Catégories des archives : 2011-2012

Articles produits par les élèves pendant l’année scolaire 2011-2012.

Conséquences de l’obésité sur la santé

 

Les conséquences de l’obésité:

 

1) Comment l’obésité s’installe dans le quotidien des humains ?

Elle s’installe à cause une mauvaise alimentation régulière. De plus les industries agro-alimentaires contribuent à cette mauvaise alimentation, et les gens ne pratiquent plus d’activités sportives régulières.

 

2) Pourcentage d’obésité dans différents pays

 

3) Conséquences de l’obésité sur la santé.

L’obésité provoque des maladies comme :

L’hypertension artérielle: En fait la pression du sang dans les artères est trop forte certains artères se perforent .

Le diabète de type 2: Le corps est toujours en manque de sucre, alors la personne en mange encore mais il est directement rejeté dans l’urine c’est un cercle vicieux. Et donc une augmentation de l’appétit. Tout ceci entraine une cécité. (Pour améliorer son état de vie la personne doit vivre aux rythme des perfusions d’insuline).

L’insuffisance veineuse: A cause du manque d’activités sportives et de la mauvaise qualités des tissus les obèses ont des varices, des ulcères et enfin des jambes lourdes.

Il a fallu attendre les années 2000 pour voir apparaître une définition internationale de l’obésité de l’enfant.

La prévention auprès des enfants est importante. Ils sont les plus sensibles aux sollicitations publicitaires pour les aliments, ils sont naturellement attirés par les goûts sucrés, et une bonne partie des enfants a été habituée très tôt à un déséquilibre de l’alimentation, y compris dans le ventre de leur mère, si elle avait une alimentation déséquilibrée. C’est d’autant plus difficile de contrarier ces mauvaises habitudes qu’elles sont plus anciennes, cela demande plus de temps et de patience, pour eux et pour leur entourage.

 

PAR :  Deroussen Tanguy et Bordet Willy.

L’obésité

+-I. Comment devient-on obèse ?

On peut devenir obèse par :

- hérédité : c’est à dire que ceux qui ont des parents obèse ont plus de risque de souffrir de surcharge pondérale que les autres.

- les troubles des comportements alimentaires : c’est à dire manger trop par rapport à ses dépenses énergétiques ou trop gras par rapport à ses capacités d’oxygénation des graisses.

- les facteurs psychologiques: c’est à dire être en dépression, angoissé, être anxieux peut entraîner une tendance à trop manger.

- l’arrêt du tabac

 

II. Peut on vraiment guérir de l’obésité ?

Dans la mesure où il est encore difficile de soigner les causes de l’obésité, le traitement de celle-ci reste malaisé et requiert une prise en charge et un suivi à long terme ainsi que la participation active du patient.

Il vise avant tout à prévenir les rechutes qui sont fréquentes.

L’objectif, complexe et variable, peut viser la réduction de poids ou sa stabilisation, l’amélioration des facteurs de risques et des maladies associées, l’amélioration de la qualité de vie du patient.

Plutôt qu’un amaigrissement spectaculaire, l’objectif doit être réaliste, même modéré, cet amaigrissement est très souvent bénéfique pour la santé.

Les procédures les plus souvent utilisées sont des régimes restrictifs équilibrés, appauvris en graisses et en sucres solubles.

En cas d’obésité sévère ou morbide, diverses techniques chirurgicales modifiant le tractus digestif (notamment l’estomac) et visant à limiter de façon permanente l’alimentation peuvent être pratiquées .

III. Quels sont les conséquences de l’obésité sur la santé ?

Le surpoids et l’obésité entraînent de graves conséquences pour la santé. Les risques augmentent progressivement avec l’IMC. Un indice de masse corporelle élevé est un important facteur de risque de maladies chroniques comme : les maladies cardiovasculaires, le diabète, les troubles dits musculo-squelettiques, en particulier l’arthrose, certains cancers (endomètre, sein et colon), lorsque l’obésité est sévère, on constate également des apnées du sommeil et des pathologies orthopédiques, les adolescentes présentent souvent des troubles endocriniens (puberté précoce, aménorrhées).

IV. Quels sont les différentes formes d’obésité ?

L’expansion du tissu adipeux peut être liée à une augmentation des cellules adipeuses soit en taille (obésité hypertrophique), soit en nombre (obésité hyperplasique), les obésités morbides sont à la fois hypertrophiques et hyperplasiques.

Une première forme de répartition, de type féminin, est dite gynoïde, elle n’entraîne guère de risques graves pour la santé. Les dépôts adipeux sont localisés de façon prépondérante à la partie inférieure du corps et aux aires sous cutanés (fesses, hanches, jambes).

Une deuxième forme dite androïde est typiquement masculine mais s’observe également chez bon nombres de femmes. Les dépôts adipeux sont principalement situés sur le tronc et l’abdomen.

Une troisième forme dite viscérale, est caractérisée par une augmentation de la graisse à l’intérieure de l’abdomen, autour des viscères. Elle est la plus critique en terme de risques métaboliques et cardiovasculaires. Plus fréquente chez les hommes, elle est malaisée à diagnostiquer, car elle peut exister même lorsque l’IMC est normal ou peu élevé.

