Archives mensuelles : mai 2013

La comparaison entre l’agriculture biologique et l’agriculture intensive. Laquelle choisir ?

Nous allons vous présenter les deux types d’agricultures : il y a l’agriculture biologique et l’agriculture intensive.

1.L’agriculture biologique

L’agriculture biologique est une méthode de production agricole qui se caractérise par l’absence d’usage de la chimie de synthèse. Elle se veut le prolongement d’une agriculture traditionnelle millénaire qui a été presque totalement exempte d’intrants chimiques, à l’opposé de leur utilisation massive par l’agriculture industrielle et intensive depuis le XXe siècle. Cette méthode affirme mieux respecter le vivant et les cycles naturels. Il n’existe pas de données mettant en évidence un impact environnemental de cette forme d’agriculture vis-à-vis de toutes les autres, pour toutes les cultures et en tous lieux, dans certains cas c’est l’inverse. Le 1er août 2012, la nouvelle réglementation sur la vinification biologique est rentré en vigueur. Pour atteindre les objectifs du label, les agriculteurs biologiques doivent respecter des cahiers des charges et des règlements qui excluent notamment l’usage d’engrais chimiques de synthèse et de pesticides de synthèse, ainsi que d’organismes génétiquement modifiés.Les agriculteurs qui pratiquent ce type d’agriculture misent, par exemple, sur la rotation des cultures, l’engrais vert, le compostage, la lutte biologique l’utilisation de produits naturels comme le purin d’ortie ou la bactérie , et le sarclage mécanique pour maintenir la productivité des sols et le contrôle des maladies et des parasites. Dans le monde, environ 37,5 millions d’hectares étaient consacrés à l’agriculture biologique en 2009.Au sein de ces dernières, l’agriculture biologique se caractérise notamment par le fait que l’épithète « biologique », ou son abréviation « bio » impliquent une certification attribuée correspondant à des normes et à des cahiers des charges, et que le mot est, souvent, légalement protégé. Plusieurs labels internationaux de reconnaissance pour ce type d’agriculture ont été définis.

2.L’agriculture intensive

L’agriculture intensive est un système de production agricole « fondé sur l’optimisation de la production par rapport à la surface cultivée, qui requiert des investissements importants et une utilisation accrue d’intrants agricoles (énergie, engrais, matériel). »En fonction des moyens mobilisés on peut avoir une productivité physique par unité de main-d’œuvre (UTH, pour unité de travail humain) ou une productivité physique par unité physique ou économique exploitée (productivité par hectare de surface agricole, par unité de surface dans un bâtiment d’élevage ou dans une serre, par quantité de capital immobilisé). En fait la productivité est une notion inhérente au système technique utilisé, ce qui impose de le définir préalablement. Ainsi, à rebours de la productivité des systèmes agricoles intensifs conventionnels, Michel Griffon met en avant une productivité qui est le résultat de moyens écologiques mis en œuvre, il développe dans ce sens l’idée d’agricultures écologiquement intensives  fondées sur la mobilisation de technologies ayant globalement un effet positif sur l’environnement. Dans cette approche on pourra consulter aussi l’article Micro-agriculture biointensive. Les eaux polluées par les substances chimiques et organiques utilisées dans l’agriculture intensive s’infiltrent dans le sol, ruissellent, pour atteindre les nappes phréatiques, les cours d’eau souterrains et les rivières avoisinantes. Le traitement des eaux polluées par les nitrates et les produits phytosanitaires notamment est très coûteux, et son efficacité est limitée. Le traitement des eaux ne peut pas anéantir toutes les substances chimiques ou organiques utilisées dans l’agriculture intensive, qui se retrouvent au final dans l’environnement. L’agriculture intensive contribue à la desertification des sols. Les haies, les petits bois, les talus, les prairies sont détruits pour favoriser la plus grande surface agricole possible : mais ils contiennent une riche et essentielle biodiversité, et leur éradication est également responsable de fortes inondations, car les barrières naturelles au ruissellement des eaux n’existent plus

Conclusion :

L’agriculture biologique sera de plus en plus utilisée car elle n’utilise pas d’intrants mais il faudra toujours l’agriculture intensive car à elle seule elle nourrit toute la population.

La maison productrice d’énergie

LA MAISON PRODUCTRICE D’ENERGIE

Il existe deux types de maisons productrice d’énergie : les maisons qui produisent de l’énergie et les maison a énergie positive.

