


TREMBLEMENT DE TERRE DU 26 DECEMBRE 2004
1 -Où & quand s’est passé le séisme ? Le 26 décembre 2004 à 00 h 58 min 53 s a eu lieu au large de l’île indonésienne de Sumatra un séisme d’une magnitude de 9,1 à 9,3.Ce tremblement de terre est l’un des plus violents jamais enregistrés dans le monde. Seuls trois séismes connus et mesurés ont eu une magnitude égale ou supérieure. 2-Régions frappées par le séisme Le tremblement de terre a provoqué un raz-de-marée (ou tsunami) qui a frappé l’Indonésie, les côtes du Sri Lanka et du sud de l’Inde, particulièrement dans l’État du Tamil Nadu, ainsi que le sud de la Thaïlande et l’île touristique de Phuket. Le bilan en pertes humaines est catastrophique : selon le bilan officiel, il y a au moins 222 046 morts et disparus. Le séisme proprement dit a été ressenti dans plusieurs pays de la région, dont les îles Maldives, le Sri Lanka, l’Inde, le Bangladesh, Myanmar, la Thaïlande, la Malaisie et Singapour. Cependant, au-delà de ces pays, les raz-de-marée qui ont suivi sont à l’origine du plus grand nombre de victimes, car leurs effets se sont faits sentir sur tout le pourtour de l’Océan Indien, jusqu’aux côtes est-africaines de Somalie et l’île française de la Réunion, ou les côtes nord-ouest de l’Australie. 3- Cause du séisme Ce séisme a été formé à cause du glissement de la plaque indienne sous la microplaque Andaman qui était bloquée. Ce blocage du à la plaque indienne a formé une accumulation de contraintes énormes et quand la plaque Andaman s’est débloquée cela a commis un brusque réajustement qui a permis le déplacement de la plaque supérieure. Ce mouvement brutal et particulièrement énergique a donnée une force à la colonne d’eau située au-dessus. Ce qui a produit une série d’ondes géantes. La ligne de la faille océanique où s’est produit le séisme est longue de 1 200 kilomètres et orientée nord-sud. De ce fait, la plus grande partie de l’énergie du tsunami s’est répartie dans les directions opposées est-ouest. L’île de Sumatra a été frappée de plein fouet par les vagues géantes. Des pays très éloignés, comme la Somalie (à un peu moins de 5 000 kilomètres du séisme, en Afrique), ont été sévèrement touchés. Le Sri Lanka a créé une barrière protectrice pour une petite partie des plages du sud de l’Inde. 4- Bilan catastrophique Le bilan catastrophique peut s’expliquer en partie pour deux raisons. D’une part, la population et les autorités locales, n’ayant jamais été préparées à une telle éventualité, elles ont été prises par surprise — plusieurs personnes rescapées ont rapporté avoir d’abord été à la rencontre de la vague, « par curiosité », en constatant le retrait spectaculaire de la mer, qui annonce l’arrivée imminente de la première vague géante du tsunami. D’autre part, il n’existe pas de dispositif de surveillance des tsunamis dans l’océan Indien. Bien que l’alerte ait été donnée dans quelques régions de l’Inde par les télévisions locales, l’information est majoritairement très mal passée, et semble même avoir été souvent bloquée par crainte du désordre public. 5- Bilan de cette catastrophe :Le piton de la fournaise est un volcan encore actif aujourd ‘hui qui d ‘après de nombreuses éruption dangereux ou non , continue a « cracher » sa lave sur l’île de la Réunion .
Le Piton de la Fournaise est un volcan effusif, de point chaud et isolé, situé au sud-est de la Réunion, qui atteint 2631 mètres d’altitude.
Il est caractérisé par des coulées de lave jaune et rouge fluide. Lorsqu’elle refroidit, sa lave se transforme en une roche sombre, appelée basalte.
Il est en forme de cône avec un cratère.
Le volcan est connu depuis 1638. Il a eu environ une éruption par an.
