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Jeune surfeur tué par un requin bouledogue

La Réunion est une nouvelle fois endeuillée les requin bouledogue sont impliqués dans la quasi-totalité des accidents le requin bouledogue a pour habitude de se rapprocher des côtes en début d’après-midi et de remonter vers la surface au crépuscule pour chasser. Le manque de nourriture conduit probablement le requin à se rapprocher des récifs pour y trouver des poissons coralliens. Les requins bouledogues semblent également avoir fait de l’île un site de reproduction

 

 

La Réunion est une nouvelle fois endeuillée, désemparée. Près d’un millier de personnes se sont rassemblées sur la plage de Saint-Paul, mercredi 15 avril, en mémoire d’Elio. Le dimanche précédent, ce jeune surfeur de 13 ans y a été happé par un requin bouledogue de 2,50 mètres. Deux cents manifestants s’étaient alors regroupés devant la sous-préfecture et avaient déversé de la peinture couleur sang pour dénoncer le manque d’action de l’Etat.

Chaque nouvel accident ravive la « crise requin », comme disent les Réunionnais, et son lot de polémiques. La région a en effet connu 16 attaques de squales depuis 2011, dont sept mortelles. Pourquoi cette recrudescence autour de l’île ? Comment s’en prémunir ? Que font les pouvoirs publics ?

 

Les scientifiques peuvent-ils aider à comprendre la situation ?

Jusqu’à présent, on ne connaissait presque rien du comportement ni des habitats du requin-tigre et du requin bouledogue, jamais étudiés à La Réunion auparavant. Les scientifiques ont alors mis les moyens : en trois ans, 40 spécimens du premier et 39 du second ont été équipés de marques acoustiques qui ont permis de suivre leurs déplacements grâce à un réseau de 52 stations d’écoute sur le littoral. Certains animaux ont été dotés de balises satellite. D’autres ont aussi été pêchés pour être analysés.

Rapidement, les recherches se sont resserrées autour du requin bouledogue, impliqué dans la quasi-totalité des accidents. Les habitudes, les allers et venues, la génétique et le contenu de l’estomac de plusieurs de ces squales, ont été passés au crible pour constituer l’une des plus importantes études au monde à leur sujet. Pilotés par Marc Soria, docteur en écologie marine au sein de l’IRD, ces travaux ont nécessité des centaines de plongées, ainsi que l’aide de l’université de La Réunion et d’autres organismes de recherche.

Que sait-on du comportement du requin bouledogue ?

image: http://s1.lemde.fr/image/2015/04/17/534×0/4618197_6_4722_un-requin-bouledogue-entoure-de-poissons_9ebb9e9e74c265b39bbbffd45d5a0491.jpg

 

Si Elio a été tué un matin, le requin bouledogue a pour habitude de se rapprocher des côtes en début d’après-midi et de remonter vers la surface au crépuscule pour chasser. Nomade – il peut faire le tour de l’île en quatre jours ou s’en éloigner d’au moins 300 km en plein océan –, le squale se déplace parfois avec un de ses congénères.

Les Réunionnais avaient remarqué qu’une eau turbide après un orage, ou une forte houle, étaient propice à sa venue. Les données des stations d’écoute l’ont confirmé. Selon les biologistes, le manque de nourriture conduit probablement le squale à se rapprocher des récifs pour y trouver des poissons coralliens. De même, il semble attiré par les eaux côtières riches en détritus que les cours d’eau rejettent en mer.

Les requins bouledogues semblent également avoir fait de l’île un site de reproduction. Entre mars et juin, quand leur présence est particulièrement forte, ils se rapprochent de la façade ouest de l’île, vers les stations balnéaires proches de Saint-Gilles et dans la zone de l’Etang du Gol (Saint-Louis), pour s’y accoupler.

Compte tenu des conclusions des scientifiques, nulle parade unique ne se dégage pour se protéger d’un prédateur aussi mobile. Marc Soria propose de poursuivre les recherches, notamment sur le comportement de chasse et de reproduction du bouledogue, ainsi que sur ses échanges avec ses congénères des côtes est de l’Afrique.

Comment les pouvoirs publics peuvent-ils prévenir les attaques ?

