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Articles produits par les élèves de 3e4 pendant l’année scolaire 2008-2009.

LA MALBOUFFE

 I / Qu’est ce que la malbouffe ?

Le terme a été créé par Stella et Joël de Rosnay dans leur ouvrage La Malbouffe. Il s’agit alors de nommer un type d’alimentation qui ne répond pas aux besoins physiologiques car trop gras, trop sucré ou pauvre en nutriments. Cette définition est toujours d’actualité mais le sens du mot a été étendu à une critique plus globale dénonçant aussi le modèle productiviste et la société de consommation. Elle peut favoriser l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, etc.

La consommation de la malbouffe peut entraîner une malnutrition et l’obésité.

La malbouffe est souvent symbolisée en France par la chaîne internationale de restauration rapide (en anglais fast food) McDonald’s, mais cette critique s’étend à l’industrie agro-alimentaire depuis l’agriculture jusqu’aux transformateurs et aux distributeurs. Mais chaque pays semble avoir son symbole propre. Les États-Unis ont ainsi plutôt érigé le gâteau industriel « Twinkie » en symbole de la malbouffe.

II / Conséquence de la malbouffe .

Un ado sur 10 souffre ainsi à l’heure actuelle d’obésité. Pas étonnant avec des régimes à base d’huile, overdosés en sel et en sucre mais qui boudent les protéines (on fait pas mal la tête aux poissons entre autres). Un déséquilibre alimentaire qui nous rend également plus fatigués. Colas, limonades et eaux gazeuses tambourinent non seulement à plein gaz nos estomac mais peuvent également entraîner des risques de fractures. Les boissons pétillantes, riches en acide phosphorique, réduisent en effet la masse osseuse, particulièrement chez les jeunes qui ne pratiquent pas ou peu d’activités sportives.

1- L’obésité :

Un excès de nourriture. Il est vrai que les personnes obèses mangent trop.

Les graisses (et autres lipides), tout comme les sucres (glucides), servent à stocker l’énergie dans le corps. Les sucres fournissent une énergie rapidement utilisable, les graisses permettent de stocker beaucoup d’énergie dans peu d’espace.

La graisse est stockée dans des cellules appelées lipocytes ou adipocytes. En cas de stock important, on distingue deux situations :

le surpoids : les adipocytes stockent de plus en plus de graisse et grossissent ;

l’obésité : lorsque les adipocytes arrivent à saturation, ils se multiplient.

Les évaluations courantes de l’obésité font intervenir la masse (que l’on appelle souvent le « poids ») et la taille.

 

2- Le diabéte

Le diabète peut résulter en conséquences lourdes pour la santé. Le diabète est un facteur de risque important de maladies cardio-vasculaires, infarctus, insuffisance cardiaque, artérite, accident vasculaire cérébral ou encore de troubles micro-antipathiques pouvant conduire à la cécité , à une insuffisance rénale chronique .

Le diabète est une maladie aggravant l’invalidité, provocant la diminution de l’espérance de vie, et engendrant de forts coûts médicaux.

500 000 à 800 000 Français vivraient sans savoir encore qu’ils sont diabétiques

3- Un taux élevé de cholestérol

Le cholestérol est présent sous forme de stérides dans la plupart des tissus des vertébrés, et en particulier le foie, le cerveau, et la moelle épinière. C’est un composant majeur des membranes cellulaires qui contribue à leur stabilité et au maintien de leurs structures.

Mais il se forme alors, petit à petit, de véritables plaques de graisse, si on a absorbé trop de cholestérol.

III / Comment éviter de tomber dans la malbouffe.

1- Matières grasse

Les matières grasses sont indispensables à notre organisme : elles devraient représenter 30 à 35% de nos apports caloriques quotidiens… mais ne doivent pas non plus être consommées en excès. Une alimentation trop riche en graisses augmente le risque de prise de poids, ou celui de développer une maladie cardio-vasculaire… Évitez de surcharger les aliments de sauce, crème, beurre ou de mayonnaise : vous profiterez davantage de leur vraie saveur ! Consommez avec modération les produits riches en graisses « cachées » : pâtisseries, viennoiseries, biscuits apéritifs, certains plats tout prêts en sauce…

 

 

2-les fruits et légumes

Ils nous apportent des éléments dont notre corps a besoin. Ils sont riches en vitamines, en minéraux et en fibres, peu caloriques, et leur effet favorable sur la santé a été démontré. Ils ont un rôle protecteur dans la prévention de maladies à l’âge adulte, comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’obésité, le diabète… Ils nous aident également à éviter la prise de poids. Enfin et surtout, ils offrent une incroyable variété de saveurs, tout ce qu’il faut pour conjuguer santé et plaisir.

