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Le volcan Arenal
6 avril 2009 – 0:09
Voici le volcan Arenal en éruption,
Date de l’éruption : Depuis le 29-07-1968
Résumé :
L’éruption que connaît l’Arenal actuellement a débuté en 1968, et ne s’est toujours pas interrompue à ce jour. Elle a commencé par une phase éruptive importante, de type vulcanien, qui a généré des coulées pyroclastiques. Puis la puissance de l’activité à décrue, et pour se stabiliser à une activité strombolienne qui perdure actuellement. Celle-ci peut toutefois être entrecoupée par des phases vulcaniennes.
Lieu de l’éruption : Zone sommitale et flanc ouest
Attention ! Eruption en cours !
Le volcan d’Arenal est le plus actif des volcans du Costa Rica. Le mot volcan vient de volcanus, le Dieu romain du feu. La plus ancienne éruption d’Arenal connue s’est produite il y a 7000 ans environ. Cette activité s’est déroulée pendant 3500 ans. La dernière phase éruptive a débuté en 1968. Cette année là, alors que l’Arenal est considéré comme éteint car inactif depuis plusieurs siècles, ce dernier se réveille brutalement le 29 juillet vers 8 heures du matin. Cet évènement changera la vie des habitant de la ville de Fortuna et enseveli complètement trois villages autour. Quelques 80 personnes y perdu la vie ainsi que quelques milliers de vaches. Chaque jour la lave coule du flanc et des roches volcaniques déboulent. Le soir les coulées sont rouges-oranges, c’est assez unique comme spectacle. Le volcan est considéré comme un des 10 volcans les plus actif de la terre!
Localisation du volcan Arenal
Donc le volcans Arenal est un volcans explosif.
Information cherchée sur Wikipédia et images cherchées sur Google.
Article réalisé par Anaïs et Léa.
Tremblement de terre du 26 décembre 2004
5 avril 2009 – 23:59
TREMBLEMENT DE TERRE DU 26 DECEMBRE 2004
1 -Où & quand s’est passé le séisme ? Le 26 décembre 2004 à 00 h 58 min 53 s a eu lieu au large de l’île indonésienne de Sumatra un séisme d’une magnitude de 9,1 à 9,3.Ce tremblement de terre est l’un des plus violents jamais enregistrés dans le monde. Seuls trois séismes connus et mesurés ont eu une magnitude égale ou supérieure. 2-Régions frappées par le séisme Le tremblement de terre a provoqué un raz-de-marée (ou tsunami) qui a frappé l’Indonésie, les côtes du Sri Lanka et du sud de l’Inde, particulièrement dans l’État du Tamil Nadu, ainsi que le sud de la Thaïlande et l’île touristique de Phuket. Le bilan en pertes humaines est catastrophique : selon le bilan officiel, il y a au moins 222 046 morts et disparus. Le séisme proprement dit a été ressenti dans plusieurs pays de la région, dont les îles Maldives, le Sri Lanka, l’Inde, le Bangladesh, Myanmar, la Thaïlande, la Malaisie et Singapour. Cependant, au-delà de ces pays, les raz-de-marée qui ont suivi sont à l’origine du plus grand nombre de victimes, car leurs effets se sont faits sentir sur tout le pourtour de l’Océan Indien, jusqu’aux côtes est-africaines de Somalie et l’île française de la Réunion, ou les côtes nord-ouest de l’Australie. 3- Cause du séisme Ce séisme a été formé à cause du glissement de la plaque indienne sous la microplaque Andaman qui était bloquée. Ce blocage du à la plaque indienne a formé une accumulation de contraintes énormes et quand la plaque Andaman s’est débloquée cela a commis un brusque réajustement qui a permis le déplacement de la plaque supérieure. Ce mouvement brutal et particulièrement énergique a donnée une force à la colonne d’eau située au-dessus. Ce qui a produit une série d’ondes géantes. La ligne de la faille océanique où s’est produit le séisme est longue de 1 200 kilomètres et orientée nord-sud. De ce fait, la plus grande partie de l’énergie du tsunami s’est répartie dans les directions opposées est-ouest. L’île de Sumatra a été frappée de plein fouet par les vagues géantes. Des pays très éloignés, comme la Somalie (à un peu moins de 5 000 kilomètres du séisme, en Afrique), ont été sévèrement touchés. Le Sri Lanka a créé une barrière protectrice pour une petite partie des plages du sud de l’Inde. 4- Bilan catastrophique Le bilan catastrophique peut s’expliquer en partie pour deux raisons. D’une part, la population et les autorités locales, n’ayant jamais été préparées à une telle éventualité, elles ont été prises par surprise — plusieurs personnes rescapées ont rapporté avoir d’abord été à la rencontre de la vague, « par curiosité », en constatant le retrait spectaculaire de la mer, qui annonce l’arrivée imminente de la première vague géante du tsunami. D’autre part, il n’existe pas de dispositif de surveillance des tsunamis dans l’océan Indien. Bien que l’alerte ait été donnée dans quelques régions de l’Inde par les télévisions locales, l’information est majoritairement très mal passée, et semble même avoir été souvent bloquée par crainte du désordre public. 5- Bilan de cette catastrophe :- 178 132 morts dont au moins 3 049 étrangers mais seulement 1 870 identifiés.