Transfusion sanguines, greffes et transplantations.

Nous allons vous présentez comment se déroule les transplantations et les transfusions sanguines.

 

1.Comment peut-on se procurer un coeur ?

Pour se procurer un coeur il faut une greffe, puis il  faut voir si il est cohérent avec son sang. Puis enfin il faut attendre son tour sur une liste d’attente car ils sont nombreux à avoir besoin d’un organe..

On ce procure un coeur grâce à une personne qui est décédée, et qui à le même groupe sanguin (note du professeur : non les groupes sanguins ne sont pas en cause, il faut que les cellules soient compatibles c’est plus compliqué que les groupes sanguins et c’est surtout beaucoup plus difficile de trouver quelqu’un de compatible).

 

2.Quels sont les risques qu’il peut y avoir lors d’une transplantation ?

Il faut d’abord savoir que les risques des transplantations peuvent être liés soit au receveur, soit au donneur. Par exemple, les nourrissons et les personnes âgées sont des receveurs à haut risque. De même, les donneurs porteurs de cicatrice, d’infection sont également potentiellement à risque. Cependant, chaque étape de la greffe comporte des risques spécifiques : le processus amont mettant en oeuvre le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation du greffon est soumis à une réglementation stricte ; la greffe elle-même pose encore d’importants problèmes de transmission d’infections et des problèmes de rejets du greffon.

Le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation des greffons font l’objet de règles de Bonnes Pratiques dans le cadre réglementaire européen d’une démarche qualité. La possibilité de conservation prolongée des tissus dans des banques permet d’envisager des techniques de sécurisation après prélèvement : l’inactivation des tissus chaque fois que cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives).

Le rejet du greffon reste le risque majeur.

 

3. Quels sont les différents types de greffes ?

L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez le même individu, d’un rein de sa situation normale dans la région lombaire, vers un emplacement placé plus bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation « isogénique » ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation.
L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus).
La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme

 

4. Transfusion sanguine.

La transfusion sanguine aujourd’hui:

Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. La transfusion dite « sanguine » consiste de nos jours à administrer par voie intraveineuse des préparations de concentré de globules rouges (concentrés globulaires) obtenues à partir de sang de donneurs anonymes non rétribués. La gestion et la transformation des produits sanguins issus des dons sont assurées en France par l’Etablissement Français de sang.

Les risques de compatibilité:

Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Les globules rouges du donneur sont dits compatibles avec le sang du receveur si le receveur ne présente pas d’anticorps circulants dirigés contre un antigène érythrocytaire du donneur.

 

 

Article réalisé par Cassandre et Ophélie.

Les pillules contraceptives

La pilule contraceptive classique est :

la pilule que l’on prend quotidiennement afin d’éviter une grossesse. C’est un médicament faiblement dosé en hormones féminines. Malgré des contre-indications (ex : tabac…) chez certaines femmes, cette pilule n’a que très peu d’effets secondaires. On peut la nommer la pilule « classique ». Elle assure une contraception sûre et efficace à long terme.


Libération tempérée par le sida :

Même si elle est vue comme un moyen majeur de la libération de la femme, la pilule paraît avoir été surtout conçue dans les années 50 pour contrôler l’explosion démographique des populations pauvres, selon des historiens. Aujourd’hui, la communauté internationale reste mobilisée pour aider les pays pauvres surpeuplés à contrôler leur démographie tout en s’efforçant de ne pas tomber dans l’eugénisme.

La pandémie de sida qui s’est développée depuis ces vingt-cinq dernières années dans le monde a tempéré le mouvement de libération sexuelle permis par la pilule et a fait évoluer les comportements sexuels en faveur du préservatif pas seulement comme moyen de contraception mais aussi de protection contre les maladies sexuellement transmissibles.

Par opposition la pilule du lendemain est :

Une pilule à n’utiliser qu’en cas d’urgence, ce médicament est fortement dosé en hormones féminines même s’il n’évite pas la formation de l’œuf, il évite l’implantation de l’embryon dans l’utérus. La pilule du lendemain est un médicament permettant une contraception d’urgence. Il s’agira de prendre la pilule du lendemain le plus rapidement après le rapport sexuel à risque de grossesse, car l’efficacité décroît avec le temps.

 

 

Plantureux Juliette , Di Blasi Marion.

sources : http://www.creapharma.ch/pilule-differente.htm

Quelle sont les différence entre la prise d’une pilule contraceptive et la prise de la pilule du lendemain ?

 

 

Quelle est la différence entre la pilule contraceptive et la pilule du lendemain ?

La pilule contraceptive  (ou classique ) est celle que l’on prend quotidiennement afin d’éviter une grossesse. C’est un médicament faiblement dosé en hormones féminines (oestrogène ou progrestérone). Malgré des contre-indications par exemple tabac, hypertention … Chez certaines femmes, cette pilule n’a que très peu d’effets secondaires. On peut la nommer la pilule classique. Elle assure une contraception sûre et efficace à long terme.