 

 

3-le sucre

Il est surtout très caloriques. Consommé régulièrement en grande quantité, il peut contribuer au développement d’une obésité et d’autres maladies à l’âge adulte. Mais, consommés de temps en temps et en quantité raisonnable, les produits sucrés sont compatibles avec un bon état nutritionnel.

Comment limiter leur consommation : Méfiez-vous des boissons sucrées ! La plupart sont le plus souvent très riches en sucre. Dosez bien le sucre que vous ajoutez dans vos boissons : café, thé, etc. Quand on verse à l’aveuglette, on en met davantage. Pour les enfants et les ados, essayez de ne pas surcharger vos placards en produits sucrés, ça évite qu’ils ne se jettent dessus quand vous ne pouvez pas contrôler ce qu’ils mangent.Le light est effectivement une solution qui permet de consommer moins de sucre. Par contre, le sucre y est remplacé par un édulcorant qui entretient dans votre corps l’envie de manger sucré.

    4-le sel

Apprenez à limiter votre consommation de sel ! Même si l’on ne sale pas, on mange souvent trop salé. Nous ajoutons du sel sur nos plats et dans nos préparations… Nous en consommons aussi et surtout sans nous en rendre compte, car de nombreux produits transformés par l’industrie agro-alimentaire en contiennent déjà (80% du sel que nous consommons)…et parfois beaucoup.     Pourquoi limiter sa consommation ? Parce qu’une consommation de sel excessive favorise l’hypertension, elle-même à l’origine de maladies cardio-vasculaires. Prenez le réflexe de regarder les étiquettes des produits (plats cuisinés, eaux minérales, etc) Limitez votre consommation d’aliments riches en sel : charcuteries, fromages, biscuits apéritifs, snacks, plats préparés… Gardez-les pour les occasions exceptionnelles ! Les eaux peuvent être riches en sel (sodium) elles aussi : préférez celles dont la teneur en sodium ne dépasse pas 150 mg par litre. Éviter de trop saler l’eau de cuisson. Ca évite les doses trop fortes de sel, qui risquent en plus de gâcher le plat que vous préparez. Essayer de remplacer le sel par des épices (une pointe de curry ou de paprika), des herbes fraîches ou déshydratées (persil, basilic, coriandre), des aromates… Une consommation de sel excessive favorise l’hypertension, elle-même à l’origine de maladies cardio-vasculaires.       IV / Un petit plus alimentaire   Féculents : à chaque repas Viande, poissons, oeufs : 1 à 2 fois par jour Fruits et légumes : au moins 5 par jour Matières grasses : à limiter Produits sucrés : à consommer avec modération Sel : à limiter Activité physique : 30 mn par jour Eau : à volonté

     

Sources:

http://fr.wikipedia.org/

http://sante.ados.fr/

http://www.mangerbouger.fr/

 

 

Morgane L.

Camille A.

Il est important de connaître son groupe sanguin !

 

 
I ) Quels sont les différents groupes sanguins ?
        Nous avons tous chacun deux gènes, hérités de nos parents, qui définissent notre groupe sanguin. Il y a le gène A, B ou O. Le gène O est récessif, tandis que les gènes A et B sont dominants. C’est à dire, si quelqu’un hérite d’un gène A (A, B ou AB) et d’un gène O, le groupe sanguin de cette personne sera A (ou B). Par contre, si quelqu’un hérite de deux gènes O (A ou B), son groupe sanguin sera O (A ou B). Il faut lui ajouter aussi le système Rhésus. On n’est Rh+ quand il y a la présence de cet antigène et Rh- si on ne le posssède pas.

  

Compatibilité entre les groupes sanguins.
Compatibilité entre les groupes sanguins.

 

 

II) Comment et quand peut-on savoir son groupe sanguin ?     En cas d’hémorragie, il n’est jamais injecté du sang en urgence au bord de la route. Si une transfusion de sang est nécessaire, elle se fera plus tard, après le contrôle du groupage complet du patient. En cas d’accident, lors d’une intervention chirurgicale ou lors d’un accouchement, il est plus que nécessaire que chacun sache son groupe sanguin.    Il y a quand même plusieurs façons de connaitre son groupe sanguin : 1. On peut s’informer auprès du médecin de famille ou d’une personne autorisée à consulter votre dossier médical. 2. On peut participer à une collecte de sang. 3. On peut le connaître en clinique privée avec une prescription de votre médecin. 4. On peut aussi demander à consulter notre dossier médical à l’hôpital.

