Archives des mots clés : Développement durable

Les énergies renouvelables:

Les énergies renouvelables:

Nous allons vous présenter notre exposé sur les énergies renouvelables, il en existe 5.

L’énergie éolienne

C’est un principe vieux comme les moulins à vent. Le vent fait tourner les pales qui sont elles-mêmes couplées à un rotor et à une génératrice. Lorsque le vent est suffisamment fort (15 km/h minimum), les pales tournent et entraînent la génératrice qui produit de l’électricité. C’est le même principe que celui d’une dynamo de vélo

L’énergie hydraulique

Son principe ressemble à celui de l’éolienne. Simplement, ce n’est plus le vent mais l’énergie mécanique de l’eau qui entraîne la roue d’une turbine qui à son tour entraîne un alternateur. Ce dernier transforme l’énergie mécanique en énergie électrique.

L’énergie solaire

L’énergie solaire peut être transformée en une autre forme d’énergie utile pour l’activité humaine, notamment en chaleur ou en électricité . Par extension, l’expression « énergie solaire » est souvent employée pour désigner l’électricité ou la chaleur obtenue à cette dernière.

La biomasse

Ce terme désigne toute matière d’origine organique. On peut utiliser la biomasse de trois façons différentes : en la brûlant, en la faisant pourrir ou en la transformant chimiquement.

 

La géothermie

Il s’agit d’extraire la chaleur contenue dans le sous-sol afin de l’utiliser pour les besoins en chauffage. Sous la croûte terrestre se trouve énormément d’énergie sous forme d’eau chaude. On la puise à très grande profondeur et elle est redistribuée vers des chauffages centraux.

Il est important d’utiliser les énergies renouvelables, pour le bien de notre planète.

Sources: www.wikipédia.fr

www.google images.fr


Le problème des biocarburants : avantages et limites.

Le problème des biocarburants :  avantages et limites.

Qu’est ce qu’un biocarburant?

Un biocarburant (du grec bios, vie, vivant et de carburant ) est obtenu à partir de matière organique (biomasse), par opposition aux carburants issus de ressources fossiles.

NB: un combustible fossile est produit à partir de roches issues de la fossilisation d’éléments organiques (pétrole, gaz naturel…)

Tous les biocarburants ne sont pas identiques :

-Les biocarburants de première génération ont une part de responsabilité dans la  crise alimentaire mondiale actuelle; ils détournent plusieurs  millions de tonnes de denrées alimentaires.

-Les biocarburants de deuxième génération n’utilisent pas de denrées alimentaires (céréales, betteraves…) pour leur fabrication; contrairement aux biocarburants de première génération, ils constituent une alternative énergétique durable.

Définition de Biocarburant :

Carburant liquide issu de la transformation des matières végétales produites par l’agriculture (betterave, blé, mais, colza, tournesol, pomme de terre…). Les biocarburants sont assimilés à une source d’énergie renouvelable. Leur combustion ne produit que du CO2 et de la vapeur d’eau et pas ou peu d’oxydes azotés et souffrés (NOx, SOx).
Il existe deux filières de production de biocarburants : la filière de l’éthanol et la filière des esters :
• Incorporé dans les supercarburants, le bioéthanol est extrait de la betterave, de céréales, de pommes de terre ou de la biomasse, terme qui désigne ici un ensemble de déchets végétaux (paille, résidus de bois…). Les sucres contenus dans ces matières premières sont transformés en alcool par fermentation, processus qui dégage du gaz carbonique (CO2).
• Mélangés à du gazole, les esters méthyliques d’huile végétale (EMHV) sont obtenus à l’issue d’une réaction entre une huile végétale (notamment de colza ou de soja) et du méthanol, laquelle produit de la glycérine. En associant 1 tonne d’huile à 100 kg de méthanol, on obtient 1 tonne d’ester méthylique et 100 kg de glycérine. L’EMHV peut aussi être incorporé au fioul domestique. En Europe, il est appelé « biodiesel » ; en France, Sofiprotéol, l’établissement financier de la filière française des huiles et protéines végétales, a déposé la marque « diester », contraction de diesel et ester. Ce terme est devenu commun pour désigner l’EMHV en France.

