Archives mensuelles : mai 2016

Le poisson hermaphrodite

 

Le poisson hermaphrodite


Introduction :

Une équipe internationale a trouvé un poisson femelle vierge qui donne la vie. Cette individu femelle arrive à s’auto-féconder elle même sans avoir besoin de poisson mâle.

 

I/ Qu’est-ce-que l’hermaphrodisme ?

L’hermaphrodisme désigne un phénomène biologique dans lequel l’individu est morphologiquement mâle et femelle, soit simultanément soit alternativement. L’hermaphrodisme peut être continu mais il peut aussi être successif, les individus passant d’un sexe à l’autre. Suivant qu’ils sont d’abord femelles ou mâles, on parle d’espèce protérogyne.

Par exemple tous les escargots sont hermaphrodite.

 

II / Quels autres animaux sont hermaphrodites ?

 

Chez les huîtres plates, le jeune coquillage adulte commence par être mâle et répend dans l’eau de mer des spermatozoïdes qui féconderont des huîtres plus âgées. Plus tard, il deviendra femelle et aspirera les spermatozoïdes répandus par les jeunes huîtres et donnera ainsi naissance à de petites larves.

Les grenouilles et les tortues d’eau douce peuvent parfois aussi changer de sexe au cours de leur vie.

C’est aussi le cas de certains poissons, comme le mérou, qui peut changer de sexe une fois au cours de sa vie lorsqu’il n’y a plus de mâle dominant. Entre 5 et 12 ans le mérou est femelle. Puis, jusqu’à la fin de sa vie, il devient mâle.

L’hermaphrodisme successif (ou séquentiel) est une forme d’hermaphrodisme correspondant à une acquisition des caractères sexuels mâles et femelles différée dans le temps. Il se retrouve aussi bien chez les animaux que chez les plantes, mais pour ces dernières on préférera le terme dichogamie.

Voici un mérou.

https://fr.vikidia.org/wiki/Fichier:Poissons.jpg


Poisson clown hermaphrodite

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hermaphrodisme_successif#/media/File:Premnas_biaculeatus_juvenile.jpg

 

Arisaema triphyllum une espèce hermaphrodite

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hermaphrodisme_successif#/media/File:Arisaema_triphyllum_WPC.jpg

 

Conclusion : Pour conclure il existe plusieurs sorte d’hermaphrodisme ( continu et successif ) .

Comme on peut le voir il n’y pas que des animaux qui sont hermaphrodite, il y a aussi des plantes.

 

Travail réalisé par Quentin et Louis.

IMAGE PANORAMIQUE DE PAYSAGE SUR MARS

Le liens de la vidéo ci-dessous :

http://www.lemonde.fr/cosmos/video/2016/04/28/images-panoramiques-de-paysages-rocheux-de-mars_4910585_1650695.html

La NASA a publié des images panoramique de Mars prises par le robot Curiosity. Pour obtenir ce panorama, l’agence aérospatiale américaine a compilé des dizaine d’images prises le 4 avril du sommet d’un plateau qui se trouve à l’intérieur du cratère Gale. Curiosity explore Mars depuis 2012 avec l’objectif de déterminer si l’environnement de la planète a dans le passé permis l’apparition de la vie

voici une image du robot :

Résultat de recherche d'images pour "robot curiosity"

1) pourquoi le robot Curiosity n’avait-il pas détecté la présence d’eau liquide ?

La nouvelle a surpris le monde entier, lundi 28 septembre.De l’eau liquide coulerait à la surface de Mars . Ce même sol que le petit robot Curiosity fouille depuis 3 ans. Alors pourquoi n’a-t-il jamais trouvé le mélange d’eau et de sel mis au jour par une équipe de scientifiques ? Tout simplement parce que le rover se trouvait loin des reliefs sur lesquels ont été détectées le liquide. « Cette observation n’a été faite que dans des endroits très spécifiques, appelés les Recurring Slope Linae », explique François Forget, directeur de recherche au CNRS spécialiste de la planète rouge, à RTL.fr. De plus, le phénomène n’est que ponctuel et apparaît qu’aux moments les plus chauds de l’année.

