Archives mensuelles : avril 2012

Les Principaux sites à risques en France et la nature de ces risques.

I) Introduction :

En France les sites à risques sont surtout des sites pollués. La capitale compte de nombreux sites pollués. La cause de ces risques est surtout dû aux usines.

 

II) Quels sont les sites pollués en province ou en banlieue ? Quels sont la nature de ces risques ?

 

Dans le département de la Seine-Saint-Denis (93) :

Aubervilliers : les terrains ont été contaminés par des déchets radioactifs et des hydrocarbures.

Aulnay-sous-Bois : Des maisons devaient être construites sur le site d’une ancienne usine de broyage de minéraux, dont de l’amiante. Le projet est bloqué depuis qu’une étude de l’Institut de veille sanitaire a mis en évidence des cas de maladies liées à l’amiante chez des personnes ayant vécu à proximité.

Dans le département du Val d’Oise (95) :

Louvres : La construction d’un supermarché sur le site d’une ancienne usine a libéré les cyanures contenus dans les sols. Conséquence : une pollution importante de la nappe phréatique et de plusieurs points de captage d’eau potable.

Pierrelaye et Bessancourt : Les sols de la plaine de Pierrelaye-Bessancourt sont pollués par les eaux usées de Paris, qui contiennent du cadmium. La préfecture a décidé d’interdire les cultures maraîchères.

Dans le département de l’Essonne (91) :

Gif-sur-Yvette : La radioactivité reste toujours très importante dans le quartier pavillonnaire des Petites-Coudraies, où les terrains d’une ancienne usine d’extraction d’uranium ont été mal décontaminés.

Dans le département des Bouches-du Rhône (13) :

Marseille : Dans le XVIe arrondissement, la moitié des terrains a été en grande partie dépolluée pour près de 50 millions d’euros.  Les eaux sont surveillées en raison de risques d’écoulement d’arsenic. Au sud de la cité phocéenne, les bords de mer, depuis la Madrague jusqu’à Callelongue, sont concernés par une pollution vieille de plus d’un siècle, notamment au plomb. L’accès à la plage de Samèna, dans les calanques, ainsi que la consommation d’oursins provenant de la zone sont interdits depuis deux ans.

Dans le département des Alpes-Maritimes (06) :

Villefranche-sur-Mer : La construction d’une école maternelle et de logements sur le site de l’ancienne usine à gaz est stoppée depuis un an. La ville conteste la qualité des travaux de dépollution menés.

Dans le département de la Haute-Corse (2B) :

Canari : C’est la plus connue des nombreuses mines d’amiante à ciel ouvert de l’île de Beauté.

 

La liste des sols pollués de France :

La ville de Paris sur la piste de 5 000 terrains à risques

  • Ile-de-France : 22 121 sites à risques
  • Paca et Corse : 16 895 sites à risques
  • Rhône-Alpes : 1 895 sites à risques
  • Grand Est : 35 173 sites à risques
  • Centre-Est : 11 020 sites à risques
  • Grand Sud : 33 541 sites à risques
  • Atlantique : 24 198 sites à risques
  • Grand Centre : 22 084 sites à risques
  • Grand Ouest : 46 942 sites à risques
  • Grand Nord : 28.405 sites à risque

 

III) Combien de sites et de sols pollués compte la capitale ?

Plus de 5 000 terrains sont potentiellement pollués à Paris. Certains sont connus.  En six ans, les services municipaux ont  identifié une cinquantaine de zones suspectes, comme dans le XIXe arrondissement, en 2003, lorsque les travaux de rénovation de la cité Michelet ont été lancés.

 

 

IV) Qu’est ce qu’un site pollué ?

Un site pollué est un site présentant un risque pour la santé humaine ou l’environnement du fait d’une pollution résultant d’une activité actuelle ou ancienne sur ce site. La pollution locale (qui concerne quelques dizaines d’hectares au maximum) ou ponctuelle des sols est généralement d’origine industrielle. Au 1er septembre 2005, on recense 3 717 sites pollués. Les anciennes zones minières et les zones fortement industrialisées sont les plus concernées (Nord – Pas-de-Calais, Lorraine, Alsace, Île-de-France, vallée du Rhône).