La fabrication de biocarburants :

Les filières classiques / Les filières du futur

La comparaison entre l’agriculture biologique, l’agriculture raisonnée, l’agriculture intensive et leurs influenses sur la biodiversité.

L’agriculture intensive, l’agriculture

raisonnée et l’agriculture biologique

Dans ce travail, nous allons vous présenter et vous expliquer l’agriculture intensive, raisonnée, biologique et leurs conséquences.

L’agriculture intensive :

L’agriculture intensive (pratiquée par seulement quatre agriculteurs sur mille, essentiellement dans les pays du Nord) est un désastre du point de vue écologique bien entendu, mais aussi social, sanitaire et moral.
Le concept d’agriculture biologique est de plus en plus populaire car elle connaît une progression constante. Néanmoins, en France, elle ne représentait en 2005 que 2%  des agriculteurs.

Des dégâts écologiques souvent irréversibles

http://www.linternaute.com/television/magazine/photo/vu-du-ciel-voyager-utile/image/agriculture-253032.jpg

  • Pollution des sols
    Les engrais et autres pesticides (dérivés des armes chimiques…) se retrouvent bien sûr dans le cycle de l’eau. La pollution des nappes phréatiques, surtout en Bretagne, oblige parfois à consommer de l’eau minérale…
  • Perte de biodiversité

L’utilisation des pesticides se couple souvent avec l’utilisation de plantes génétiquement modifiées dont on commence à mesurer l’impact sur la biodiversité.

  • Gaspillage d’eau et de pétrole
    Il n’est pas rare aujourd’hui, en traversant les champs poitevins, de voir des arroseurs géants fonctionner en plein midi ! L’agriculture intensive ne prend nullement en considération les données géographiques. Parce qu’elle peut faire pousser n’importe quoi n’importe où et n’importe comment, cela l’oblige à consommer beaucoup de pétrole (transports et machines) et de pomper les nappes phréatiques.

Et l’éthique dans tout cela ?

  • L’élevage intensif et le droit des animaux
    Dans un poulailler industriel, une poule aux normes européennes a droit à 45 cm2 (la moitié de votre écran  !) et elle ne verra probablement jamais le jour.
    Le limage de bec est fréquent afin d’éviter le cannibalisme, évidemment lié à la promiscuité.
  • Perte de biodiversité
    Les races animales, les variétés de fruits et légumes sont sélectionnés en vue de leur rendement. Sur les 500 variétés de concombres existantes, nous n’en consommons qu’une seule.
  • Penser local
    Un exemple, l’Algérie en vient à importer des oranges…

Menaces sur la santé

  • Des épizooties* aux épidémies
    Grippe aviaire, vache folle, fièvre aphteuse du mouton, la maladie d’amaigrissement du porc (un fléau dont on parle très peu): tout cela devrait nous amener à repenser l’élevage industriel.
    Concentrer les animaux favorise la transmission et donc les mutations des virus, prions et bactéries.
  • Où passent les pesticides ?
    Si tous les points mentionnés ne vous ont pas assez convaincus de la dangerosité de l’agriculture intensive, celle largement pratiquée chez nous, alors vous vous sentirez au moins concernés par les effets sur VOTRE SANTÉ.
    Les pesticides finissent dans nos assiettes, sous formes de traces, mais ce sont de véritables poisons que notre corps n’expulse pas.
    Ainsi l’ingestion de produits organochlorés favorise les tumeurs, les cancers du sein et des testicules mais aussi la maladie de Parkinson. Les agriculteurs sont 5 fois plus touchés…

http://www.veganoutreach.org/whyvegan/images/feedlot2.jpg

* Epizootie : Maladie qui frappe simultanément un grand nombre d’animaux de même  ou d’espèces différentes.

