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Articles produits par les élèves de 3e5 pendant l’année scolaire 2012-2013.

LES IMPLANTS AUDITIFS

LES IMPLANTS AUDITIFS.


Présentation :

Les implants auditif (aussi appelé « implant cochléaire ») sont invisibles pour cause de discrimination sociale qui y est associée.

Ils sont logés sous la peau derrière l’oreille. Il n’y a pas de gène pour la personne malentendante.


Au-delà de l’aspect esthétique qui est important, le bénéfice majeur de l’implant auditif reste la compréhension de la parole. En effet, l’implant utilise l’anatomie de l’oreille et le tympan comme microphone naturel permettant ainsi de reproduire une meilleure clarté des sons. Ainsi la personne malentendante n’a plus d’handicap pour entendre les sons.

 

1 : A quoi ça sert?

Un implant auditif est un dispositif médical électronique destiné à restaurer l’audition de personnes atteintes d’une perte d’audition sévère et qui comprennent difficilement la parole à l’aide de prothèses auditives. L’implant auditif ouvre au patient un nouveau mode de sons.

 

2 : De quoi se compose un implants?

Il se compose d’une partie externe, amovible au même titre qu’un appareillage traditionnel, et d’une partie interne qui est introduite au cours d’une intervention chirurgicale.

La partie externe est composée d’un microphone, dont le rôle est de capter les sons, d’un processeur vocal, qui contient le(s) programme(s) chargé(s) de transformer les sons captés en signaux électrique, d’une antenne émettrice comportant un aimant et reliée au processeur : les signaux électriques du processeur sont transmis, via l’antenne, au récepteur-stimulateur situé sous la peau.

De l’appareil, deux câbles entrent dans l’oreille moyenne. Les ondes sonores se propagent à travers le conduit auditif jusqu’au tympan qu’elles font vibrer. Ces vibrations mettent à leur tour les osselets de l’oreille moyenne en mouvement. L’appareil enregistre ces mouvements et transfère l’énergie vers le limaçon qui transmet le signal au cerveau. Le cerveau interprète les signaux comme perception auditive.

 

3 : Comment fonctionne-t-il?

Le principe est le suivant :

  • Le message sonore est capté par le micro situé dans un support qui ressemble à un traditionnel contour d’oreille ;

  • Ce son est transmis au micro processeur (situé dans le contour d’oreille) où il est transformé en signal électrique pour qu’il soit le plus compréhensible possible pour la parole ;

  • Ce signal est envoyé à l’antenne, appliquée contre la peau, adhère par aimantation, au récepteur situé derrière l’oreille. La transmission se fait, à travers la peau, par ondes radio.

  • Le récepteur décode le signal et l’envoie, sous forme d’un jet d’impulsions électriques, vers le faisceau d’électrodes ;

  • Les contacts des électrodes stimulent directement les fibres nerveuses dans la cochlée en court-circuitant les cellules ciliées endommagées ;

  • La stimulation des fibres nerveuses provoque des impulsions électriques qui sont véhiculées jusqu’au cerveau par le nerf auditif. Le cerveau est alors à même d’interpréter ces signaux comme un son.

 

4 : Est-ce que les patients sont satisfaits?

http://www.youtube.com/watch?v=gjoD2znhy-A

Cette vidéo prouve que les personnes sont heureuse après l’opération. Cette femme a 29 ans et elle est née sourde. Regardez la réaction qu’elle a quand son implant auditif se met en marche.

 

5 : A quel âge peut-on avoir un implant auditif?

http://www.youtube.com/watch?v=nTV9v8pSTc0

Cette vidéo montre que même les bébés (celui-ci a seulement 8 mois) peuvent avoir un implant auditif. Tout le monde peut en avoir un, a tout âge.

 

6 : Combien coute-t-il? Qui paie?

Le coût global de l’implant cochléaire est estimé à environ 45 000 €.
Il comprend les bilans pré-opératoires, l’opération, l’implant lui même et la prise en charge post opératoire.

En France, ce coût est pris en charge pour les personnes bénéficiant des prestations de la sécurité sociale.