- 43 914 disparus dont 37 066 considérés morts.
- 15 428 blessés
- Diverses sources indiquent que de nombreux animaux ont été victimes du tsunami, principalement en Indonésie ; la faune et la flore ont été « durement touchées« .
Que faire avant, pendant et après un séisme
13 février 2009 – 12:59
I Avant un séisme
Un séisme arrive sans aucun signe avant coureur. Il vous surprendra dans votre sommeil, au travail, ou chez vous. Il est en effet impossible de prévoir sa survenue. Il se produira donc toujours à un moment où vous ne vous y attendrez pas.
Cependant, un certain nombre d’actions peut être entreprises afin d’anticiper le risque, de vous éviter d’être blesser, et de limiter les dégâts sur vos biens.
II Pendant un séisme
Se mettre à l’abri (encadrement de porte,table massives…).
Attention: Des objets peuvent se renverser ou se mettre à glisser et les revêtements de plafond peuvent se détacher. Chercher un endroit dégagé, à l’écart des bâtiments, ponts, pylônes grands arbres.
Restez calme!!!
Si vous êtes à l’INTERIEUR : placez-vous près d’un mur, d’une colonne porteuse ou sous des meubles solides. Eloignez-vous des fenêtres.
Si vous êtes au LIT : attendez en vous protégeant la tête avec un oreiller.
Les objets situés au-dessus de vous peuvent tomber. De plus, les éclats de verre cassé sur le sol blessent souvent les personnes qui ont cherché à évacuer ou à sortir du lit pour se glisser dessous.
Si vous êtes à l’EXTERIEUR : éloignez-vous le plus possible des bâtiments, des arbres, des lignes à haute tension. Accroupissez vous et protégez-vous la tête.
Les équipements comme les antennes de télévision, les cheminées, les pots de fleurs ou tout autre objet qui pourraient tomber suite aux secousses risquent de blesser toute personne se situant à proximité d’un bâtiment.
Si vous êtes en VOITURE : arrêtez-vous et conservez votre ceinture attachée jusqu’à ce que la secousse se soit arrêtée.
Les arbres, les lignes à haute tension, les poteaux, les panneaux de signalisation, et d’autres articles peuvent tomber pendant les tremblements de terre. L’arrêt limitera les risques d’accident, et l’habitacle vous protégera des chutes d’objets. Une fois la secousse terminée, procédez avec prudence. Évitez les ponts ou les rampes qui pourraient avoir été endommagés par le séisme.
Si vous êtes dans un MAGASIN OU TOUT AUTRE ENDROIT PUBLIC, ne vous précipitez pas vers les sorties. Eloignez-vous des étagères contenant les objets qui pourraient tomber.
Si vous êtes dans la CUISINE, éloignez-vous du réfrigérateur, du fourneau, et des placards suspendus.
Si vous êtes dans un STADE ou un THEATRE, restez dans votre siège et protégez votre tête avec vos bras. N’essayez pas de partir avant l’arrêt des secousses. Partez alors dans le calme, de façon ordonnée.
III Après un séisme
Rentrez chez vous avec précaution, aérez bien votre habitation.
N’allumez pas de flamme avant d’avoir la certitude qu’il n’y a pas de fuite de gaz.
Vérifiez que personne n’est resté coincé dans les ascenseurs. Prévenez les secours en cas de besoin.
En cas de séisme important :
Evacuez le bâtiment dès l’arrêt des secousses en faisant bien attention aux objets qui sont tombés par terre et à ceux qui menacent de le faire. Surtout n’utilisez pas les ascenseurs!
Eloignez-vous rapidement du bâtiment.
Pensez à emporter les objets de première nécessité (par exemple une couverture en hiver )
Coupez les réseaux si vous en avez la possibilité.
Méfiez-vous des répliques. Elles se produisent fréquemment dans les minutes, les jours, les semaines, et même les mois qui suivent un tremblement de terre.
Aidez vos voisins, en particulier les plus vulnérables (personnes âgées, personnes à mobilité réduite, enfants…)
Restez loin des fenêtres. Elles peuvent se briser avec une telle force que vous pouvez être blessés même à quelques mètres.
Attendez-vous à ce que les systèmes anti-incendie se déclenchent même s’il n’y a aucun feu dans l’immeuble.