Depuis 1977, la science et les chercheurs ont fait de lui un observatoire scientifique. Puis en 1982, la commission européenne le désigne comme « volcan laboratoire ». La particularité de ce volcan est que ses coulées de laves liquides passent toujours par le même endroit, ou presque, qui est appelé l’enclos.Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
1) prévoir une éruption |
Les volcans sont principalement connus pour leur pouvoir destructeur. Pour prévoir une éruption il faut, bien connaître le volcan que l’on étudie. Ainsi, le volcanologue, est d’abord un historien qui tente de reconstituer les éruptions antérieures, d’estimer leurs ampleurs, et de les dater. Ce travail permet d’établir une carte dite de risques où sont définies les zones les plus dangereuses. Ainsi, les différentes zones d’évacuation sont caractérisées selon le type d’éruption pressenti . |
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2) il est impossible de prévoir exactement une éruption volcanique |
Il est impossible à 100 % de les prevoir avec certitude. Tout dépend aussi du volcan; certains sont tellement rapides qu’on ne sait détecter une éruption que quelques minutes avant ; D’autres sont plus lents, et certains signes peuvent alerter, par exemple des fumerolles, des tremblements de terre, la disparition des oiseaux indique souveht une éruption.
En plaçant des capteurs dans la corolle du volcan on peut visualiser l’augmentation de la pression et de le température, on peut alors déduire un « risque » d’éruption mais on ne peut pas prévoir une date précise..
Pour prévoir les éruptions, les chercheurs :
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A l’aide d’appareils compliqués et de la connaissance du terrain on peut estimer à court terme, quand le magma remplit la chambre magmatique, le délai de la prochaine éruption (marges d’erreurs importantes). Par contre son amplitude et ses particularités sont imprévisibles. |
nous avons été sur :
http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20061023114715AA2fl3C et http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/Lapicque/tpe/studer/les_volcans.htm et |
INTRODUCTION Les bâtiments à ossature de bois assurent une excellente protection des occupants lors de tremblements de terre. C’est l’un de leurs avantages, et il est clairement établi qu’en cas de séisme, une maison à plate-forme de bois est un des endroits les plus sécuritaires. PARAGRAPHE N°1
Le bois est un matériau de construction qui présente certains avantages par rapport aux autres matériaux en ce qui a trait à la résistance aux séismes. Il est résistant mais léger, si bien que les accélérations du sol libèrent beaucoup moins d’énergie dans l es charpentes faites en bois. Autre avantage, les charpentes faites en bois sont plus flexibles qu’avec les autres matériaux, ce qui leur permet d’absorber et de dissiper l’énergie. Dans la construction à ossature de bois couramment utilisée au Canada (il s’agit de construction dite « à plate-forme »), les colombages sont de faible section et peu espacés. On construit les planchers un à la fois, de manière à ce que chacun serve de plate-forme pour la construction de l’étage supérieur. Trois éléments constituent l’essentiel de la charpente : les colombages , disposés verticalement, forment l’ossature des murs; les solives , horizontales, forment les planchers; les chevrons ou les fermes soutiennent la toiture. Un mur contreventé à l’aide de pièces de bois posées en diagonale ou revêtu de panneaux de bois légers acquiert une résistance latérale et devient un mur de contreventement – léger, résistant et structurellement efficace. Les éléments de la charpente constituent un système qui assure la résistance du bâtiment à la gravité, au vent et aux tremblements de terre.
Les sites de recherches utilisés :
La construction légère à ossature de bois a été inventée en Amérique du Nord au début du XIX siècle. C’est une approchequi a largement fait ses preuves, tant pour la performance des ouvrages que pour l’expertise des métiers du bâtiment. Il suffit d’examiner les nombreuses maisons à ossature de bois construites au début du XX siècle dans les diverses régions du Canada, lesquelles attestent encore aujourd’hui de la qualité de ce mode de construction.
Article réalisé par Laure, Emeline et Paul-Henry.