 

Tubes contenant du sang.
Tubes contenant du sang.

 

  III) Dans quelle circonstances donne-t- ton son sang?

don du sang

  Pour donner son sang il suffit de participer à une collecte ou de se rendre dans un centre spécialisé ou encore à l’hopital mais pour celà il faut être âgé d’au moins 18 ans et de peser au moins 50 kg .Les médecins n’ont que 3 à 5 minutes d’entretien pour catégoriser les personnes entre populations à risque, qui sont automatiquement exclues afin de limiter au maximum tout risque de transmition de maladies, et populations pouvant donner leur sang. Ensuite une fois que toutes ces conditions sont réunies, le don peut commencer mais la loi interdit de prélever plus de 8 ml par kilogramme.

Don sanguin.
Don sanguins

Garance V., Alicia L., et Cynthia L.

La maison à énergie positive !

 La maison à énergie positive !

 

 

 

 Avant de pouvoir produire plus que l’on consomme, il faut passer l’étape de la maison « basse consommation ».

 

 

 

 

Pannaux solaires

 

On distingue deux types de panneaux solaires :

 

  • les panneaux solaires thermiques, appelés capteurs solaires thermiques, qui convertissent la lumière en chaleur récupérée et utilisée sous forme d’eau chaude ;
  • les panneaux solaires photovoltaïques, appelés modules photovoltaïques, qui convertissent la lumière en électricité. Le solaire photovoltaïque est communément appelé PV.

Dans les deux cas, les panneaux sont habituellement plats, d’une surface approchant plus ou moins le m² pour faciliter et optimiser la     pose. Les panneaux solaires sont les composants de base de la plupart des équipements de production d’énergie solaire.

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  • Les panneaux solaires thermiques sont actuellement plus rentables économiquement que les modules photovoltaïques grâce à un rendement élevé avoisinant les 80 % (voir capteur solaire thermique), cependant, l’énergie récupérée est pour l’instant utilisée essentiellement pour le chauffage de l’eau chaude sanitaire.

 

  • L’intérêt d’utiliser des panneaux solaires photovoltaïques apparaît vite lorsqu’on sait qu’une surface carrée de 344 km de côté (120 000 km²) pourrait couvrir la totalité des besoins mondiaux en électricité : le rendement d’une installation photovoltaïque étant estimé entre 15-17 % (en 2007 en Europe) soit 160 kWh/an/m² (ou 160 GWh/an/km²[2]) avec des besoins mondiaux estimés à 19 000 TWh (chiffre 2006; 16 000 TWh en 2004[3]). Dans le cas de l’Europe des 27 (3 000 TWh), une surface de 137 km de côté (19 000 km²) suffirait, tandis que dans le cas de la France (500 TWh), il faudrait qu’elle ait 56 km de côté (3 100 km²).

 

D’une manière générale, on considère que la totalité de la surface des toitures existantes correctement exposées et couvertes de panneaux pourrait suffire à satisfaire la totalité des besoins mondiaux en électricité. Pour estimer le potentiel de l’énergie solaire, il faut savoir que l’énergie émise par le soleil et reçue par la terre en environ une heure devrait permettre, si elle était récupérée en totalité, de pourvoir aux besoins énergétiques de l’humanité pendant un an.

 Geothermie

 

 

geothermie_04

 

  La géothermie, du grec Géo (la terre) et thermie (la chaleur), est la science qui étudie les phénomènes thermiques internes du globe terrestre et la technique qui vise à l’exploiter. Par extension, la géothermie désigne aussi l’énergie géothermique issue de l’énergie de la Terre qui est convertie en chaleur. On distingue trois types de géothermie :
  • la géothermie peu profonde à basse température ;
  • la géothermie profonde à haute température ;
  • la géothermie très profonde à très haute température.
 

Ces trois types de géothermie prélèvent la chaleur contenue dans le sol.La géothermie très basse énergie est une géothermie au niveau des températures comprises entre 10 °C et 30 °C. Dans ce cas, la chaleur provient non par des profondeurs de la croûte terrestre, mais du soleil et du ruissellement de l’eau de pluie, le sol du terrain jouant un rôle de source chaude du fait de son inertie et de sa mauvaise conductivité thermique.