Si vous êtes dans un secteur montagneux, voire proche de pentes ou de falaises qui risquent de se révéler instables, soyez vigilants ! Des chutes de pierres, des éboulements et des glissements de terrain sont possibles.
En cas d’ensevelissement : se manifester en tapant sur les parois
Examinez-vous pour déceler d’éventuelles blessures. Vous pourrez mieux vous préoccuper des autres et serez plus utiles pour les secours si vous n’êtes pas blessés ou si vous avez déjà reçu les premiers soins.
Lorsque cela est possible, avant de porter assistance aux secours, protégez-vous contre d’éventuelles nouvelles blessures en mettant un pantalon, une chemise ou un tee-shirt aux manches longues, des chaussures dures, et des gants de travail.
N’essayez pas de déplacer les personnes blessées sans l’avis des secours professionnels à moins qu’elles ne soient en danger immédiat pour leur survie.
Écoutez la radio.
N’utilisez le téléphone qu’en cas d’extrême urgence. Les réseaux téléphoniques seront vite saturés. Il est important que les appels d’urgence aient la possibilité d’être passés.
Vous devez surveiller vos animaux de compagnie. Il est conseillé de les placer dans un endroit clos. Leur comportement peut changer nettement après un tremblement de terre. Ils peuvent devenir agressifs.
Faites attention aux lignes électriques tombées ou aux conduites de gaz endommagées. De manière générale, évitez les secteurs endommagés.
Ne rentrez pas chez vous sans l’autorisation des autorités compétentes. Les répliques d’un tremblement de terre peuvent endommager davantage les bâtiments fragilisés.
Article réalisé par : Laurie, Aline et Clothilde.
Le site que nous avons utilisé est :
http://www.prim.net/citoyen/moi_face_au_risque/223_seisme.html
Les risques volcaniques en france
23 janvier 2009 – 18:03
En France, les risques volcaniques se situent essentiellement dans les DOM-TOM (Martinique, Réunion, Guadeloupe). En Polynésie Française et dans le Massif Central, les risques sont nettement moindres.
Les risques les plus élevés des aléas volcaniques peuvent être classé en deux groupes :
1°) Les risques directement liés à l’activité éruptive. Les coulées de lave, les nuées ardentes, les panaches de cendres et les nuages de gaz nocifs.
2°) Ceux qui résultent de la conjonction de processus différés dans le temps et dans l’espace. Ces risques là sont indirectement liés aux éruptions. Ils peuvent êtres déclenchés par la combinaison des processus volcaniques et de la météo, les raz-de-marée (tsunamis), les coulées de boue, les glissements de terrain.
D’autres conséquences peuvent être prises en compte dans le tableau des risques volcaniques comme la famine, les épidémies, la contamination des eaux souterraines et de surface…
Il va de soit que la région dans laquelle se situe le volcan qui entre en éruption est très importante au niveau du calcul des risques. Une éruption majeur dans une zone fortement peuplée comporte plus de risque qu’une éruption explosive majeur dans une zone sans habitations.
réponse de :
http://www.explic.com/8443-volcaniques.htm
Episode de la série Risques majeurs.
En ce début du XXIème siècle, 10 % de la population mondiale vit sous la menace directe d’un volcan.
Depuis plusieurs décennies, la volcanologie a beaucoup progressé dans sa compréhension des mécanismes éruptifs, mais est-ce suffisant pour en protéger les hommes ? En volcanologie, tout repose sur la prévision de l’éruption.
Tourné en compagnie de l’équipe de l’Observatoire volcanique de l’île de La Réunion (IPGP, INSU, CNRS), ce film relate heure par heure les méthodes de prévision scientifique comme les gestes les plus instinctifs face à une situation de crise.
Le piton de la fournaise est un volcan encore actif aujourd ‘hui qui d ‘après de nombreuses éruption dangereux ou non , continue a « cracher » sa lave sur l’île de la Réunion .
Le Piton de la Fournaise est un volcan effusif, de point chaud et isolé, situé au sud-est de la Réunion, qui atteint 2631 mètres d’altitude.
Il est caractérisé par des coulées de lave jaune et rouge fluide. Lorsqu’elle refroidit, sa lave se transforme en une roche sombre, appelée basalte.
Il est en forme de cône avec un cratère.
Le volcan est connu depuis 1638. Il a eu environ une éruption par an.
Depuis 1977, la science et les chercheurs ont fait de lui un observatoire scientifique. Puis en 1982, la commission européenne le désigne comme « volcan laboratoire ». La particularité de ce volcan est que ses coulées de laves liquides passent toujours par le même endroit, ou presque, qui est appelé l’enclos.Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.