V) Conclusion

La pollution est dangereuse pour l’homme. Pour limiter celle-ci, il faudrait largement réduire les sites où les sols sont pollués en France en diminuant les rejets des usines.

Source Images : Google Images

Travail réalisé par Pierrick CAZIOT, Thomas ALLMANDET, Etienne DENORMANDIE.

La transplantation

 

La transplantation

Introduction:

La toute première transplantation date de 1933. Il s’agit d’une transplantation de rein

réalisée à partir d’un donneur décédé. L’intervention a été réalisée par le docteur VORONOY à Khersov (URSS).

I. Les étapes de la transplantation

Les différentes étapes de la transplantation sont:

1)Le donneur potentiel décède.

2)Le corps du défunt est sous surveillance.

3)La famille témoigne pour dire si le défunt n’était pas opposé au don de ses organes.

4)Le laboratoire analyse le sang du donneur.

5)Coordination et régulateur organisent le prélèvement et les greffes.

6)Les organes du donneur sont prélevés.

7)Les organes sont transférés dans les hôpitaux où les receveurs attendent d’être greffés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II. Comment se déroule l’intervention chirurgicale ?

Les circonstances du décès rendent le prélèvement possible. Tant que la décision de prélever n’est pas prise, les organes sont maintenus en état de fonctionnement par l’équipe de réanimation, sous surveillance constante. De plus la salle dans laquelle s’effectue l’opération est une salle stérile. Dans un timing compté à la minute près, chacun sait ce qu’il doit faire. Cette coordination entre les acteurs est indispensable pour que les organes qui ont put être prélevés soient greffés dans les meilleures conditions. C’est une chaîne de vie: la chaine du don à la greffe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

III. Le transport des organes

Si traditionnellement l’organe est simplement déposé dans un bac à glace. Un nouveau système (LifePort™ Kidney Transporter) constitue une alternative au traditionnel «bac à glace» (méthode statique d’entreposage d’organe) en améliorant nettement les conditions de transport et le soin des organes à transplanter.

Le LifePort™ Transporter consiste en un système sophistiqué fournissant une température et une pression constantes et contrôlables combinées à une perfusion utilisant une solution tampon physiologique appropriée. L’organe est mieux préservé dans sa structure et sa fonction et par conséquent, il peut offrir un fonctionnement complet plus rapide de l’organe après la transplantation.

 

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Conclusion:

La transplantation d’organes a connu une avancée technologique grâce au LifePort qui permet de garder l’organe en parfait état.

 

 

Cet article a été réalisé par Gaël Coutant et Dorian Draperie.

 

Liens:

http://www.dondorganes.fr/La-chaine-du-prélèvement-a-la-html

http://www.tpegreffe.com/deacuteroulement-dune-greffe.html

Conséquences de l’obésité sur la santé

 

Les conséquences de l’obésité:

 

1) Comment l’obésité s’installe dans le quotidien des humains ?

Elle s’installe à cause une mauvaise alimentation régulière. De plus les industries agro-alimentaires contribuent à cette mauvaise alimentation, et les gens ne pratiquent plus d’activités sportives régulières.

 

2) Pourcentage d’obésité dans différents pays

 

3) Conséquences de l’obésité sur la santé.

L’obésité provoque des maladies comme :

L’hypertension artérielle: En fait la pression du sang dans les artères est trop forte certains artères se perforent .

Le diabète de type 2: Le corps est toujours en manque de sucre, alors la personne en mange encore mais il est directement rejeté dans l’urine c’est un cercle vicieux. Et donc une augmentation de l’appétit. Tout ceci entraine une cécité. (Pour améliorer son état de vie la personne doit vivre aux rythme des perfusions d’insuline).

L’insuffisance veineuse: A cause du manque d’activités sportives et de la mauvaise qualités des tissus les obèses ont des varices, des ulcères et enfin des jambes lourdes.

Il a fallu attendre les années 2000 pour voir apparaître une définition internationale de l’obésité de l’enfant.