Par opposition,  la pilule du lendemain (contraception d’urgence) est une pilule à n’utiliser qu’en cas d’urgence.  Ce médicament est fortement dosé en hormones féminines (oestrogène ou progrestérone) et évite entre autres la nidation de l’oeuf  une hypothèse du mode d’action.

 

Quelle sont les effets secondaires de la pilule classique ?

Les effets secondaires de la pilule apparaissent généralement dès les premiers mois de la prise de la pilule et disparaissent par la suite. Si un effets secondaires persistent il est fortement conseillé de changer de pilule. Comme tous les traitements hormonaux, les effets secondaires peuvent varier dans leur degré de gravité en fonction de votre corps.

Les effets secondaires fréquents sont : maux de tête, nausée, légère tâches entre deux périodes, prise de poids léger et sensibilité des seins. Il y a de plus grave effets secondaires comme : une thrombose veineuse profonde ou une coagulation du sang, des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux et peut augmenter certains risques de développer des cancer, notamment du sein, du col de l’utérus et le cancer du foie.

Les femmes qui fument, qui ont des antécédents de thrombose, qui sont en surpoids et celle qui ont plus de 50 ans ont plus de risques d’avoir des effets secondaires.

La pilule classique est-elle un danger ?
La pilule contraceptive est sans danger dans le sens où elle vous protège d’une grossesse non désirée. Il y a eu beaucoup de débat quand à savoir si il y a un risque accru de cancer lors de la prise de la pilule.  Dans le passé, on a pensé que la pilule augmentait le risque de développer un cancer de sein , mais plus récemment des études ont prouvé qu’il n’y avait pas de risque global chez les utilisatrices de pilule. Il peut y avoir une légére augmentation du risque du développer un cancer du col de l’uterus, mais cela peut être éviter en faisant des frottis régulièrement.


Les sacrifiés de Fukushima.

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr

Donner sa vie avec l’espoir fou que cela puisse sauver celle des autres.  Il y a là-bas une cinquantaine de personnes qui ont hypothéqué leur vie en espérant que leur sacrifice permettra de sauver leur pays, et tant d’autres vies à travers le monde. Des anonymes engagés avec détermination contre des forces terrifiantes. La mission est simple : refroidir coûte que coûte les réacteurs. Pour cela, il faut aller au cœur de la centrale. Les systèmes de refroidissement ayant été détruits, il faut d’une part pomper l’eau de mer, la transporter dans des camions-citernes pour l’injecter dans les réacteurs, et d’autre part actionner manuellement les vannes pour faire baisser la pression.

http://s2.lemde.fr

 

Ils interviennent équipés de combinaisons intégrales, branchées sur un compresseur ou dotées de bouteilles d’oxygène portables, voire d’un casque en surpression, pour se protéger de tout risque d’exposition cutanée, d’inhalation ou d’ingestion de particules radioactives. Ils tentent de se mouvoir dans la chaleur étouffante des bâtiments, due au dégagement de chaleur des combustibles.

http://images12.levif.be

 

Passé un certain seuil, les rayonnements gamma percent tout. La dose maximale admissible est de 20 millisievert (mSv) par an pour les travailleurs du nucléaire. Elle a été portée mardi par les autorités japonaises à 250 mSv. Et on évoque des débits de dose radioactive de 400 à 500 mSv/heure donc les pompiers ne sont pas sûrs de survivre très longtemps, exposés à de telle doses.

http://img.over-blog.com

 

De plus, afin de réaliser une cartographie précise des zones contaminées autour de la centrale nucléaire accidentée, l’université de Fukushima a émis l’idée d’utiliser des singes et des sangliers équipés de différents outils de mesures. Si la situation de la centrale de Fukushima est considérée comme stabilisée depuis des mois, la possible radioactivité environnante continue de susciter l’inquiétude. Afin de mesurer avec la plus grande précision les niveaux de radioactivité autour de la centrale de Fukushima, l’université de la préfecture japonaise a eu une idée pour le moins spéciale : envoyer des singes et des sangliers dans les zones irradiées. Les animaux permettront de cartographier des lieux difficiles d’accès. Dotés de GPS, de dosimètres et de compteurs Geiger, ces cobayes permettront de réaliser des mesures qui viendront compléter les données recueillies lors de survols en hélicoptère et en avion des zones contaminées. L’idée n’est pas nouvelle. En octobre dernier en effet, des singes avaient déjà ainsi été utilisés. Mais les données récoltées grâce aux bracelets électroniques dont ils étaient équipés n’avaient pas pu être récupérées.

 

De nombreux êtres humains se sacrifient chaque jour pour sauver la population japonaise et même la population mondiale. Même des animaux sont sacrifiés pour aider les  « sacrifiés »  à faire des mesures  ou à cartographiés la zone. Nous pensons que ces hommes sont des héros car ils meurent chaque jours pour sauver le « destin » de la planète.

Article réalisé par Chauvet Alexis et Dumont loup