 

VOICI LES TEMOIGNAGES DES PATIENTS.

Robert, implanté en décembre 2012

Depuis 35 ans, j’avais perdu l’audition de mes deux oreilles , mais avec un appareil à l’oreille gauche, j’arrivai à comprendre moyennement quelques paroles ; je faisais répéter régulièrement ce que l’on me disait , mais peu à peu je me suis tourné dans la solitude ; je ne participais plus aux conversations pendant les fêtes de famille et réunions ; malgré que ma famille et mes amis fassent le maximum pour m’aider, je me suis replié sur moi-même ; bien sûr pour certaines personnes, il y avait à mon encontre des soupirs, des grimaces et des réflexions de mauvais goût.

Un jour j’ai eu la chance que l’on me propose vu mon état auditif la pose d’un implant cochléaire ; c’est vrai que j’ai eu des doutes quant à la réussite, mais je me suis décidé rapidement ; après tous les examens, enfin un grand espoir de réentendre. J’ai été opéré le 4 décembre 2012 ; il y a eu quelques petites complications post-opératoires (vertiges, maux de tête, petite infection derrière l’oreille) ; mais tous ces petits désagréments ont été dérisoires par rapport au résultat que j’ai eu. La partie externe de l’implant m’a été posée le 18 décembre pour pouvoir déjà en profiter pour Noël ; J’ai donc passé les fêtes de Noël et du jour de l’An en famille et quelle joie de commencer à entendre et de reconnaitre enfin les voix de tous ceux que je connaissais depuis tant d’années sans les comprendre, entre autres mes petits-enfants et en plus le bruit de l’eau, le réveil, le ronronnement de mon chat, etc merveilleux !!!

 

Estelle, implanté en juin 2011

Ma surdité, très probablement d’origine génétique, a été décelée à l’adolescence.

Longtemps stable, mon audition s’est peu à peu dégradée notamment sur les fréquences graves et médiums.
Les prothèses numériques ne m’apportant plus rien ou si peu, l’implant s’est vite imposé comme l’ultime solution pour sortir du silence.

 

 

Conclusion :

Le bilan est positif car des personnes malentendantes retrouvent l’ouïe grâce aux implants. Mais la technologie n’est pas finalisée donc on peut encore s’attendre à des progrès sur ce sujet comme à un implant implanté directement dans le cerveau ou bien plus encore… Beaucoup de personnes sont satisfaites de ce progrès médical.

Greffes, transplantations et cellules souches

GREFFES, TRANSPLANTATION

ET CELLULES SOUCHES.

I/GREFFES ET TRANSPLANTATIONS :

En médecine, une greffe ou une transplantation est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organe sain, appelé « greffon » ou « transplant ». Une transplantation est réalisée avec une connexion entre des vaisseaux sanguins. Une greffe n’est pas irriguée par les vaisseaux sanguins.

L’autogreffe : Le greffon appartient à la personne qui se fait greffée.

L’allogreffe : Le greffon appartient à un donneur de la même espèce.

La Xénogreffe : Le greffon appartient à un donneur qui n’est pas de la même espèce.

L’isogreffe : Le greffon appartient au jumeau du receveur.

 

1) LES REJETS ET LES TRAITEMENTS.

Le rejet est un phénomène naturel.

C’est la destruction, après sa reconnaissance, de tout élément étranger pénétrant dans un organisme vivant ; réaction bénéfique lorsque qu’il s’agit d’un microbe, par exemple ; mais regrettable s’il s’agit d’une greffe.

Le traitement utilisé contre les rejets s’appelle « Immunosuppression ».Il bloque partiellement les défenses immunitaires afin d’éviter un rejet du greffon.

 

2) LE DONNEUR.

Le donneur peut-être un proche, un inconnu ou même dans certains cas, un animal.Mais il faut tout de même que l’organe et le groupe sanguin soient compatibles.

 

3) QUELQUES CHIFFRES.

1ère greffes viables mondiales :

1955 pour le rein.

1967 pour le cœur.