I. La maison qui produit de l’énergie.

Les maisons qui produisent de l’énergie sont des habitations qui produisent de l’énergie pour la revendre au réseau EDF. Il y a quelque exemples des maisons productrices d’énergie dans le département de l’INDRE, comme à Saint-CHARTIER où se trouve une ferme dont tous les toits sont recouverts de panneaux photovoltaïques. Les toits des hangars et de la maison sont inclinés en direction du sud car c’est dans cette direction que le soleil « tape » le plus, donc c’est comme ça que l’on peut produire le plus d’énergie possible.

II. La maison à énergie positive

Un bâtiment à énergie positive est un bâtiment qui produit plus d’énergie (électricité, chaleur) qu’il n’en consomme pour son fonctionnement. Cette différence de consommation est généralement considérée sur une période lissée d’un an. Si la période est très courte, on parle plutôt de bâtiment autonome. C’est généralement un bâtiment passif très performant et fortement équipé en moyens de production d’énergie par rapport à ses besoins en énergie. Les toits, murs, voire les fenêtres ou d’autres éléments (verrières de véranda ou balcons, murs d’enceinte, toiture de garage ou appentis, fondations, etc.) peuvent être mis à profit pour accumuler et restituer de la chaleur ou produire de l’électricité. La quantité d’énergie produite par les toit, les murs, doivent  au moins compenser la somme des consommations énergétiques moyennes annuelles sous le toit. Une centaine de réalisations à énergie positive en France (65 % dans le tertiaire ; 29 % en maisons individuelles et 6 % en logements collectifs). C’est très économique du point de vue du respect de l’environnement.

GABRIEL MASSICOT & OSCAR SIMONIN

LA MALADIE D ALZHEIMER

En France, la maladie d Alzheimer touche 85000 personnes. La maladie d Alzheimer peut se développer chez tous les individus.

I: Qu’est ce que la maladie d’alzheimer?

La maladie se caractérise par la mort de neurones, les cellules du cerveau. Cette mort cellulaire s’amplifie au fur et à mesure que la maladie s’ aggrave et peut entrainer la perte de certaines fonctions, comme :

La mémoire

Le raisonnement, le langage

Le jugement et l’humeur

Voici une illustration des conséquences de la disparition massive de cellules dans tout le cerveau au stade avancé de la maladie d’Alzheimer.

coupe d’un cerveau atteint de la maladie .

II: Qu’est qui se passe dans le cerveau?

1) Dans un cerveau atteint d’Alzheimer:

-Le cerveau se recroqueville et est endommagé au niveau des zones associées à la pensée, à la planification et à la mémoire.

-Le rétrécissement est particulièrement marqué dans l’hippocampe, le cortex joue sur un rôle essentiel dans la formation de nouveaux souvenir.

-Les ventricules (cavité du cerveau) sont des espaces remplis de fluide à l’intérieur du cerveau qui grossissent.

La progression de la maladie :

A mesure qu’évolue la maladie d’Alzheimer, les plaques et les enchevêtrements (partie bleutées) ont tendance à progresser à travers le cortex.Les personnes atteintes de la maladie d’ Alzheimer vivent en moyenne huit ans , mais certaines personnes peuvent vivre jusqu’à 20 ans .

2) Les symptômes:

- La mémoire à court terme: ( nom de la personne rencontrée, les proches…)

-Sens de l’orientation: ( se souvenir des dates d’anniversaire, difficultée à retrouver le jour de la semaine…)

Les traitements:

A ce jour, il est impossible de guérir la maladie d’Alzheimer. En revanche, les médicaments peuvent agir sur les troubles cognitifs et comportementaux spécifiques de la maladie.

 

CONCLUSION

Nous l’avons vu, la maladie d’Alzheimer est une maladie dégénérative qui touche différentes parties du cerveau. Elle évolue en 3 phases: légère, modérée et sévère.

Il existe deux formes de la maladie, une forme à prédisposition génétique, et une forme génétique dominante beaucoup plus rare. Il faut savoir que le seul vrai facteur de risque est le facteur génétique mais il existe des facteurs aggravants comme le diabète ou l’hypertension.

LE SIDA

Le syndrome de l’immunodéficience acquise, plus connu sous son acronyme SIDA , est un ensemble de symptômes consécutifs à la destruction de plusieurs cellules du système immunitaire par un rétrovirus. Le sida est le dernier stade de l’infection par ce virus et finit par la mort de l’organisme infecté, des suites de maladies opportunistes.


