seulement à arriver en fin de semaine dernière. Plus de 131 500 militaires et policiers participent aux opérations de secours, qui devraient durer encore des semaines, avec l’appui d’hélicoptères des États-Unis.

  • Des milliers de sans-abri

Selon un décompte de l’ONU du 2 mai, 160 786 maisons ont été détruites, et 143 673, partiellement démolies, jetant des centaines de milliers d’habitants dans la rue.

La grande majorité des blessés souffrent de fractures ou de blessures de la colonne vertébrale occasionnées par l’effondrement de bâtiments, souvent de mauvaise qualité.

Selon l’Unicef, près de 24 000 salles de classe ont été détruites ou endommagées, ce qui empêche un million d’enfants d’aller à l’école. Au total, plus de huit millions de Népalais, sur les 28 millions d’habitants que compte le pays, sont affectés par cette situation, selon l’ONU.

  • D’importants besoins en aide d’urgence

Malgré les nombreux appels aux dons, les Nations unies ont annoncé vendredi n’avoir reçu qu’une infime partie des fonds d’urgence pour les victimes du séisme au Népal, estimés à 415 millions de dollars (370 millions d’euros). « Sur les 415 millions de dollars demandés pour soutenir les interventions humanitaires d’urgence, seuls 22,4 millions sont arrivés », a déploré le coordinateur résident des Nations unies pour le Népal, Jamie McGoldrick.

« Les besoins en aide restent importants et nous avons un besoin urgent de fonds pour poursuivre notre travail. Nous devons [distribuer l'aide] dans les plus brefs délais pour que les gens aient un toit au-dessus de la tête, et que leurs besoins soient satisfaits avant le début de la mousson saisonnière. »

Un demi-million d’enfants népalais devraient être vaccinés en urgence contre la rougeole dans les semaines qui viennent, alors que l’Unicef craint une épidémie meurtrière après le séisme. Le fonds des Nations unies pour l’enfance, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le gouvernement népalais se concentrent sur la vaccination dans les régions les plus affectées par la catastrophe.

  • Une économie à redresser

La reconstruction pourrait coûter plusieurs milliards de dollars, une somme colossale pour ce pays qui venait de se relever de la guerre civile. Le Fonds monétaire international (FMI) n’a pas publié de prévision de croissance révisée après le séisme, mais a averti que l’économie allait « décélérer » à court terme, à cause des « pertes de revenues du tourisme et des importations plus élevées».

Avant cette catastrophe, le Népal était un des pays les plus pauvres d’Asie, avec un PIB par habitant inférieur à 1 000 euros, mais ses finances étaient saines et sa croissance avaient atteint 5,48 % en 2014.

Réalisé par Nina

Fukushima : les conséquences de l’explosion

Le vendredi 11 mars 2011 à 14h46 heure française, a eut lieu le plus grand séisme jamais enregistré au Japon. Il est suivit d’un tsunami d’une hauteur de 30 mètres qui s’étendra sur 10 kilomètres au alentours et détruira près de 600 kilomètres de côte.


Fukushima  avant l’explosion                                                 Fukushima après l’explosion


La population subit deux types d’attaques, le premier par inhalation d’air contaminé lors du passage du nuage radioactif et le second par exposition aux dépôts radioactifs. Le 13 décembre 2011 la préfecture révèle les premiers résultats préliminaires sur 1727 habitants de Namie situé à dix et cinquante kilomètres de la centrale.

1/ Une zone d’évacuation

Sur la carte ci-dessous nous pouvons voire une description de la zone d’évacuation.

Les villes suivantes ont été évacuées : Namie, Katsurao, Mlnamisoma, Kawamata, Itate. Des milliers de personnes sont évacuées vers d’autres villes

Seules une évacuation dans un rayon de 8 à 10 kilomètres faisant l’objet d’une urgence est prévue.

L’état d’urgence nucléaire ayant été décrétée par le gouvernement le 11 mars à 19h03, la préfecture de Fukushima émet un ordre d’évacuation pour les personnes situées dans un rayon de 2 km autours du réacteur n°1 de la centrale.

