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Développement du mammouth laineux et de sa génétique

Introduction:

Des chercheurs ont fait un séquençage génétique qui a permis de reconstituer à 80% le génome d’un mammouth laineux. Ils aimeraient mettre un embryon génétiquement modifié dans une éléphante mais le problème est que cela pourrait lui entraîner des souffrances. Et puis le mammouth ne pourrais pas vivre seul en Arctique car il faudrait beaucoup d’autres animaux. Et puis une chercheuse ajoute qu’à moins que l’on puisse créer beaucoup de mammouth sans se servir de femelle éléphante, tout cela lui semble éthiquement malsain.

 

I • Le Mammouth laineux                   

Le mammouth laineux est une espèce éteinte de la famille des Eléphantidés. Apparu il y a 200 à 300 000 ans, il a occupé toute l’Eurasie de la péninsule Iberique et l’Écosse jusqu’en Sibérie et même l’Amérique du Nord. L’espèce doit son nom à sa fourrure grossière d’hiver, composée des poils pouvant atteindre 90 centimètres. Cette fourrure formait un tablier sur le ventre et sur les flancs, ces animaux avaient plutôt une couleur allant du brun foncé au noir. Les mâles adultes atteignaient 2,80 à 3,40 mètres au garrot. Le poids d’un tel animal pouvait s’élever jusqu’à six tonnes. Le mammouth laineux était aussi grand qu’un éléphant d’Asie. Ils n’atteignaient plus que 1,80 m de hauteur au garrot. Les différences frappantes avec les genres d’éléphants vivant aujourd’hui sont les défenses très recourbées, une bosse en forme de coupole sur le crâne, une haute bosse sur l’épaule ainsi qu’une croupe tombante. Les défenses atteignent 4,20 mètres de longueur pour un poids allant jusqu’à 84 kg. Cependant, en moyenne, elles ont seulement 2,5 mètres de long et ne pèsent que 45 kilos.

 

II • La Génetique    

Une équipe de scientifiques est parvenue à reconstituer quasi intégralement le génome de deux pachydermes préhistoriques. L’ADN a été extrait d’une dent et d’un échantillon de tissu. Cette avancée scientifique ouvre en effet potentiellement la voie à une « recréation » de l’animal, qui pose cependant de nombreux problèmes éthiques.Premier problème : Il faudrait utiliser une éléphante comme mère porteuse et cela pose un problème éthique, puisque ce processus pourrait causer des douleurs à la femelle.De plus, le mammouth pourrait se sentir bien seul. Par ailleurs, le pachyderme serais particulièrement isolé et utilisé principalement pour l’observation, d’autant qu’il ne pourra jamais être lâche un liberté.

 

Conclusion :

 

Cette avancée pourrait bien changer des choses mais il y a toujours des problèmes avec l’ovulation.Cela montre une information nouvelle pour la science et ces spécimens disparus qui surtout pour le Mammouth laineux pourrait refaire son entrée sur terre mais cela prendrait beaucoup de temps avant de refaire son apparition.

Annexe :

Image 1 : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fs3.e-monsite.com%2F2010%2F09%2F27%2F09%2Fmonstresdiparus36.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fcenozoicpark.e-monsite.com%2Fpages%2Fpleistocene%2Fle-mammouth-laineux.html&h=461&w=500&tbnid=bf8m_r9Mjex4oM%3A&zoom=1&docid=1rA6a5J3-xuEtM&ei=QppZVcSTDcG4UtjDgdgD&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=1817&page=1&start=0&ndsp=26&ved=0CGMQrQMwFA

 

Image 2 : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fwww.snv.jussieu.fr%2Fvie%2Fdossiers%2Fmammouth%2Fsquelette_mammouth2.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fwww.snv.jussieu.fr%2Fvie%2Fdossiers%2Fmammouth%2Fmammouth.htm&h=309&w=400&tbnid=qMd91NbOXJpeRM%3A&zoom=1&docid=pPvdz-sG8dhi6M&ei=QppZVcSTDcG4UtjDgdgD&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=928&page=2&start=26&ndsp=27&ved=0CIoBEK0DMCE

 

Coralie Vivier et Chloe Deville

 

 

 

 


Mucoviscidose : l’espoir d’un nouveau médicament

Qu’est ce que la mucoviscidose ?

La mucoviscidose est une maladie génétique, affectant les épithéliums glandulaires de nombreux organes. C’est la maladie génétique létale à transmission autosomique récessive la plus fréquente dans les populations de type europoïde, alors qu’elle est très rare dans les populations africaines et asiatiques. Elle est liée à des mutations du gène CFTR sur le chromosome 7, entraînant une altération de la protéine CFTR (sigle pour cystic fibrosis transmembrane conductance regulator). Cette protéine est un canal ionique perméable au chlore, au thiocyanate7 dont la fonction est de réguler le transport du chlore à travers les membranes cellulaires.

Son risque : Son dysfonctionnement provoque une augmentation de la viscosité du mucus et son accumulation dans les voies respiratoires et digestives. La maladie touche de nombreux organes mais les atteintes respiratoires sont prédominantes et représentent l’essentiel de la morbidité. Il y a que ¼ que le soit atteint de la mucoviscidose si nos parent on un gène défectueux.

 

Quel est son traitement ?

Il n’y a actuellement pas de traitement contre la mucoviscidose. Les personnes atteintes de cette maladie prennent des gélules avant leurs repas.

Risque de la maladie.

 

La mucoviscidose est la plus fréquente des maladies rares génétiques. Les multiples perturbations, surtout respiratoires et digestives, engendrées par cette maladie, proviennent du mauvais fonctionnement ou de l’absence d’une protéine-canal assurant les échanges de chlore entre les cellules et le milieu extérieur. Elle survient seulement lorsque les 2 exemplaires du gène CFTR qui code pour ce canal sont mutés. Ce très long gène peut être l’objet de mutations très diverses, parmi lesquelles la mutation G551D, celle visée par ce nouveau traitement.

 

Découverte de la mucoviscidose.

Connue depuis le Moyen Âge, la maladie est décrite scientifiquement par le pédiatre suisse Guido Fanconi en 1936. Elle est identifiée deux ans plus tard par Dorothy Hansine Andersen comme une entité pathologique atteignant le pancréas d’où son nom historique de fibrose kystique du pancréas. Elle conserve ce nom en anglais : cystic fibrosis.

 

Conclusion.

Depuis sa découverte aucun médicament n’a été trouvé, ce qui fait encore l’actualité. L’espérance de vie des porteurs s’élève a 47 ans en 2005, alors que en 1965 elle n’était que de 7 ans.

 

 

Image : http://www.inserm.fr/thematiques/genetique-genomique-et-bioinformatique/dossiers-d-information/mucoviscidose

 

Source : wikipédia

 

Bonnin Léa

Langlois Romane

Baudin Lucie