Ces dernières années, les services de l’Etat et les élus locaux ont recouru aux scientifiques, aux pêcheurs, avec d’importantes campagnes de « prélèvement » de requins, et aux exemples étrangers pour imaginer des dispositifs de protection et aux mesures d’interdiction. En 2013, la préfecture a annoncé que toutes formes de baignade et toutes « activités nautiques utilisant la force motrice des vagues » (autrement dit surf, bodyboard, paddle…) seraient désormais prohibées dans une bande de 300 mètres tout autour de l’île. La décision avait été prise après la mort d’une jeune fille de 15 ans, attaquée à quelques mètres du rivage, à Saint-Paul.

Cette interdiction est régulièrement reconduite depuis. Elle est affichée partout sur les plages, et même lue à l’atterrissage des avions à l’attention des touristes. Mais elle n’est que partiellement respectée. Malgré quelques procès-verbaux, certains surfeurs continuent de braver le risque pour pratiquer leur sport. Sur les sept personnes tuées depuis 2011, six étaient sur une planche de surf ou de bodyboard, alors que l’on n’en compte aucune parmi les plongeurs sous-marins qui vont parfois à la rencontre des squales.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2015/04/17/comment-la-reunion-lutte-contre-les-requins-bouledogue-apres-une-nouvelle-attaque-mortelle_4618200_1652692.html#vkKYb0ruGBS4124i.99

 

réalisé par Bûcheron Apolline Hujol Léa et Mercier Paul

Le Requin Bouledogue

La Réunion a subit plusieurs attaques mortelles durant ces 4 dernières années. La région a du faire face à 16 attaques dont 7 mortelles. Récemment un jeune surfeur de 13 ans est mort.

I. Requin bouledogue

Le requin bouledogue ou appelé requin du zambèze est une espèce de requin de la famille des Carcharhinidés. Ils atteint 3,40m de longueur son dos est gris ou brun olive avec l’extrémité des nageoires un peu plus foncée et son ventre est blanchâtre. Il tient son nom de son apparence massive, trapue, lourde et vigoureuse et de son museau aplati et court. Il peut vivre 14 ans ou 20 ans mais un âge maximal de 32 ans est également évoqué. On le confond souvent avec le requin taureau,car le nom vernaculaire anglais du requin bouledogue est Bull Shark, ce qui se traduit littéralement par requin taureau et prête donc à confusion. Pêché pour sa chair, son cuir ou son foie, l’UICN le classe espèce quasi-menacée sur la base d’une étude qui date du 1er octobre 2005.

II. Attaques mortelles par le requin bouledogue

Une attaque de requin est une attaque d’un être humain par un requin bouledogue. Les attaques de requins sur l’homme sont rares et exceptionnelles. Les raisons conduisant à une attaque ne sont pas toutes connues ni bien définies, le manque de données fait qu’il est délicat d’en déduire des statistiques fiables. Le comportement en milieu naturel des requins est également mal connu et peu étudié, ce qui contribue à ce qu’il n’y ait pas de systématique en la matière.

Nous avons choisit ce thème parce que c’est la première actualité sur laquelle nous sommes tombées. Et nous sommes très attachées à la mortalité dans le monde.

 

Réalisé par : Laure,Coralie,Julie

sources:wikipedia,http://www.aquaportail.com/aquabdd/photos/carcharhinus-leucas.jpg;
http://referentiel.nouvelobs.com/file/6107224.jpg

La pollution des voitures

La pollution des voitures

 

I Quel moteur pollue le moins ?

 

Chaque type de moteur pollue à sa façon, les moteurs à essence produisent bien plus de CO2 que les moteurs diesel (-25%). Cependant, le CO2 n’est pas seul responsable de la pollution atmosphérique ! Les oxydes d’azote (NOx), autres gaz à effet de serre, sont également coupables de cette pollution croissante et le moteur diesel en rejette plus que l’essence. Donc le moteur diesel pollue plus que le moteur à essence. Mais celui qui pollue le moins est le moteur électrique.

moteur a essence http://www.ikonet.com/fr/ledictionnairevisuel/images/qc/moteur-a-essence-23500.jpg
moteur électrique http://www.bmcc.ch/Archives/images/moteur_electrique.gif

 

 

http://www.consoglobe.com/moteur-pollue-essence-diesel-3966-cg

II Comment polluer moins avec les voitures ?

