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La truite

I / Introduction : Définition et étymologie

Nous cherchons à savoir comment les truites se maintiennent-elles dans les rivières. Le terme truite est un nom vernaculaire ambigu désignant plusieurs espèces de poissons de la famille des salmonidés.

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8e/Truite_gold.jpg/250px-Truite_gold.jpg

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truite dorée.

II / Localisation :

Les truites vivent dans des eaux claires et vives. Elles ont été également introduites en Australie et en Nouvelle-Zélande au XIXe siècle. Les truites sont  plus fréquemment retrouvés dans les rivières, de première catégorie. En 2012 l’ouverture de la truite s’est faite le 10 mars. Les premiers pêcheurs pouvaient mettre les « cannes à l’eau » une demi heure avant le lever du soleil. C’est pareil pour tous les pêcheurs français. Quant à la date de fermeture, elle est fixée le dimanche 16 Septembre.

III / Description :

http://www.truitesetrivieres.com/connaitrelatruit/index.html

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les parties de la truite.

 

  • 1: Bouche
  • 2:Oeil
  • 3:Nageoire dorsale, sert pour la rotation droite/gauche
  • 4:Adipeuse
  • 5:Opercule
  • 6:Nageoire pectorale, sert pour la direction haut /bas
  • 7:Ligne latéral
  • 8:Nageoire pelvienne,sert pour l’équilibre de la truite
  • 9:Nageoire anal, en complément de la nageoire dorsale, direction droite/gauche
  • 10:Nageoire caudale, sert à la propulsion

Certains individus atteignent une trentaine de kilogrammes. Selon les espèces, la durée de vie peut varier de 7 ans à plusieurs dizaines d’années.

IV/Moyen de peuplement :

Pour garder la population des truites nombreuses dans les rivières, il existe des associations telle celle de « la truite fariot » qui siège à La Châtre. Cette association densifie les rivières de l’Indre. A chaque sortie, elle dépose environ 1000 truites dans les rivières.

Des œufs fécondés sont placés sur des frayères artificielles, et des alevins sont élevés et relâchés dans les rivières, pour participer au repeuplement de milieux dégradés, menacés ou surexploités. Néanmoins, si ces pratiques sont souhaitables et bénéfiques lorsqu’il s’agit d’espèces autochtones, elles ne contribuent pas à la sélection naturelle, peuvent poser des problèmes de diversité génétique et sont néfastes lorsqu’il s’agit d’introduire des espèces exogènes, ou des poissons susceptibles d’être anormalement porteurs de maladies ou parasites.

V/ Les fraudes :

Certains pêcheurs font de la surpêche, c’est à dire qu’ils prennent plus de poissons que la limite autorisée. Dès qu’un pêcheurs va à la pêche il ne peut pas prendre plus de 6 truites. D’autres pêcheurs eux, pêche sans respecter les lois, soit en pêchant avant l’ouverture, soit en mettant des batteries dans la rivières ce qui électrocutent les poissons qui vont remonter à la surface et qui vont les pêcher avec un filet. Pour surveiller les fraudes il existe des gardes pêches.

VI / Conclusion :

Pour conclure, je peux dire que si les associations pour repeupler les rivières n’existaient plus, il n’y aura peut être plus de poissons au jour d’aujourd’hui.

Travail réalisé par CORDIER Cédric et LANGLOIS Flavien.