L’agriculture raisonnée :

A en croire ses adeptes, l’agriculture raisonnée est tout d’abord l’attitude de l’agriculteur qui prend en compte dans ses choix techniques, les règles de la nature, c’est-à-dire qu’il s’adapte au fonctionnement de son écosystème local et des mécanismes de régulation biologiques. Pour ses détracteurs, l’agriculture raisonnée est une supercherie qui introduit la confusion dans l’esprit du public.

agriculture_raisonnee

http://www.marne.chambagri.fr/index/action/page/id/84/title/Certification_environnementale_-_HVE

L’agriculture raisonnée cherche à trouver un équilibre entre les objectifs de productivité de l’agriculture moderne conventionnelle et les contraintes d’une agriculture respectueuse de l’environnement. L’agriculture raisonnée tend par là à se rapprocher de l’agriculture biologique sans toutefois en adopter toutes les contraintes et donc sans pouvoir en revendiquer le sigle ou le nom.

D’une manière générale, les pratiques de l’agriculture raisonnée sont définies dans un cadre élaboré en concertation entre spécialistes de l’agriculture, de l’agro-alimentaire, de l’environnement, de la distribution, et représentants des consommateurs. D’un point de vue règlementaire, la première référence à l’agriculture raisonnée figure dans la loi NRE de mai 2001. On est pourtant loi de la rigueur appliquée à la définition des produits BIO.

Une approche plus réaliste que le vrai BIO ?

L’agriculture raisonnée est donc un mélange de techniques modernes, voire de pointe, et de savoir-faire traditionnels « à l’ancienne ». Un agriculteur raisonné utilisera par exemple un peu d’engrais chimique à certaines périodes de l’année alors l’agriculteur biologique, lui, se l’interdit complètement. . Autre exemple, l’agriculture raisonnée n’exclut pas complètement les OGM.

Selon ses supporters, l’agriculture raisonnée a une meilleure réponse aux attentes et aux contraintes de la consommation moderne, avec ses exigences croissantes de qualité ET de volume. Ainsi, la production de produits Bio ne suffit pas en volume et face à l’expansion de la demande de 10% par an, il faut maintenant importer de plus en plus de produits biologiques de pays étrangers ; ceci étant peu bénéfique au bilan écologiques des produits.

De plus, les contraintes drastiques imposées par la charte du BIO rendent son respect quasi impossible dans certains contextes. Ainsi, l’année 2007 a vu plusieurs agriculteurs bio se résoudrent à faire face à l’épidémie massive de mildiou en utilisant des produits chimiques. Ils ont ainsi perdu leur label BIO. De facto, on peut les compter comme des agriculteurs raisonnés et ce, quelle que soit leur attitude, car même s’ils respectaient le cahier des charges BIO, il faudrait trois années avant de retrouver leur label.

L’agriculture raisonnée, une étape raisonnable vers le BIO ?

La conclusion naturelle de certains est que l’agriculture raisonnée est pour des agriculteurs, longtemps habitués aux méthodes productivistes peu soucieuses de la préservation de la nature, un mode de production auquel ils peuvent se référer sans tout bouleverser. Pour certains, passer par l’agriculture raisonnée permet, quelques années plus tard, d’envisager une évolution vers l’agriculture bio, alors plus aisée. Notons d’ailleurs que certains agriculteurs BIO entretiennent parallèlement des cultures « raisonnées ».

Force est de constater pourtant que le sujet est très polémique et que certains puristes contestent fortement la pertinence de l’agriculture raisonnée, qui à certains égards, est considérée comme aussi négative que l’agriculture intensive classique.

Le réseau Farre (Forum de l’Agriculture Raisonnée Respectueuse de l’Environnement), fait la promotion de l’agriculture raisonnée en France avec environ 1000 membres et 400 fermes de démonstration.

L’agriculture biologique :

Concrètement, l’agriculture biologique proscrit l’utilisation de tout produit phytosanitaire, additif chimique ou de pesticides et utilise des engrais ou répulsifs naturels.

En partant du simple principe que la nature est bien faite, qu’à côté du poison l’antipoison est disponible , il s’agit de s’en tenir à des approches de culture et d’élevage simples, ancestrales, qui combinent le recyclage immédiat ou différé des dechets, l’utilisation de traitements naturels contre les nuisibles et maladies, la sélection des plants, la récupération des graines et le respect des cycles naturels, la gestion des ressources en eau et le choix de matériaux naturels ou recyclables.