Pour polluer moins avec les voitures il faut soit acheter une voiture électrique soit conduire en souplesse les 5 premiers kilomètres  et respecter les limitations de vitesse, utiliser des carburants moins polluants,  en entretenant son moteur régulièrement ou utiliser un pot catalytique.

http://www.atmo-picardie.com/pedagogie/documents/exposition/ExpoP7_automobile.pd

 

pot catalytique http://lycees.ac-rouen.fr/modeste-leroy/ressources/projetspeda/auto2000/photos/ic_cata.gif

 

 

 

 

 

III Quelle voiture pollue le moins ?

Parmi les voitures les moins polluantes, celles qui avoisinent une émission de Co2 au km d’une valeur de 104 g au km. C’est le cas pour la Toyota Prius, une voiture hybride qui concilie carburant et moteur électrique, en ville. Autre voiture hybride, la Honda Civic, avec une émission de 109 g de Co2 par km.

http://www.bmw-i.fr/mediadata/img/302011/216x148/BMWi_i8_Gallery_Exterior_02-1.jpg

Mais les voitures les moins polluantes sont les voitures électriques mais ils ont une batterie limitée.

http://www.notre-planete.info/actualites/images/transports/bluecar.jpg

 

 

Conclusion :

 

On peut remarquer que les voitures électriques  sont moins polluantes que toute les autres voitures. Il existe différents moyens pour moins polluer avec les autres voitures.

 

 

travail réalisés john ;p et kévin


La truite

I / Introduction : Définition et étymologie

Nous cherchons à savoir comment les truites se maintiennent-elles dans les rivières. Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8e/Truite_gold.jpg/250px-Truite_gold.jpg

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8e/Truite_gold.jpg/250px-Truite_gold.jpg

truite dorée.

II / Localisation :

Les truites vivent dans des eaux claires et vives. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Les truites sont  plus fréquemment retrouvés dans les rivières, de première catégorie. En 2012 l’ouverture de la truite s’est faite le 10 mars. Les premiers pêcheurs pouvaient mettre les « cannes à l’eau » une demi heure avant le lever du soleil. C’est pareil pour tous les pêcheurs français. Quant à la date de fermeture, elle est fixée le dimanche 16 Septembre.

III / Description :

http://www.truitesetrivieres.com/connaitrelatruit/index.html

http://www.truitesetrivieres.com/connaitrelatruit/index.html

les parties de la truite.

 

  • 1: Bouche
  • 2:Oeil
  • 3:Nageoire dorsale, sert pour la rotation droite/gauche
  • 4:Adipeuse
  • 5:Opercule
  • 6:Nageoire pectorale, sert pour la direction haut /bas
  • 7:Ligne latéral
  • 8:Nageoire pelvienne,sert pour l’équilibre de la truite
  • 9:Nageoire anal, en complément de la nageoire dorsale, direction droite/gauche
  • 10:Nageoire caudale, sert à la propulsion

Certains individus atteignent une trentaine de kilogrammes. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d’années.

IV/Moyen de peuplement :

Pour garder la population des truites nombreuses dans les rivières, il existe des associations telle celle de « la truite fariot » qui siège à La Châtre. Cette association densifie les rivières de l’Indre. A chaque sortie, elle dépose environ 1000 truites dans les rivières.

Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu’il s’agit d’espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu’il s’agit d’introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d’être anormalement porteurs de maladies ou parasites.

V/ Les fraudes :

Certains pêcheurs font de la surpêche, c’est à dire qu’ils prennent plus de poissons que la limite autorisée. Dès qu’un pêcheurs va à la pêche il ne peut pas prendre plus de 6 truites. D’autres pêcheurs eux, pêche sans respecter les lois, soit en pêchant avant l’ouverture, soit en mettant des batteries dans la rivières ce qui électrocutent les poissons qui vont remonter à la surface et qui vont les pêcher avec un filet. Pour surveiller les fraudes il existe des gardes pêches.

VI / Conclusion :

Pour conclure, je peux dire que si les associations pour repeupler les rivières n’existaient plus, il n’y aura peut être plus de poissons au jour d’aujourd’hui.