Il existe plusieurs rétrovirus responsables du sida, chacun infectant une espèce particulière. Le plus connu d’entre eux est le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) infectant l’Homme. Les autres virus sont, parmi d’autres, le VIS infectant les singes et le VIF pour le chat.


Modes de transmission:

Les trois modes de transmission du VIH ont chacun leurs particularités : par voie sexuelle, par voie sanguine et durant la grossesse.

La plupart des infections par le VIH ont été ou sont encore acquises à l’occasion de rapports sexuels non protégés. La transmission sexuelle se fait par contact entre les sécrétions sexuelles (ou du sang contaminé par le virus) et les muqueuses génitales, rectales ou buccales. Le meilleur moyen de protection contre le VIH dans ce mode de transmission est le préservatif.

Le mode de contamination par voie sanguine concerne tout particulièrement les usagers de drogues injectables, les hémophiles et les transfusés. Les professionnels de santé (soins infirmiers, laboratoires) sont aussi concernés, bien que plus rarement. Il ne faut pas négliger les risques de contamination par aiguilles souillées et non ou mal désinfectées (tatouages).


La transmission mère-enfant du virus peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse, et au moment de l’accouchement. À noter une tendance à la fausse séropositivité au VIH chez les multipares. L’allaitement présente aussi un risque supplémentaire de contamination du bébé, ce qui explique qu’il soit déconseillé en cas d’infection de la mère.

 

Évolution de la charge virale et du système immunitaire:

Hiv-timecourse-Fr.png Les valeurs temporelles de la phase de latence clinique (ou phase asymptomatique) ne sont qu’une moyenne. Cette phase peut en effet aussi bien durer 1 an que 16, selon l’individu.

Traitements

Article détaillé : Antirétroviral.

Il n’existe à l’heure actuelle pas de traitement permettant de guérir du sida, malgré l’existence de traitements comme les trithérapies rétrovirales qui permettent de contenir l’action du virus avec plus ou moins d’efficacité ; de nombreux morts sont déplorés chaque jour en particulier dans les pays en développement où ces traitements sont difficilement accessibles en raison de leur coût. Des recherches continuent pour la mise au point d’un vaccin, mais les progrès dans ce domaine sont lents.

Les traitements ne sont pas généralement prescrits au début de la séropositivité au VIH, car ils présentent des effets indésirables, ainsi qu’une certaine toxicité. La nécessité de suivre un traitement à l’aide des bilans sanguins, notamment le rapport Charge virale/Taux de CD4 est évaluée. Une fois le traitement débuté, il doit être poursuivi avec une très grande régularité (une mauvaise observance peut rendre le virus « résistant »). Les tentatives d’arrêt des traitements n’ont pour l’instant pas donné de résultats probants.

Les principaux effets indésirables à court terme des multithérapies s’atténuent généralement rapidement : fatigue, maux de tête, troubles digestifs (nausées, diarrhées), fièvre ou plaques rouges sur la peau. Après plusieurs mois de traitement, une lipodystrophie (graisse disparaissant du visage pour aller sur le ventre pour les hommes et les cuisses pour les femmes), des dyslipidémies (augmentation du cholestérol et des triglycérides) ; ainsi qu’un perturbation du métabolisme glucidique (mauvaise assimilation du sucre) peuvent survenir. Certains de ces effets indésirables peuvent être atténués par une activité physique adaptée ou une adaptation des traitements médicamenteux.

L’espérance de vie actuelle sous traitement chez le sujet jeune infecté peut dépasser 35 ans.

Le sida est une maladie dégénérative , ou les médecins font des progrès pour la soignée. Grâce  à cela l’espérance de vie du corps infecté augmente.

L’obésité et ses conséquences.

L’obésité humaine a été reconnue comme une maladie en 1997. Cette maladie multifactorielle est considérée aujourd’hui par métaphore comme une pandémie. En effet, c’est un surpoids d’un individu, le plus souvent causé par le manque d’activité physique, et la sur-nutrition. Dans le monde, le taux d’obésité est assez bien réparti, mis à part quelques exceptions, les voici:



 

-Quelles sont les conséquences de l’obésité sur la santé?

-Pourquoi l’obésité a-t-elle des conséquences sur la santé?