Il n’est pas question de parvenir au produit parfait, mais obtenir un produit authentique, une tomate au bon goût de tomate, une viande savoureuse qui ne perd pas la moitié de son volume lors de la cuisson, du chocolat au beurre de cacao, etc…

L’agriculture biologique préserve la biodiversité en proposant des dizaines de variétés de courges ou de fromages sur les étals et en préservant les environnements dans lesquels sont dirigées les exploitations.

Elle induit le respect du consommateur, à qui l’on fournit un aliment de qualité, et du producteur qui, par les ventes directes notamment, maintient un prix de vente équitable qui lui permet de vivre décemment d’un métier qu’il pratique consciencieusement.

Elle offre à chacun un monde de saveurs et aux enfants un avenir pour le monde.

La France est à la traîne en Europe avec seulement 2% de ses surfaces agricoles cultivées en agriculture biologique; contre 5 à 9% en Allemagne, Italie et pays scandinaves.

Au mieux, selon l’aveu même du ministre de l’agriculture Michel Barnier, avec un doublement des surfaces, l’agriculture bio représentera 4% des surfaces en 2012, soit 4% des terres. Cette croissance n’est donc pas forte bien que la demande française en produits bio augmente de 10% par an depuis 1999.

Pourquoi ?

Parce-que l’agriculture intensive paraît très difficile à remplacer. Ainsi, le délégué général de la FNSEA déclarait le 2 octobre 2007 que « pour changer, il faut convaincre que le bio est l’avenir ». Ce n’est pas compatible avec le rendement exigé par les cultures pour l’export ou les biocarburants ».

Agriculture raisonnée Agriculture durable Agriculture biologique
N’utiliser que des produits bénéficiant d’une autorisation de mise sur le marché et autorisés pour les usages considérés, en respectant la dose homologuée OGM, antibiotiques, hormones interdits dans l’alimentation animale Pesticides chimiques (insecticides, fongicides, désherbants etc.) interdits
Connaître les précautions d’usage obligatoire (période d’application, délais avant récolte, dose maximale autorisée) afin de réduire les risques de dépassement des limites maximales de résidus et de pollution Fertilisation azotée minérale, moins de 50U/ha sur prairies et 100U/ha sur céréales Pas d’engrais chimiques. La fertilisation azotée est exclusivement organique, de préférence à base de compost
Connaître le cas échéant les restrictions d’usage des produits définies localement Pesticides: un seul fongicide sur céréales au maximum aux 2/3 de la dose homologuée, insecticides et régulateurs de croissance interdits Pas d’OGM, pas de régulateurs de croissance
Être abonné à un service de conseil technique indépendant de la commercialisation des produits (par exemple les bulletins d’avertissement agricole de la protection des Végétaux) ou à un service de conseil technique de distributeur agréé pour la distribution de produits phytosanitaires Rotation minimale de trois ans, sols nus interdits en hiver Pas de traitements antibiotiques systématiques. La plupart des additifs alimentaires sont interdit

Bref, pour nourrir le monde sans trop faire de dégâts de la faune et de la flore, il faut s’adapter à la nature, donc il faut utiliser l’agriculture « raisonnée ».

sources :

http://www.consoglobe.com/ac-actus-developpement-durable_2290_agriculture-raisonnee-adaptee-bio.html

http://www.consoglobe.com/ac-alimentation-bio_2509_agriculture-biologique.html

Ce travail à été créé par : DESTERNES Nicolas et PINET Sébastien

La maison productrice d’énergie

La maison productrice d’énergie

Parmi les maison productrice d’énergie il y a : les habitats producteurs d’énergie, les maisons à énergie positive.

Un bâtiment à énergie positive est un bâtiment qui, sur une période donnée, produit plus d’énergie (électricité, chaleur) qu’il n’en consomme pour son fonctionnement. La période considérée est d’un an.
C’est généralement un bâtiment passif (bâtiment consommant très peut d’énergie) très performant et fortement équipé en moyens de production d’énergie par rapport à ses besoins en énergie. Les toits, murs, voire les fenêtres peuvent être mis à profit pour accumuler et restituer de la chaleur ou produire de l’électricité.

http://www.mes-news.net/wp-content/uploads/2009/12/maisonecolo1.jpg

Les habitats producteurs d’énergie sont des habitions qui produisent de l’énergie. Ils peuvent en produire de différentes manières :

- les panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité, ces panneau sont constitué de cellules photovoltaïques qui convertissent l’énergie du rayonnement solaire en électricité.