 

 

l’isolation

 

 clé de l’habitat écologique: l’isolation

L’isolation est le véritable point clé du confort de toute habitation, et son enjeu est particulièrement important dans une maison écologique. Avoir chaud l’hiver, vivre dans un environnement sain et bien ventilé, être au frais l’été : les enjeux de l’isolation thermique sont importants d’un point de vue écologique mais aussi économique quand on sait qu’il est possible de vivre quasiment sans chauffage et sans climatisation dans une maison bien isolée.

La ouate de cellulose : un des meilleurs isolants

136479519.jpgLa ouate de cellulose est fabriquée avec des journaux et papiers recyclés et on la traite contre les moisissures et les champignons avec des sels de bore. Ainsi traitée, la ouate de cellulose devient ignifuge et résistant aux insectes ce qui accroit encore plus ses nombreuses qualités. Caractéristiques de la ouate de cellulose Actuellement, c’est un des meilleurs isolants pour la maison. En premier lieu, on citera ses très bonnes performances thermiques: le coefficient de conductivité thermique de la ouate présente des performances allant de 0,035 à 0,043 W/MK et on considère qu’un isolant est très bon en dessous de 0,05 W/MK. La ouate de cellulose est un matériau très efficace en hiver et contrairement à la laine de verre, il protège en plus très bien la maison contre la chaleur de l’été. A ces nombreuses qualités s’ajoute le fait qu’il s’agit d’un matériau naturel, écologique et qui ne revient pas plus cher que le lin et le chanvre, il est en outre moins cher que la laine de coton. La ouate de cellulose de part ses caractéristiques et son traitement au sel de bore est un matériau imputrescible et qui résiste très bien au feu. Avec le lin et le chanvre, c’est un des matériaux les plus appréciés pour l’isolation de l’habitat écologique.   Article réalisé par Aurélien, Arnaud, et Luuk.

Pollution et activités humaines

Comment puis-je contribuer à préserver une ressource en eau potable pour les générations futures ?

 

Sommaire:

I-Pourquoi préserver les ressources en eau potable?

1) Quelles sont ces ressources ?

2) Pourquoi les préserver ?

 

 

II- Quels sont les pollutions de l’eau et leur effets sur

notre corps ?

1) Quels sont les pollutions de l’eau ? 2) Quels sont leurs effets sur notre corps ?

 

 

III- Quelles sont les solutions pour éviter une telle

pollution ? Comment agir contre elles au quotidien ?

1) Les gestes au quotidien pour ne pas propager une telle

pollution.

2) Coment lutter contre une vaste pollution aquatique (marée noire)

3) Pourquoi lutter contre les marées noires ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I pourquoi préserver les ressources en eau potable ?

 

1)quelles sont ces ressources ?

  http://resosol.org/developpement/eau/desertification/acces-eau-potable-monde.jpg

 

2)pourquoi les préserver ?

il faut préserver les sources d’eau potable, car les humains et animaux en ont besoin pour vivre. Car de multiples problèmes peuvent survenir sans elle (si l’eau est polluée des maladie peuvent se déclarer). Des problèmes tels que l’épuisement des nappes phréatiques, assèchement des lacs et des rivières, pollution grandissante, désertification croissante tous amènent aux guerres, maladies, exode rural, surpopulation urbaine.

 

http://www.ltma.lu/trew/scheerware/downloads/analyses/devoirscorrige/ATDCethiqueeau.pdf

 

II-Quels sont les pollutions de l’eau et leur

effets sur notre corps ?

 

1- les pollutions de l’eau :

 

La pollution de l’eau est une aggravation qui rend son utilisation dangereuse et (ou) perturbe l’écosystème aquatique. Elle peut concerner les eaux superficielles (rivières, plans d’eau) et/ou les eaux souterraines. Elle se manifeste principalement, dans les eaux de surface par une pollution chimique ou par des virus et des bactéries.

 

- La pollution chimique :

Elle peut être temporaire, accidentelle ou diffuse. Elle a des origines diverses dues à :

- l’insuffisance de certaines stations d’épuration

- l’absence de réseaux d’assainissement dans certaines zones

- le lessivage des sols, mais aussi des chaussées et des toits par les pluies.