Pleins de personnes sont obligées de déménager, d’autres habitants resteront au dépend de leur vie..

 

 

2/Conséquence sur la population

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La photographie ci-contre montre les personnes à la recherche d’éventuels survivants.

Les conséquences sont que plusieurs personnes sont mortes notamment par le séisme et le tsunami. Encore aujourd’hui les habitants près de Fukushima  qui n’ont pas été évacuées sont sous la menace des radiations.

 

3/Conséquence économique et alimentaire

 

Le reste de la population non évacuée doit faire face aux radiations notamment dans l’eau potable et dans la nourriture. Les produits d’alimentation non contaminé se font de plus en plus rare. Le gouvernement a même interdit la vente de produits agricoles. L’économie japonaise est complètement boulversée car il n’y a presque plus personnes dans l’alentour de fukushima. Les survivants et les non-évacués ne sont pas nombreux et doivent se débrouiller seuls. La ville n’a pas encore été reconstruite et l’on doute que cela se fasse rapidement car 1 ans après il y a pas de progrès remarquables. Nous disons ça car comme le séisme à Haiti la ville a été reconstruite sure mais la vie n’est plus celle d’avant plus de délinquants plus de chomage et une vie économique moins importante qu’avant. Le japon étant en plein développement mondial le séisme l’a quand même chamboulé.

Conclusion:

Sa vie économique est boulversée car pour la première fois depuis 42 ans le Japon ne dispose plus d’aucun réacteur nucléaire en service. Une situation qui pourrait s’avérer déterminante pour l’avenir énergétique de l’archipel.


Tremblement de terre du 26 décembre 2004

TREMBLEMENT DE TERRE DU 26 DECEMBRE 2004

1 -Où & quand s’est passé le séisme ? Le 26 décembre 2004 à 00 h 58 min 53 s a eu lieu au large de l’île indonésienne de Sumatra un séisme d’une magnitude de 9,1 à 9,3.Ce tremblement de terre est l’un des plus violents jamais enregistrés dans le monde. Seuls trois séismes connus et mesurés ont eu une magnitude égale ou supérieure. 2-Régions frappées par le séisme  Le tremblement de terre a provoqué un raz-de-marée (ou tsunami) qui a frappé l’Indonésie, les côtes du Sri Lanka et du sud de l’Inde, particulièrement dans l’État du Tamil Nadu, ainsi que le sud de la Thaïlande et l’île touristique de Phuket. Le bilan en pertes humaines est catastrophique : selon le bilan officiel, il y a au moins 222 046 morts et disparus. Le séisme proprement dit a été ressenti dans plusieurs pays de la région, dont les îles Maldives, le Sri Lanka, l’Inde, le Bangladesh, Myanmar, la Thaïlande, la Malaisie et Singapour. Cependant, au-delà de ces pays, les raz-de-marée qui ont suivi sont à l’origine du plus grand nombre de victimes, car leurs effets se sont faits sentir sur tout le pourtour de l’Océan Indien, jusqu’aux côtes est-africaines de Somalie et l’île française de la Réunion, ou les côtes nord-ouest de l’Australie.   3- Cause du séisme Ce séisme a été formé à cause du glissement de la plaque indienne sous la microplaque Andaman qui était bloquée. Ce blocage du à la plaque indienne a formé une accumulation de contraintes énormes et quand  la plaque Andaman s’est débloquée cela a commis un brusque réajustement qui a permis le déplacement de la plaque supérieure. Ce mouvement brutal et particulièrement énergique a donnée une force à la colonne d’eau située au-dessus. Ce qui a produit une série d’ondes géantes. La ligne de la faille océanique où s’est produit le séisme est longue de 1 200 kilomètres et orientée nord-sud. De ce fait, la plus grande partie de l’énergie du tsunami s’est répartie dans les directions opposées est-ouest. L’île de Sumatra a été frappée de plein fouet par les vagues géantes. Des pays très éloignés, comme la Somalie (à un peu moins de 5 000 kilomètres du séisme, en Afrique), ont été sévèrement touchés. Le Sri Lanka a créé une barrière protectrice pour une petite partie des plages du sud de l’Inde.   4- Bilan catastrophique Le bilan catastrophique peut s’expliquer en partie pour deux raisons. D’une part, la population et les autorités locales, n’ayant jamais été préparées à une telle éventualité, elles ont été prises par surprise — plusieurs personnes rescapées ont rapporté avoir d’abord été à la rencontre de la vague, « par curiosité », en constatant le retrait spectaculaire de la mer, qui annonce l’arrivée imminente de la première vague géante du tsunami. D’autre part, il n’existe pas de dispositif de surveillance des tsunamis dans l’océan Indien. Bien que l’alerte ait été donnée dans quelques régions de l’Inde par les télévisions locales, l’information est majoritairement très mal passée, et semble même avoir été souvent bloquée par crainte du désordre public.   5- Bilan de cette catastrophe :
  • 178 132 morts dont au moins 3 049 étrangers mais seulement 1 870 identifiés.
  • 43 914 disparus dont 37 066 considérés morts.
  • 15 428 blessés
  • Diverses sources indiquent que de nombreux animaux ont été victimes du tsunami, principalement en Indonésie ; la faune et la flore ont été « durement touchées« .
Les vagues du séisme ont mesurées jusqu’à 10 fois la taille d’un homme Fichier:Tsunami size scale 26Dec2004.png     Cet article a été fait par Elise, Clémence et Manon. Pour faire notre article nous avons utilisé le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tremblement_de_terre_du_26_d%C3%A9cembre_2004