- les éoliennes personnel en produisent aussi grâce à la force du vent qui fait tourner un rotor qui entraîne un alternateur.

- les chauffes-eau solaires produisent eux de l’eau chaude grâce à la chaleur émise par le soleil.

- la géothermie permet de chauffer une maison grâce à la chaleur naturel du sous-sol.

- le chauffage au bois peut aussi servir pour se chauffer.

- les pompes à chaleur récupère l’énergie dans l’aire ambiant et le restitue à l’intérieure du bâtiment.

Voilà des façons de produire de lénergie tout en respectant l’environnement.

Sources : Envoyé Spécial (France 2)

http://www.guider.be/upload/userfiles/image/panneaux%20solaire%20shutterstock_5365030.jpg

http://www.paysdecorlay.com/cc/images/image/ht_corlay_eolienne2.JPG

http://www.terreensante.com/blog/wp-content/uploads/2009/03/chauffage-au-bois-securitaire.jpg

http://www.energieinfo.lu/showimage.php?idimagelibrary=41&type=image

BIOCARBURANTS : DES AVANTAGES AUX LIMITES

Les réserves de carburants sont en baisse constante et si on utilise pas de biocarburants les réserves vont disparaître


 

Qu’est ce que le biocarburant?

Un biocarburant ou agrocarburant est un carburant produit à partir de matériaux organiques non fossiles, provenant de la biomasse. Il existe actuellement deux filières principales :

D’autres formes moins développées voire simplement au stade de la recherche existent aussi : carburant gazeux (biogaz carburant, dihydrogène), carburant solide.

chickennews.wordpress.com

 

Les biocarburants des deux générations

Les avantages des carburants de première génération ont vite été contredits. En effet, il semblerait que leur forte teneur en oxygène favorise la formation d’oxydes d’azote et d’aldéhydes, ils produisent aussi un pollution dangereuse. De plus, pour arriver à réduire la consommation de pétrole, les hectares qu’ils faudraient mobilisés atteignent des chiffres énormes et irréalisable sauf si un jour le monde fait le choix de ne plus manger pour faire rouler quelques voitures!!! N’oublions pas que la concurrence avec l’alimentation du monde est aussi un des graves inconvénients. Des milliers de personnes meurent de faim par jour alors qu’on utilise des matières premières nourricières pour faire rouler nos voitures. Bref le miracle des biocarburants de première génération a vite était déchanté et ceux de seconde génération ont fait leur entrée.

tpe.jpg< ce tableau exprime les résultats du rendement énergétique de différents carburants.Ces résultats parlent d’eux même; le bioéthanol est là encore beaucoup plus intéressant pour son rendement énergétique qui est le double de celui de l’essence. En plus si l’énergie dépensée pour produire les biocarburants est elle-même d’origine renouvelable, ce rendement est porté à 3 pour le bioéthanol.

L’équilibre en terme de gaz à effet de serre est meilleur. L’éthanol cellulosique pourrait produire 75 % de CO2 de moins que le pétrole conventionnel, tandis que l’éthanol à base de blé, de maïs ou de betterave ne réduit les taux de CO2 que de 60 %.

Ils sont capables d’utiliser une plus grande quantité de matière première de biomasse puisqu’ils utilisent la plante entière et n’interfèrent pas avec la production alimentaire ;

Ils pourraient être produits à des prix concurrentiels, en particulier si l’on utilise la biomasse à faible coût. En effet les matières premières lignocellulosiques sont moins onéreuses que les matières premières classiques et leur culture requiert moins d’énergie et d’engrais(pour les cultures dédiées).De plus ce sont des carburants de meilleure qualité que les biocarburants de première génération

 

 

Pour ce qui est des inconvénients…

Les inconvénients de ces biocarburants sont très peu connus puisqu’ils sont eux même très peu développés. Mais il est bon d’en savoir quelques un !