La prévention auprès des enfants est importante. Ils sont les plus sensibles aux sollicitations publicitaires pour les aliments, ils sont naturellement attirés par les goûts sucrés, et une bonne partie des enfants a été habituée très tôt à un déséquilibre de l’alimentation, y compris dans le ventre de leur mère, si elle avait une alimentation déséquilibrée. C’est d’autant plus difficile de contrarier ces mauvaises habitudes qu’elles sont plus anciennes, cela demande plus de temps et de patience, pour eux et pour leur entourage.

 

PAR :  Deroussen Tanguy et Bordet Willy.

L’obésité

+-I. Comment devient-on obèse ?

On peut devenir obèse par :

- hérédité : c’est à dire que ceux qui ont des parents obèse ont plus de risque de souffrir de surcharge pondérale que les autres.

- les troubles des comportements alimentaires : c’est à dire manger trop par rapport à ses dépenses énergétiques ou trop gras par rapport à ses capacités d’oxygénation des graisses.

- les facteurs psychologiques: c’est à dire être en dépression, angoissé, être anxieux peut entraîner une tendance à trop manger.

- l’arrêt du tabac

 

II. Peut on vraiment guérir de l’obésité ?

Dans la mesure où il est encore difficile de soigner les causes de l’obésité, le traitement de celle-ci reste malaisé et requiert une prise en charge et un suivi à long terme ainsi que la participation active du patient.

Il vise avant tout à prévenir les rechutes qui sont fréquentes.

L’objectif, complexe et variable, peut viser la réduction de poids ou sa stabilisation, l’amélioration des facteurs de risques et des maladies associées, l’amélioration de la qualité de vie du patient.

Plutôt qu’un amaigrissement spectaculaire, l’objectif doit être réaliste, même modéré, cet amaigrissement est très souvent bénéfique pour la santé.

Les procédures les plus souvent utilisées sont des régimes restrictifs équilibrés, appauvris en graisses et en sucres solubles.

En cas d’obésité sévère ou morbide, diverses techniques chirurgicales modifiant le tractus digestif (notamment l’estomac) et visant à limiter de façon permanente l’alimentation peuvent être pratiquées .

III. Quels sont les conséquences de l’obésité sur la santé ?

Le surpoids et l’obésité entraînent de graves conséquences pour la santé. Les risques augmentent progressivement avec l’IMC. Un indice de masse corporelle élevé est un important facteur de risque de maladies chroniques comme : les maladies cardiovasculaires, le diabète, les troubles dits musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose, certains cancers (endomètre, sein et colon), lorsque l’obésité est sévère, on constate également des apnées du sommeil et des pathologies orthopédiques, les adolescentes présentent souvent des troubles endocriniens (puberté précoce, aménorrhées).

IV. Quels sont les différentes formes d’obésité ?

L’expansion du tissu adipeux peut être liée à une augmentation des cellules adipeuses soit en taille (obésité hypertrophique), soit en nombre (obésité hyperplasique), les obésités morbides sont à la fois hypertrophiques et hyperplasiques.

Une première forme de répartition, de type féminin, est dite gynoïde, elle n’entraîne guère de risques graves pour la santé. Les dépôts adipeux sont localisés de façon prépondérante à la partie inférieure du corps et aux aires sous cutanés (fesses, hanches, jambes).

Une deuxième forme dite androïde est typiquement masculine mais s’observe également chez bon nombres de femmes. Les dépôts adipeux sont principalement situés sur le tronc et l’abdomen.

Une troisième forme dite viscérale, est caractérisée par une augmentation de la graisse à l’intérieure de l’abdomen, autour des viscères. Elle est la plus critique en terme de risques métaboliques et cardiovasculaires. Plus fréquente chez les hommes, elle est malaisée à diagnostiquer, car elle peut exister même lorsque l’IMC est normal ou peu élevé.

Transfusion sanguines, greffes et transplantations.

Nous allons vous présentez comment se déroule les transplantations et les transfusions sanguines.

 

1.Comment peut-on se procurer un coeur ?