Que faire avant, pendant et après un séisme

I   Avant un séisme   Un séisme arrive sans aucun signe avant coureur. Il vous surprendra dans votre sommeil, au travail, ou chez vous. Il est en effet impossible de prévoir sa survenue. Il se produira donc toujours à un moment où vous ne vous y attendrez pas. Cependant, un certain nombre d’actions peut être entreprises afin d’anticiper le risque, de vous éviter d’être blesser, et de limiter les dégâts sur vos biens.                                                       II  Pendant un séisme   Se mettre à l’abri (encadrement de porte,table massives…). Attention: Des objets peuvent se renverser ou se mettre à glisser et les revêtements de plafond peuvent se détacher. Chercher un endroit dégagé, à l’écart des bâtiments, ponts, pylônes grands arbres.  Restez calme!!!                                    Si vous êtes à l’INTERIEUR : placez-vous près d’un mur, d’une colonne porteuse ou sous des meubles solides. Eloignez-vous des fenêtres. Si vous êtes au LIT : attendez en vous protégeant la tête avec un oreiller. Les objets situés au-dessus de vous peuvent tomber. De plus, les éclats de verre cassé sur le sol blessent souvent les personnes qui ont cherché à évacuer ou à sortir du lit pour se glisser dessous. Si vous êtes à l’EXTERIEUR : éloignez-vous le plus possible des bâtiments, des arbres, des lignes à haute tension. Accroupissez vous et protégez-vous la tête. Les équipements comme les antennes de télévision, les cheminées, les pots de fleurs ou tout autre objet qui pourraient tomber suite aux secousses risquent de blesser toute personne se situant à proximité d’un bâtiment. Si vous êtes en VOITURE : arrêtez-vous et conservez votre ceinture attachée jusqu’à ce que la secousse se soit arrêtée. Les arbres, les lignes à haute tension, les poteaux, les panneaux de signalisation, et d’autres articles peuvent tomber pendant les tremblements de terre. L’arrêt limitera les risques d’accident, et l’habitacle vous protégera des chutes d’objets. Une fois la secousse terminée, procédez avec prudence. Évitez les ponts ou les rampes qui pourraient avoir été endommagés par le séisme. Si vous êtes dans un MAGASIN OU TOUT AUTRE ENDROIT PUBLIC, ne vous précipitez pas vers les sorties. Eloignez-vous des étagères contenant les objets qui pourraient tomber. Si vous êtes dans la CUISINE, éloignez-vous du réfrigérateur, du fourneau, et des placards suspendus. Si vous êtes dans un STADE ou un THEATRE, restez dans votre siège et protégez votre tête avec vos bras. N’essayez pas de partir avant l’arrêt des secousses. Partez alors dans le calme, de façon ordonnée.   III  Après un séisme   Rentrez chez vous avec précaution, aérez bien votre habitation. N’allumez pas de flamme avant d’avoir la certitude qu’il n’y a pas de fuite de gaz. Vérifiez que personne n’est resté coincé dans les ascenseurs. Prévenez les secours en cas de besoin. En cas de séisme important : Evacuez le bâtiment dès l’arrêt des secousses en faisant bien attention aux objets qui sont tombés par terre et à ceux qui menacent de le faire. Surtout n’utilisez pas les ascenseurs! Eloignez-vous