- Les pollutions par négligence :

Les décharges sauvages (huile de vidange, batteries…) et tout ce que l’on jette dans la nature sans vraiment y prêter attention, représentent une source de pollution sournoise qui fait parfois beaucoup de dégâts…

Et pourtant, la nature n’est pas une poubelle ou une déchetterie…

- Les pollutions accidentelles :

Les origines sont multiples :

- déversement de produits polluants lors d’accidents de la circulation

- dispersion dans la nature de gaz ou liquides toxiques par les usines

- panne dans le fonctionnement de stations d’épuration des eaux usées

- mauvais entreposage de produits chimiques solubles

- incendies…

 

- La pollution agricole :

- La concentration des élevages donne un excédent de déjections animales ; celles-ci s’évacuent dans les cours d’eau et les nappes souterraine.

- Les engrais chimiques (nitrates et phosphates) altèrent la qualité des nappes souterraines qu’ils atteignent par infiltration des eaux.

- Les herbicides, insecticides et autres produits phytosanitaires s’accumulent dans les sols et les nappes phréatiques.

2- Leur effets sur notre corps :

L’eau peut parfois contenir de fortes concentrations de plomb, une fois dans le sang chez les enfants peuvent avoir des conséquences parfois irréversibles, notamment des troubles d’apprentissage, des problèmes comportementaux et une arriération mentale. A très fortes concentrations, le plomb peut causer des convulsions, un coma et la mort.

- Les maladies hydriques :

Il s’agit en premier lieu des « maladies hydriques » qui sont provoquées par de l’eau contaminée par des déchets humains, animaux ou chimiques. Elles comprennent entre autres le choléra, la typhoïde, la polio, la méningite, l’hépatite A et E, et la diarrhée.

- les maladies aquatiques :

Elles sont transmises par des organismes aquatiques qui passe une partie de leur vie dans l’eau et une autre en tant que parasite. Ces maladies sont causées par toute une variété de vers.

L’eau de la nature est d’autant moins potable aujourd’hui qu’elle est de plus en plus polluée par des substances rejetées par les sociétés humaines. Or cette pollution est parfois telle que même la qualité de l’eau traitée s’en ressent. Il n’est pas rare qu’une affaire éclate au sujet d’eaux du robinet qui ne respectant pas les normes de sécurité sanitaire.

 

III Quelles sont les solutions pour lutter contre une

vaste pollution ? Comment

agir contre elles au quotidien ?

 

 

1°) Les gestes aux quotidien pour ne pas propager une telle pollution :

expoeau6p 

 

 

2°) Comment lutter contre une vaste pollution aquatique (marrée noire) ?

 

*)effet d’une marée noire sur l’environnement :

Marée noire : pollution aquatique fréquemment rencontrée en bord de mer liée aux naufrages des pétroliers.

http://www.mareenoire.info/enquetes/cancer.htm

Lors d’un naufrage de pétroliers, le pétrole se répend dans un vaste périmètre et se propage dans les océans jusqu’au bord des plages,

Si cet acte n’avait aucun impact sur la nature ce ne serait pas l’un des premier soucis des défenseurs de la faune et de la flore aquatique,

En effet, les dégâts du pétrole sur les animaux marins sont parfois irréversibles, Exemple avec les mouettes qui viennent s’abreuver et se nourrir grâce à la mer, En venant dans l’eau elles restent les ailes engluées par le pétrole et ne pouvant décoller ou se sauver finissent tout simplement par se noyer, En ce qui concerne les plantes c’est tout aussi grave, Elles ont un impact indirect, grâce à la fameuse chaîne alimentaire, sur les animaux prédateurs qui se nourrissent de poissons par exemple, les poissons se nourrissant eux même de plancton qui se nourrissent des plantes.

 

 

*) comment lutter contre une marée noire?

Il n’y a pas beaucoup de choses à faire si on se retrouve seul, Il faut pour cela mobiliser plus d’une quarantaine voir plus d’une centaine de personnes (en général bénévoles) pour pouvoir nettoyer les plages, En effet lors du naufrage de l’Erika plus de 100,000 T de déchets ont été répertoriés le 19 Janvier 2000, Le 14 Janvier il ne reste plus que 40,000 oiseaux encore vivant et les morts ne se comptabilisent plus,

Certaines personnes sont désignées pour lutter contre ce genre de menace…

(voir ici : http://www.youtube.com/watch?v=hhv5d_5TWns )

 

3°) Pourquoi lutter contre les marée noires?