-Est-ce-que l’obésité peut être mortelle? Pourquoi?


I/ L’obésité sur la santé:

L’obésité a plusieurs conséquences sur la santé, en voici quelques unes:


L’hypertension artérielle : c’est le développement d’une hypertension artérielle avec toutes ses conséquences vasculaires sur le cerveau, le coeur et les reins.

Le diabète de type 2 : Encore appelé diabète gras, cela se caractérise par une augmentation permanente du taux de sucre dans le sang associée à une augmentation de l’insuline . Les complications sont,la sensibilité aux infections, le mal perforant plantaire, etc..

L’insuffisance veineuse : avec son cortège de jambes lourdes, est plus fréquente chez l’obèse en raison de la mauvaise qualité des tissus et du manque d’activités physiques.

L’hypoventilation alvéolaire : c’est à dire un certain degré d’insuffisance respiratoire d’origine mécanique peut se développer réalisant au maximum le héros de Dickens avec somnolence diurne.

Le syndrome d’apnée du sommeil :un ronflement plus intense est souvent plus détecté chez des personnes souffrants d’obésité.

Les dyslipidémies : surtout l’hypertriglycéridémie sera souvent la règle aggravant encore les risques cardio-vasculaires, surtout en cas d’obésité androïde. De même cette augmentation des lipides, dont le foie est le principal épurateur, va entraîner une surcharge hépatique.

L’insuffisance cardiaque : sera plus fréquente, conséquence d’un plus gros travail demandé au coeur pour le moindre effort, et des pathologies associées décrites ci-dessus : insuffisance coronarienne, hypertension, diabète, insuffisance respiratoire.

L’arthrose des articulations porteuses : Mécaniquement toutes les articulations de la moitié basse du corps vont souffrir de cet excès de poids et donc de pression et de force à leur niveau, tant les tendons  que les surfaces articulaires d’où une arthrose invalidante plus précoce que chez le sujet normal. Les articulations concernées sont les dernières vertèbres, les hanches, les genoux et les pieds.

L’obésité a donc des conséquences sur la santé, à cause du poids du corps qui gêne les jambes, et les autres critères déjà cités ci-dessus.

 

II/ Comment éviter l’obésité:

 

Pour prévenir l’obésité, la meilleure chose est de manger sainement (ne pas grignoter entre les repas, ne pas manger trop gras, ni trop sucré, ni trop salé) de pratiquer une activité physique régulière, comme par exemple faire de la marche a pied tout les jours (au moins 2 km environ), et pratiquer du sport une fois par semaine.

 

Voici une pyramide d’alimentation

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Voici un petit-déjeuner équilibré, avec des fruits et des céréales.

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Sources du texte: www.medecine-et-sante.com

Eéa Maufroy, Emily Kozik, Stéphanie Breuers – 3°6

 

 

 


Tout savoir sur les groupes sanguin.

Il y a plusieurs choses à savoir sur les groupes sanguins comme par exemple pourquoi est-il important de connaitre son groupe sanguin? ou encore comment savoir son groupe sanguin? Toutes les réponses à vos questions sont ci dessous.


Pourquoi est-il important de connaître son groupe sanguin ?

 

 

Il est important de connaître son groupe sanguin car ça sera utile quand on donnera son sang ou si un jour on doit recevoir une transfusion ou une greffe d’organe. Il faut absolument que les groupes soient compatibles.

 

Les personnes appartenant au groupe sanguin O, sont des donneurs universels.
Les personnes appartenant au groupe sanguin AB+ sont des receveurs universels.
Comment savoir son groupe sanguin?

Il y a plusieurs façons pour savoir son groupe sanguin:
- Normalement, cela est écrit dans son carnet de santé.
- Faire une prise de sang.
- Donner son sang.
- Quand on subit une opération.
Comme il y a -t-il de groupes sanguins?

Il y a huit groupes sanguins:


Groupe sanguin : Répartition mondiale :
O + 38 %
A + 34 %
B + 9 %
O - 7 %
A - 6 %
AB + 3 %
B - 2 %
AB - 1 %

 

 

On en conclut qu’il y a huit groupes sanguins. On sait son groupe sanguin par prise de sang, qu’il est important pour les transfusions et qu’un groupe sanguin est du sang, qui est constitué de plasma et trois sortes de cellules sanguines.

 

MOREAU Louise
HORNEC Audrey