rapidement du bâtiment. Pensez à emporter les objets de première nécessité (par exemple une couverture en hiver ) Coupez les réseaux si vous en avez la possibilité. Méfiez-vous des répliques. Elles se produisent fréquemment dans les minutes, les jours, les semaines, et même les mois qui suivent un tremblement de terre. Aidez vos voisins, en particulier les plus vulnérables (personnes âgées, personnes à mobilité réduite, enfants…) Restez loin des fenêtres. Elles peuvent se briser avec une telle force que vous pouvez être blessés même à quelques mètres. Attendez-vous à ce que les systèmes anti-incendie se déclenchent même s’il n’y a aucun feu dans l’immeuble. Si vous êtes dans un secteur montagneux, voire proche de pentes ou de falaises qui risquent de se révéler instables, soyez vigilants ! Des chutes de pierres, des éboulements et des glissements de terrain sont possibles. En cas d’ensevelissement : se manifester en tapant sur les parois Examinez-vous pour déceler d’éventuelles blessures. Vous pourrez mieux vous préoccuper des autres et serez plus utiles pour les secours si vous n’êtes pas blessés ou si vous avez déjà reçu les premiers soins. Lorsque cela est possible, avant de porter assistance aux secours, protégez-vous contre d’éventuelles nouvelles blessures en mettant un pantalon, une chemise ou un tee-shirt aux manches longues, des chaussures dures, et des gants de travail. N’essayez pas de déplacer les personnes blessées sans l’avis des secours professionnels à moins qu’elles ne soient en danger immédiat pour leur survie. Écoutez la radio. N’utilisez le téléphone qu’en cas d’extrême urgence. Les réseaux téléphoniques seront vite saturés. Il est important que les appels d’urgence aient la possibilité d’être passés. Vous devez surveiller vos animaux de compagnie. Il est conseillé de les placer dans un endroit clos. Leur comportement peut changer nettement après un tremblement de terre. Ils peuvent devenir agressifs. Faites attention aux lignes électriques tombées ou aux conduites de gaz endommagées. De manière générale, évitez les secteurs endommagés. Ne rentrez pas chez vous sans l’autorisation des autorités compétentes. Les répliques d’un tremblement de terre peuvent endommager davantage les bâtiments fragilisés.                  Article réalisé par : Laurie, Aline et Clothilde. Le site que nous avons utilisé est : http://www.prim.net/citoyen/moi_face_au_risque/223_seisme.html 

Les Risques Sismiques en Région Centre

LES RISQUES SISMIQUES EN REGION CENTRE

  Bien que n’étant pas sujette à de forts tremblements de terre, la région Centre connaît régulièrement des séismes. Le centre ne connait pas beaucoup de séismes mais elle en connait quand même quelques un à cause de la proximité avec la chaîne des puys. La plupart des séismes sont en region montagneuse et du coté du cher et de l’indre car les montagnes en sont le plus près des regions montagneuses,  mais jamais de trop grande intensité sauf quelques dommages pronnoncés autour du cher. Aucune destruction totale ne s’est produite en région centre (du moins de nos temps) et ni aux alentours. carte     Ivan et Charles.