(Source : GEO n° 244, Juin 1999)
Comment prévoir une éruption volcanique
23 janvier 2009 – 13:02
1) prévoir une éruption |
Les volcans sont principalement connus pour leur pouvoir destructeur. Pour prévoir une éruption il faut, bien connaître le volcan que l’on étudie. Ainsi, le volcanologue, est d’abord un historien qui tente de reconstituer les éruptions antérieures, d’estimer leurs ampleurs, et de les dater. Ce travail permet d’établir une carte dite de risques où sont définies les zones les plus dangereuses. Ainsi, les différentes zones d’évacuation sont caractérisées selon le type d’éruption pressenti . |
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2) il est impossible de prévoir exactement une éruption volcanique |
Il est impossible à 100 % de les prevoir avec certitude. Tout dépend aussi du volcan; certains sont tellement rapides qu’on ne sait détecter une éruption que quelques minutes avant ; D’autres sont plus lents, et certains signes peuvent alerter, par exemple des fumerolles, des tremblements de terre, la disparition des oiseaux indique souveht une éruption.
En plaçant des capteurs dans la corolle du volcan on peut visualiser l’augmentation de la pression et de le température, on peut alors déduire un « risque » d’éruption mais on ne peut pas prévoir une date précise..
Pour prévoir les éruptions, les chercheurs :
|
A l’aide d’appareils compliqués et de la connaissance du terrain on peut estimer à court terme, quand le magma remplit la chambre magmatique, le délai de la prochaine éruption (marges d’erreurs importantes). Par contre son amplitude et ses particularités sont imprévisibles. |
nous avons été sur :
http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20061023114715AA2fl3C et http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/Lapicque/tpe/studer/les_volcans.htm et |
Peut-on construire des maisons qui résistent aux séismes ?
23 janvier 2009 – 12:58
INTRODUCTION Les bâtiments à ossature de bois assurent une excellente protection des occupants lors de tremblements de terre. C’est l’un de leurs avantages, et il est clairement établi qu’en cas de séisme, une maison à plate-forme de bois est un des endroits les plus sécuritaires. PARAGRAPHE N°1
Depuis une cinquantaine d’années, nous avons beaucoup appris sur les risques que posent les tremblements de terre et nos chances d’y survivre. Toutefois, l’augmentation de la population et de la densité urbaine ont pour effet d’aggraverles risques qu’ils présentent pour l’humanité. Un tremblement de terre est un déclenchement subit d’énergie causé par le déplacement de plaques géologiques. Les risques sont particulièrement élevés dans certaines régions du monde, comme le littoral occidental de l’Amérique du Nord, et les bâtiments situés dans ces régions doivent résister à de puissantes forces sismiques. L’importance de ces forces dépend de la magnitude du séisme, de la distance de l’épicentre (origine de l’onde de choc), du type de phénomène géologique provoqué par le séisme et de la nature du terrain sous-jacent au bâtiment. Chaque édifice réagit de façon unique en fonction de ses caractéristiques spécifiques de rigidité et de résistance. Le tremblement de terre soumet simultanément les bâtiments à des secousses horizontales et verticales. Ce sont les forces horizontales, aussi appelées forces latérales ou de cisaillement, qui posent les plus grands défis pour la conception antisismique.
PARAGRAPHE N°2
Le bois est un matériau de construction qui présente certains avantages par rapport aux autres matériaux en ce qui a trait à la résistance aux séismes. Il est résistant mais léger, si bien que les accélérations du sol libèrent beaucoup moins d’énergie dans l es charpentes faites en bois. Autre avantage, les charpentes faites en bois sont plus flexibles qu’avec les autres matériaux, ce qui leur permet d’absorber et de dissiper l’énergie. Dans la construction à ossature de bois couramment utilisée au Canada (il s’agit de construction dite « à plate-forme »), les colombages sont de faible section et peu espacés. On construit les planchers un à la fois, de manière à ce que chacun serve de plate-forme pour la construction de l’étage supérieur. Trois éléments constituent l’essentiel de la charpente : les colombages , disposés verticalement, forment l’ossature des murs; les solives , horizontales, forment les planchers; les chevrons ou les fermes soutiennent la toiture. Un mur contreventé à l’aide de pièces de bois posées en diagonale ou revêtu de panneaux de bois légers acquiert une résistance latérale et devient un mur de contreventement – léger, résistant et structurellement efficace. Les éléments de la charpente constituent un système qui assure la résistance du bâtiment à la gravité, au vent et aux tremblements de terre.
Les sites de recherches utilisés :
La construction légère à ossature de bois a été inventée en Amérique du Nord au début du XIX siècle. C’est une approchequi a largement fait ses preuves, tant pour la performance des ouvrages que pour l’expertise des métiers du bâtiment. Il suffit d’examiner les nombreuses maisons à ossature de bois construites au début du XX siècle dans les diverses régions du Canada, lesquelles attestent encore aujourd’hui de la qualité de ce mode de construction.
Article réalisé par Laure, Emeline et Paul-Henry.