1981 pour le bloc cœur-poumons.

 

1ère greffes viables françaises :

1959 pour le rein.

1968 pour le cœur.

1972 pour le foie.

1976 pour le pancréas.

1982 pour le bloc cœur- poumons.

1987 pour le poumon seul.

 

En France, en 2011 :

-10 506 personnes sont en attente d’une greffe d’organes,

4 945 personnes ont été greffées réparties de la façon suivante :

- 312 greffes de poumons.

- 12 greffes cœur-poumons.

- 398 greffes de cœur.

- 1 164 greffes de foie.

- 73 greffes de pancréas.

- 10 greffes d’intestins.

- 2 976 greffes de rein.

 

II/CELLULES SOUCHES.

1) QUE SONT LES CELLULES SOUCHES ?

Une cellule souche est une cellule indifférenciée se caractérisant par la capacité à engendrer des cellules spécialisées par différenciation cellulaire et une capacité à se maintenir par prolifération dans l’organisme (auto-renouvèlement)

Les cellules souches ont deux qualités que ne possèdent pas les autres cellules : leur capacité à se multiplier indéfiniment en culture in vitro, aussi longtemps qu’elles sont laissées dans un état indifférencié; et leur aptitude à se différencier dès lors que leur sont proposés des facteurs adéquat.

 

2) QUELLES PEUVENT ETRE LEURS FONCTIONS POUR LA SCIENCE.

Leur caractéristiques  permettent d’envisager une utilisation thérapeutique des cellules souches humaines pour traiter certaines pathologies actuellement incurables.

Des chercheurs peuvent recrée in vitro des cellules qui ressemble aux cellules nerveuses humaines.

À partir de cellules souches.

En 2004 des scientifiques ont réussi grâce aux cellules souches à refermer une fracture trop large pour être soigner sur une souris  en appliquant des cellules souche a la fracture il ont réussi à la soigner .

Les travaux initiés par Leroy Stevens et Barry Pierce dans les années 1950 sur l’étude des ont permis d’isoler les cellules souches embryonnaires. Des cellules capables de générer toutes les cellules sanguines sont découvertes dans la moelle osseuse. La première greffe de moelle osseuse est effectuée en 1958.

 

Définitions :

La différenciation cellulaire.

Est un concept de biologie du développement décrivant le processus par lequel les cellules se spécialisent en un « type » cellulaire.

Cellule indifférencié.

Ce dit de cellules tumorales qui perdent leurs caractéristiques cellulaires de différentiation propre.


La disparition d’espèces

 

La disparition d’espèces

Combien d’espèces sont en voie de disparition en France ?

En France métropolitaine, 9% des mammifères, 19% des reptiles, 21% des amphibiens et 27% des oiseaux nicheurs sont menacés de disparition du territoire. Tout comme 22% des poissons d’eau douce et 28% des crustacés d’eau douce. Pour la flore, 17% des espèces d’orchidées sont menacées.

 

 

 

Comment se fait-il que ces espèces disparaissent ?

La disparition des espèces est naturelle et même nécessaire à l’évolution . Certaines ne résistent aux changements de climats, d’autres s’éteignent peu à peu. Chaque jour, plusieurs espèces disparaissent naturellement. Mais plusieurs aussi disparaissent de la faute des hommes. Ceux-ci poussent des espèces qui devraient vivre à disparaître. Les causes des disparitions des animaux dues aux hommes sont nombreuses. Parmi elles, la plus désastreuse: la destruction du milieu de vie. La disparition des espèces peut aussi provoquer de graves problèmes concernant le cycle alimentaire. Ils peuvent provoquer la disparition de leurs prédateurs, restés sans nourriture. A ce jour, environ 2300 espèces sont sérieusement menacés de disparition du fait des activités humaines.

Quelles institutions ont été crées pour aider ces animaux ?

Des associations comme WWF ont été crées pour sauvegarder les animaux en voie de disparition.

 

La comparaison entre l’agriculture biologique et l’agriculture intensive. Laquelle choisir ?