 

Si l’on parle de pollution marine dans cet exposé destinée aux eau potable c’est parce que les deux sont liées par :

-le cycle de l’eau

-les machines de dessalage d’eau de mer.

Ce deuxième problème étant l’un des plus contraignant car en recyclant ainsi l’eau de mer on peut courir certains risques irréversibles pour notre santé. En effet ces machines ne traitent et ne retirent que le sel et certaines impuretés tout en laissant certains produits provenant du pétrole, néfastes pour notre organisme.

Ces machines étant couramment utilisées à bord de bateaux pêcheurs et maintenant dans les maison ou villa en bordure de mer.

Article réalisé par Thibault, Valentin, et Caroline.

Le sida : dépistage & traitement

nouveaux-enjeux-therapeutiquesLe dépistage :

 

Le dispositif de dépistage du VIH en France montre ses limites. Environ 36 000 personnes séropositives, selon les dernières estimations, n’auraient pas conscience d’être infectées par le VIH ou ne se font pas suivre médicalement. De nouvelles approches de dépistage sont donc envisagées, s’appuyant notamment sur la qualité des tests rapides.

Le test rapide, c’est quoi ?

 Face à ce constat, l’ANRS a lancé un programme de recherche innovant sur le dépistage. Parmi les études lancées en France, ANRS Com-Test, débutée mi-novembre est une expérience de dépistage rapide non médicalisée vers les homosexuels masculins très exposés au risque de contamination. Ces tests, réalisés à partir d’une simple goutte de sang prélevée à la pointe du doigt, permettent de savoir si la personne est contaminée ou non par le VIH en 30 minutes seulement ! Toute séropositivité découverte par le test rapide sera ensuite confirmée par un test classique, pratiqué par un personnel médical. Ce dépistage est réalisé par des acteurs associatifs, spécialement formés à cette pratique, dans les locaux de l’association Aides.

Le traitement :

Il y a dix ans, il n’y avait pas de traitement contre le VIH/sida. Un test positif de dépistage du VIH signifiait une mort certaine et imminente. Aujourd’hui, en revanche, les traitements à base d’antirétroviraux capables d’attaquer le virus à l’origine du sida peuvent transformer une condamnation à mort en une condition plus chronique, permettant aux patients de vivre plus longuement et en meilleure santé. Sur le plan technique, la thérapeutique antirétrovirale est réalisable partout dans le monde, le prix des médicaments ayant nettement baissé.

LE SIDA

    

- Qu’est-ce que le SIDA ?     VIH désigne le Virus de l’Immunodéficience Humaine. Lorsqu’il pénètre dans le corps, ce virus infecte et détruit certaines cellules qui coordinent l’immunité (défenses de l’organisme contre les microbes).     Lorsque ces cellules sont en nombre insuffisant, l’immunité n’est plus efficace. Des maladies graves dues à des microbes peuvent alors se développer. Lorsqu’une personne a une ou plusieurs maladies de ce type, on dit alors qu’elle a le sida (Syndrome d’Immuno Déficience Acquise).

 

     - Quelle est La différence entre l’infection par le VIH et le sida ?     Quand une personne est contaminée par le VIH, son organisme n’est pas capable de l’éliminer. Elle est alors infectée par le VIH. Mais elle ne va pas se sentir malade tout de suite. Le VIH met en général plusieurs années avant de détruire les défenses immunitaires. On ne parle de sida que lorsqu’une personne souffre d’une maladie opportuniste.     Donc, un malade du sida a forcément une infection par le VIH, alors que toutes les personnes infectées par le VIH n’ont pas développé le sida.        - Qu’est-ce qu’être séropositif ?     On sait qu’on est séropositif lorsqu’on a fait un test de dépistage. Ce test permet de rechercher des anticorps que l’organisme fabrique pour essayer de se protéger du VIH. Ils ne sont fabriqués qu’en présence du VIH . Donc, être séropositif veut dire qu’on est infecté par le VIH. Cela ne signifie pas forcément qu’on a déjà développé le sida. On peut être séropositif pendant des années tout en se sentant en très bonne santé. On ne peut pas voir si une personne est porteuses du VIH. Et si on a pris un risque, il n’y a qu’en faisant un test qu’on pourra savoir si on est porteur du virus. Nos sources : http://www.sida-info-service.org/informer/vih/vih.php4