Travail réalisé par CORDIER Cédric et LANGLOIS Flavien.

Les effets de la pêche illégale

Dans le monde certains poissons qui ne devraient pas être éloigné de leur habitat le sont malgré les lois.

I)Les effets de la pêche illégale

La pêche illégale a pour effets de s’attaquer aux espèces sous marines protégées par la loi. Cela réduits fortement le taux de poissons. Elle nuit aussi gravement à l’écosysteme en faisant disparaitre des espèces essentielles au développement.

II) Les espèces touchées par cette pêche

Les espèces touchées par cette pêches sont le thon rouge et la baleine surtout pour le japon dont l’alimentation est à 80% maritime.

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://www.iles-du-pacifique.com/wp-content/uploads/2011/05/baleineabosse.jpg&imgrefurl

III) Les peines encourues

Les peines encourues sont de 5 à 8 ans accompagnées d’une amende de minimum 10000 € , la confisquation du bateau et du permis de pêche.

Pour conclure, de lourdes peines sont envisagées contre la pêches illégale et pourtant, nous trouvons toujours des pêcheurs prêt à pêcher de cette façon.


Sites utilisées :

Midi libre :

http://www.midilibre.fr/recherche/index.php?q=A9gale

Algerie 360 :

http://www.algerie360.com/recherche/?cx=partner-pub

 

Réalisé par Gerbaud Dylan , Metzer-Latini Loïc 3°5

Le pêche à l’explosif

I.Qu’est ce que la pêche à l’explosif?

La pêche a l’explosif est une utilisation très répandue détruit les récifs coralliens en creusant de grands cratères sur le fond de l’océan. Elle menace la poursuite des activités de pêche car les récifs coralliens ont un rôle essentiel dans la reproduction des poissons.

II. Comment ça se passe?

La pêche à l’explosif se pratique en jetant dans l’eau des bombes artisanales et en faisant littéralement exploser le poisson pour le faire remonter à la surface. C’est une pratique populaire dans la région depuis de nombreuses années. Elle permet aux pêcheurs de prendre rapidement un grand nombre de poissons, dont plusieurs seront en suffisamment bon état pour être envoyés sur le marché.

Mais les conséquences des bombes, faites traditionnellement de bouteilles ou de coques de noix de coco remplies d’engrais et d’une simple mèche, vont encore bien plus loin que la perte tragique des membres chez les jeunes gens du village. Leur utilisation très répandue détruit les récifs coralliens en creusant de grands cratères sur le fond de l’océan. Elle menace la poursuite des activités de pêche car les récifs coralliens ont un rôle essentiel dans la reproduction des poissons.

La pêche à l’explosif menace également une des sources alimentaires les plus importantes de la région, qui est aussi une source de revenus essentielle pour ses habitants, souvent très pauvres.

 

III Atention!

Les récifs coralliens sont aujourd’hui menacés, soit directement (aménagements…), soit indirectement (pollution organique…). En 1997 (Année internationale des récifs coralliens), on a constaté que de 10 à 20 % des récifs étaient irrémédiablement détruits, 30 % très menacés, 20 % dégradés, et seulement 30 % des récifs encore intacts. Toutes les activités humaines, y compris le tourisme, qui sont liées aux récifs doivent être menées avec précaution pour limiter les perturbations y compris le tourisme. Cependant, beaucoup de communautés humaines riveraines n’ont encore aucune conscience « environnementaliste » : la nature est inépuisable et doit servir l’homme. C’est pourquoi des mesures de protection et de gestion doivent être prises. 30 % des récifs coralliens ont atteint le point critique de non-retour, 30 % sont sérieusement menacés, et 40 % sont stables et sains, le plus souvent en relation avec la proximité des zones densément peuplées. Dans l’immédiat, la menace principale sur les récifs vient des activités humaines locales ou régionales, bien plus que du réchauffement global qui ne les menacera éventuellement que dans un futur éloigné.

 

 

http://www.omar.fr/index.php/les-rfs-coralliens-mainmenu-65/80-les-coraux/118-les-dangers-pour-les-coraux

 

Jordan et Victor Villatte