  • Leur principal inconvénient est leurs coûts très importants de lancement bien que leurs coûts de production eux restent très intéressants.
    Une usine de première génération de carburant demande environ 50 millions d’euros d’investissement pour devenir opérationnelle. La production de biocarburant de seconde génération implique un capital de départ 10 fois plus important que celui des usines de première génération et il faut environ cinq ans pour que les usines de deuxième génération puisse atteindre une production maximale.C’est donc un problème de financement important d’autant plus que ces biocarburants ne sont pas encore sur le marché.
  • Des recherches sont encore nécessaires pour leur mise au point et il se pourrait qu’elles soient longues.Il y a encore beaucoup de “verrous” technologiques qui empêchent un déploiement à l’échelle industrielle.

L’équilibre en terme de gaz à effet de serre est meilleur. L’éthanol cellulosique pourrait produire 75 % de CO2 de moins que le pétrole conventionnel, tandis que l’éthanol à base de blé, de maïs ou de betterave ne réduit les taux de CO2 que de 60 %.

Ils sont capables d’utiliser une plus grande quantité de matière première de biomasse puisqu’ils utilisent la plante entière et n’interfèrent pas avec la production alimentaire ;

Ils pourraient être produits à des prix concurrentiels, en particulier si l’on utilise la biomasse à faible coût. En effet les matières premières lignocellulosiques sont moins onéreuses que les matières premières classiques et leur culture requiert moins d’énergie et d’engrais (pour les cultures dédiées). De plus ce sont des carburants de meilleure qualité que les biocarburants de première génération.

L’utilisation des biocarburants est la solution de demain cepandant, il y a des limites existantes.

http://tpebiocarburant2008.unblog.fr/avantages-et-inconvenients/

http://www.cdupropre.com/affiche-liste.php?annonce=9&cat=

réalisé par charles et simon

COMMENT PUIS-JE CONTRIBUER A PRESERVER UNE RESOURCE EN EAU POTABLE POUR LES GENERATIONS FUTURES ?


Introduction :
On a coutume de qualifier la Terre de « planète bleue », car l’eau recouvre les trois quarts de sa surface. Mais la majorité de l’eau présente sur Terre est salée et l’eau douce n’est pas bien répartie entre les différents pays ou régions du globe. Et, à mesure que la population mondiale augmente, les besoins en eau de l’humanité ne cessent de croître.


I Les ressources en eau dans le monde.

1) 1 400 millions de km3… mais beaucoup moins d’eau douce.

 


Si la Terre est bien la planète de l’eau, c’est avant tout la planète de l’eau salée, cette dernière représentant 97,2 % du volume. Il ne reste donc plus que 2,8 % pour l’ensemble des eaux douces des terres émergées : glaces, eaux souterraines, cours d’eau, lacs. 70 % de ces eaux douces sont concentrées dans les glaces des pôles et la majeure partie du reste se trouve dans les sols, sous forme d’humidité, ou dans des nappes souterraines très profondes, inexploitables pour l’homme.Au final, l’homme ne peut utiliser que moins d’1 % du volume total d’eau douce présent sur Terre. Ceci englobe les cours d’eau, les réservoirs naturels ou artificiels (lacs, barrages…) et les nappes souterraines dont la profondeur n’est pas trop importante pour qu’elles soient exploitables à des coûts abordables.

 


On évalue à 40 000-45 000 km3/an, la ressource mondiale en eau continentale. Mais, du fait de la forte croissance démographique couplée à l’industrialisation, l’urbanisation et l’intensification agricole, la ressource en eau renouvelable et disponible n’était plus que de 7 500 m3/personne/an en 1995. Elle devrait chuter à moins de 5 100 m3/personne/an en 2025.


2) Des besoins en hausse constante

 



A l’échelle de la planète, les prélèvements d’eau ont été multipliés par plus de 7 entre 1900 et 1995, soit un rythme de croissance plus de deux fois supérieur à celui de la population mondiale. En rapportant l’ensemble des besoins actuels en eau de l’humanité à la population totale, on estime à 500 m3 les besoins annuels moyens en eau, par habitant, tous usages confondus.La population mondiale a plus que triplé depuis le début du siècle, pour atteindre aujourd’hui près de 6 milliards d’individus. Au rythme actuel, elle devrait dépasser les 8 milliards en 2025 et pourrait doubler d’ici la fin du XXIème siècle. Les répercussions sur les besoins en eau sont multiples : plus d’hommes signifie plus de personnes à abreuver, plus d’activités humaines consommant de l’eau et, surtout, plus de bouches à nourrir. L’agriculture est responsable du formidable développement des consommations d’eau au cours des dernières décennies.