Pour se procurer un coeur il faut une greffe, puis il  faut voir si il est cohérent avec son sang. Puis enfin il faut attendre son tour sur une liste d’attente car ils sont nombreux à avoir besoin d’un organe..

On ce procure un coeur grâce à une personne qui est décédée, et qui à le même groupe sanguin (note du professeur : non les groupes sanguins ne sont pas en cause, il faut que les cellules soient compatibles c’est plus compliqué que les groupes sanguins et c’est surtout beaucoup plus difficile de trouver quelqu’un de compatible).

 

2.Quels sont les risques qu’il peut y avoir lors d’une transplantation ?

Il faut d’abord savoir que les risques des transplantations peuvent être liés soit au receveur, soit au donneur. Par exemple, les nourrissons et les personnes âgées sont des receveurs à haut risque. De même, les donneurs porteurs de cicatrice, d’infection sont également potentiellement à risque. Cependant, chaque étape de la greffe comporte des risques spécifiques : le processus amont mettant en oeuvre le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation du greffon est soumis à une réglementation stricte ; la greffe elle-même pose encore d’importants problèmes de transmission d’infections et des problèmes de rejets du greffon.

Le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation des greffons font l’objet de règles de Bonnes Pratiques dans le cadre réglementaire européen d’une démarche qualité. La possibilité de conservation prolongée des tissus dans des banques permet d’envisager des techniques de sécurisation après prélèvement : l’inactivation des tissus chaque fois que cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives).

Le rejet du greffon reste le risque majeur.

 

3. Quels sont les différents types de greffes ?

L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez le même individu, d’un rein de sa situation normale dans la région lombaire, vers un emplacement placé plus bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation « isogénique » ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation.
L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus).
La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme

 

4. Transfusion sanguine.

La transfusion sanguine aujourd’hui:

Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. La transfusion dite « sanguine » consiste de nos jours à administrer par voie intraveineuse des préparations de concentré de globules rouges (concentrés globulaires) obtenues à partir de sang de donneurs anonymes non rétribués. La gestion et la transformation des produits sanguins issus des dons sont assurées en France par l’Etablissement Français de sang.

Les risques de compatibilité:

Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Les globules rouges du donneur sont dits compatibles avec le sang du receveur si le receveur ne présente pas d’anticorps circulants dirigés contre un antigène érythrocytaire du donneur.

 

 

Article réalisé par Cassandre et Ophélie.

Les pillules contraceptives

La pilule contraceptive classique est :

la pilule que l’on prend quotidiennement afin d’éviter une grossesse. C’est un médicament faiblement dosé en hormones féminines. Malgré des contre-indications (ex : tabac…) chez certaines femmes, cette pilule n’a que très peu d’effets secondaires. On peut la nommer la pilule « classique ». Elle assure une contraception sûre et efficace à long terme.


Libération tempérée par le sida :

Même si elle est vue comme un moyen majeur de la libération de la femme, la pilule paraît avoir été surtout conçue dans les années 50 pour contrôler l’explosion démographique des populations pauvres, selon des historiens. Aujourd’hui, la communauté internationale reste mobilisée pour aider les pays pauvres surpeuplés à contrôler leur démographie tout en s’efforçant de ne pas tomber dans l’eugénisme.

La pandémie de sida qui s’est développée depuis ces vingt-cinq dernières années dans le monde a tempéré le mouvement de libération sexuelle permis par la pilule et a fait évoluer les comportements sexuels en faveur du préservatif pas seulement comme moyen de contraception mais aussi de protection contre les maladies sexuellement transmissibles.

Par opposition la pilule du lendemain est :

Une pilule à n’utiliser qu’en cas d’urgence, ce médicament est fortement dosé en hormones féminines même s’il n’évite pas la formation de l’œuf, il évite l’implantation de l’embryon dans l’utérus. La pilule du lendemain est un médicament permettant une contraception d’urgence. Il s’agira de prendre la pilule du lendemain le plus rapidement après le rapport sexuel à risque de grossesse, car l’efficacité décroît avec le temps.

 

 

Plantureux Juliette , Di Blasi Marion.

sources : http://www.creapharma.ch/pilule-differente.htm