Nous allons vous présenter les deux types d’agricultures : il y a l’agriculture biologique et l’agriculture intensive.

1.L’agriculture biologique

L’agriculture biologique est une méthode de production agricole qui se caractérise par l’absence d’usage de la chimie de synthèse. Elle se veut le prolongement d’une agriculture traditionnelle millénaire qui a été presque totalement exempte d’intrants chimiques, à l’opposé de leur utilisation massive par l’agriculture industrielle et intensive depuis le XXe siècle. Cette méthode affirme mieux respecter le vivant et les cycles naturels. Il n’existe pas de données mettant en évidence un impact environnemental de cette forme d’agriculture vis-à-vis de toutes les autres, pour toutes les cultures et en tous lieux, dans certains cas c’est l’inverse. Le 1er août 2012, la nouvelle réglementation sur la vinification biologique est rentré en vigueur. Pour atteindre les objectifs du label, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l’usage d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d’organismes génétiquement modifiés.Les agriculteurs qui pratiquent ce type d’agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures, l’engrais vert, le compostage, la lutte biologique l’utilisation de produits naturels comme le purin d’ortie ou la bactérie , et le sarclage mécanique pour maintenir la productivité des sols et le contrôle des maladies et des parasites. Dans le monde, environ 37,5 millions d’hectares étaient consacrés à l’agriculture biologique en 2009.Au sein de ces dernières, l’agriculture biologique se caractérise notamment par le fait que l’épithète « biologique », ou son abréviation « bio » impliquent une certification attribuée correspondant à des normes et à des cahiers des charges, et que le mot est, souvent, légalement protégé. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance pour ce type d’agriculture ont été définis.

2.L’agriculture intensive

L’agriculture intensive est un système de production agricole « fondé sur l’optimisation de la production par rapport à la surface cultivée, qui requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants agricoles (énergie, engrais, matériel). »En fonction des moyens mobilisés on peut avoir une productivité physique par unité de main-d’œuvre (UTH, pour unité de travail humain) ou une productivité physique par unité physique ou économique exploitée (productivité par hectare de surface agricole, par unité de surface dans un bâtiment d’élevage ou dans une serre, par quantité de capital immobilisé). En fait la productivité est une notion inhérente au système technique utilisé, ce qui impose de le définir préalablement. Ainsi, à rebours de la productivité des systèmes agricoles intensifs conventionnels, Michel Griffon met en avant une productivité qui est le résultat de moyens écologiques mis en œuvre, il développe dans ce sens l’idée d’agricultures écologiquement intensives  fondées sur la mobilisation de technologies ayant globalement un effet positif sur l’environnement. Dans cette approche on pourra consulter aussi l’article Micro-agriculture biointensive. Les eaux polluées par les substances chimiques et organiques utilisées dans l’agriculture intensive s’infiltrent dans le sol, ruissellent, pour atteindre les nappes phréatiques, les cours d’eau souterrains et les rivières avoisinantes. Le traitement des eaux polluées par les nitrates et les produits phytosanitaires notamment est très coûteux, et son efficacité est limitée. Le traitement des eaux ne peut pas anéantir toutes les substances chimiques ou organiques utilisées dans l’agriculture intensive, qui se retrouvent au final dans l’environnement. L’agriculture intensive contribue à la desertification des sols. Les haies, les petits bois, les talus, les prairies sont détruits pour favoriser la plus grande surface agricole possible : mais ils contiennent une riche et essentielle biodiversité, et leur éradication est également responsable de fortes inondations, car les barrières naturelles au ruissellement des eaux n’existent plus

Conclusion :

L’agriculture biologique sera de plus en plus utilisée car elle n’utilise pas d’intrants mais il faudra toujours l’agriculture intensive car à elle seule elle nourrit toute la population.

La maison productrice d’énergie

LA MAISON PRODUCTRICE D’ENERGIE

Il existe deux types de maisons productrice d’énergie : les maisons qui produisent de l’énergie et les maison a énergie positive.