 


Ce développement de l’irrigation, qui contribue à 40 % de la production alimentaire mondiale (pour seulement 18 % des terres cultivées) est directement lié à la croissance démographique. D’autant qu’elle concerne surtout les zones arides ou semi-arides où les ressources en eau sont, par définition, limitées et où la croissance démographique est particulièrement forte. Plus des deux tiers des terres irriguées se trouvent en Asie dans les zones à forte densité de population, où la forte croissance démographique a justifié une intensification de la riziculture.

Or, l’eau prélevée pour l’irrigation est en grande partie consommée (une partie humidifie les sols et est absorbée par les plantes… mais la plus grande part s’évapore) et ne peut donc servir à d’autres usages. De plus, trop de systèmes d’irrigation ont encore, dans le monde, des rendements beaucoup trop faibles (trop d’eau qui s’évapore sans même nourrir les sols ou les cultures).

D’autres facteurs influent sur les consommations d’eau, tels que l’urbanisation et le niveau de développement des pays. Ainsi, la consommation d’eau par jour et par habitant, hors besoins agricoles, s’élève à 300 litres aux Etats-Unis, 100 à 200 litres en Europe (137 en France), pour seulement quelques litres dans certains pays du Tiers-Monde (à peine le minimum pour survivre).


3) Des ressources inégalement réparties.
Dans un rapport publié en 1995, la Banque Mondiale estimait que 80 pays, représentant 40 % de la population mondiale, souffraient déjà de pénuries d’eau, nombre d’entre eux voyant d’ailleurs leur développement entravé par ce problème. L’eau constitue, de fait, l’une des ressources les plus mal réparties sur la planète.

 


Actuellement, 1,1 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’eau salubre. Un tiers de la population mondiale est privé d’eau potable.

Dans certains pays, moins de 40 % de la population a accès à l’eau potable. C’est le cas du Cambodge, du Tchad, de l’Ethiopie, de la Mauritanie, de l’Afghanistan et d’Oman.

Accès à l’eau potable en 2000
Afrique 62 %
Asie 81 %
Amérique latine et Caraïbes 85 %
Océanie 88 %
Europe 96 %
Amérique du Nord 100 %
GLOBAL 82 %


Au cours du siècle dernier, les prélèvements d’eau douce dans le monde ont augmenté deux fois plus vite que la population mondiale, qui a elle-même plus que triplé. Aujourd’hui, 20 % des êtres humains n’ont ni accès, ni les moyens de se fournir en eau potable, en raison de la pollution et de la contamination des eaux. Ainsi, 8 millions de personnes meurent chaque année d’une maladie liée à l’eau, soit 15 personnes par minute.  » L’absence d’eau tue dix fois plus que les guerres « , déclarait le président du Conseil mondial de l’eau (organisme lié à l’ONU), avant la tenue du quatrième Forum mondial de l’eau à Mexico. Alors que la population mondiale doit apprendre à mieux gérer et partager l’eau, cette ressource vitale est devenue un réel enjeu économique et politique.

Actuellement la quantité moyenne d’eau douce disponible par habitant et par an diminue si parallèlement la tendance actuelle à l’augmentation des prélèvements en eau se poursuit, entre la moitié et les deux tiers de l’humanité devraient être en situation dite de stress hydrique (On parle de stress hydrique quand la demande en eau dépasse les ressources disponibles.) à l’échéance 2025, seuil d’alerte retenu par l’Organisation des nations unies (ONU).

eau

Conclusion :

Le risque d’une pénurie d’eau douce existe donc bel et bien.

http://www.escartonduqueyras.com/Download/CONTENU_RESS_EAU.pdf

http://serveurdata.com/sg2/SES/telechargement/carte-usines-eauxdesources.pdf?PHPSESSID=186398da44a1fc8a9563b689defddd3d

DUBREU BENJAMIN – COQUELET LOUIS – DUTRAIT MATHIEU – 3°6