I. La maison qui produit de l’énergie.

Les maisons qui produisent de l’énergie sont des habitations qui produisent de l’énergie pour la revendre au réseau EDF. Il y a quelque exemples des maisons productrices d’énergie dans le département de l’INDRE, comme à Saint-CHARTIER où se trouve une ferme dont tous les toits sont recouverts de panneaux photovoltaïques. Les toits des hangars et de la maison sont inclinés en direction du sud car c’est dans cette direction que le soleil « tape » le plus, donc c’est comme ça que l’on peut produire le plus d’énergie possible.

II. La maison à énergie positive

Un bâtiment à énergie positive est un bâtiment qui produit plus d’énergie (électricité, chaleur) qu’il n’en consomme pour son fonctionnement. Cette différence de consommation est généralement considérée sur une période lissée d’un an. Si la période est très courte, on parle plutôt de bâtiment autonome. C’est généralement un bâtiment passif très performant et fortement équipé en moyens de production d’énergie par rapport à ses besoins en énergie. Les toits, murs, voire les fenêtres ou d’autres éléments (verrières de véranda ou balcons, murs d’enceinte, toiture de garage ou appentis, fondations, etc.) peuvent être mis à profit pour accumuler et restituer de la chaleur ou produire de l’électricité. La quantité d’énergie produite par les toit, les murs, doivent  au moins compenser la somme des consommations énergétiques moyennes annuelles sous le toit. Une centaine de réalisations à énergie positive en France (65 % dans le tertiaire ; 29 % en maisons individuelles et 6 % en logements collectifs). C’est très économique du point de vue du respect de l’environnement.

GABRIEL MASSICOT & OSCAR SIMONIN

LA MALADIE D ALZHEIMER

En France, la maladie d Alzheimer touche 85000 personnes. La maladie d Alzheimer peut se développer chez tous les individus.

I: Qu’est ce que la maladie d’alzheimer?

La maladie se caractérise par la mort de neurones, les cellules du cerveau. Cette mort cellulaire s’amplifie au fur et à mesure que la maladie s’ aggrave et peut entrainer la perte de certaines fonctions, comme :

La mémoire

Le raisonnement, le langage

Le jugement et l’humeur

Voici une illustration des conséquences de la disparition massive de cellules dans tout le cerveau au stade avancé de la maladie d’Alzheimer.

coupe d’un cerveau atteint de la maladie .

II: Qu’est qui se passe dans le cerveau?

1) Dans un cerveau atteint d’Alzheimer:

-Le cerveau se recroqueville et est endommagé au niveau des zones associées à la pensée, à la planification et à la mémoire.

-Le rétrécissement est particulièrement marqué dans l’hippocampe, le cortex joue sur un rôle essentiel dans la formation de nouveaux souvenir.

-Les ventricules (cavité du cerveau) sont des espaces remplis de fluide à l’intérieur du cerveau qui grossissent.

La progression de la maladie :

A mesure qu’évolue la maladie d’Alzheimer, les plaques et les enchevêtrements (partie bleutées) ont tendance à progresser à travers le cortex.Les personnes atteintes de la maladie d’ Alzheimer vivent en moyenne huit ans , mais certaines personnes peuvent vivre jusqu’à 20 ans .

2) Les symptômes:

- La mémoire à court terme: ( nom de la personne rencontrée, les proches…)

-Sens de l’orientation: ( se souvenir des dates d’anniversaire, difficultée à retrouver le jour de la semaine…)

Les traitements:

A ce jour, il est impossible de guérir la maladie d’Alzheimer. En revanche, les médicaments peuvent agir sur les troubles cognitifs et comportementaux spécifiques de la maladie.

 

CONCLUSION

Nous l’avons vu, la maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative qui touche différentes parties du cerveau. Elle évolue en 3 phases: légère, modérée et sévère.

Il existe deux formes de la maladie, une forme à prédisposition génétique, et une forme génétique dominante beaucoup plus rare. Il faut savoir que le seul vrai facteur de risque est le facteur génétique mais il existe des facteurs aggravants comme le diabète ou l’hypertension.