Curiosity avait toutefois permis de faire d’autres découvertes liées à la présence d’eau . « Le robot explore les restes d’un lac et se trouve dans une zone qui a été autrefois inondée. Quand il y a des annonces, c’est qu’on a trouvé des restes de torrents ou des dépôts. Ce qui est nouveau avec la Nasa, c’est que maintenant on sait qu’il y a de l’eau qui coule actuellement », détaille François Forget. C’est un autre engin, moins médiatisé, qui a permis cette découverte : le Mars Reconnaissance Orbiter, qui tourne autour de la planète depuis 2006. L’analyse des clichés de l’appareil a permis de détecter la présence d’eau liquide. Pourtant, c’est bien l’option d’un robot terrestre que la Nasa s’apprête à choisir pour approfondir son exploration du sol martie

 

2) description et information du robot CURIOSITY

Organisation NASA
Domaine Étude in situ de Mars.
Statut Mission en cours.
Messe 899 kg (rover)
Lancement 260novembre 2010(15 h 2UTC)
Lanceur Atlas V 541
Début de mission 6 aout 2012 (5 h 31 UTC)
Durée de vie 22 mois terrestres

 

3) présentation du robot :

 

Mars Science Laboratory (MSL, en français « Laboratoire scientifique pour Mars ») est une mission d’exploration de la planète Mars à l’aide d’une astromobile (rover) développée par le centre JPL associé à l’agence spéciale americaines de la NASA. La sonde spaciale a été lancée le par une fusée Atlas V. Le site d’atterrissage, sur lequel la sonde spatiale s’est posée le 6aout 2012 à 5 h 31 UTC, se situe dans le cratère Galle . Celui-ci présente dans un périmètre restreint donc compatible avec l’autonomie du Rover, des formations reflétant les principales périodes géologiques de la planète dont celle — le Noachien — qui aurait pu permettre l’apparition d’organismes vivants. Au cours de sa mission, le rover, baptisé Curiosity, va rechercher si un environnement favorable à l’apparition de la vie a existé, analyser la composition minéralogique, étudier la géologie de la zone explorée et collecter des données sur la météorologie et les radiations qui atteignent le sol de la planète. La durée de la mission est fixée initialement à une année martienne soit environ 669 sols (jours solaires martiens) ou 687 jours (solaires) terrestres.

Le rover Curiosity est cinq fois plus lourd que ses prédécesseurs, les Mars Exploration Rovers (MER), ce qui lui permet d’emporter 75 kg de matériel scientifique, dont deux mini-laboratoires permettant d’analyser les composants organiques et minéraux ainsi qu’un système d’identification à distance de la composition des roches reposant sur l’action d’un laser. Les laboratoires embarqués sont alimentés par un système sophistiqué de prélèvement et de conditionnement d’échantillons comprenant une foreuse. Pour répondre aux besoins accrus d’énergie et s’affranchir des contraintes de l’hiver martien et des périodes nocturnes, le rover utilise un générateur thermoélectrique à radioisotope qui remplace les panneaux solaires mis en œuvre par les précédentes missions. Enfin, il bénéficie de logiciels évolués pour naviguer sur le sol martien et exécuter les tâches complexes qui l’attendent. Le rover est conçu pour parcourir 20 km et peut gravir des pentes de 45°.

La sonde spatiale au départ de la Terre a une masse de 3,9 tonnes et comprend un étage de croisière chargé d’amener la sonde jusqu’à proximité de la planète Mars, un véhicule de rentrée qui assure la traversée de l’atmosphère martienne à grande vitesse et un étage de descente chargé de la dernière phase aboutissant à l’atterrissage. Pour parvenir à poser le rover de 899 kg sur le sol martien avec la précision demandée par les objectifs scientifiques, la technique d’atterrissage utilisée par ses prédécesseurs a été profondément modifiée : la phase de rentrée atmosphérique est en partie pilotée pour restreindre la zone d’atterrissage à une ellipse longue de 20 kmet large de 7 km. Le rover est déposé en douceur sur le sol par un étage de descente fonctionnant à la manière d’un hélicoptère-grue, seule méthode compatible avec sa masse.

MSL constitue la mission interplanétaire de la NASA la plus ambitieuse de la décennie. La complexité de la sonde et du rover ainsi que la nécessité de mettre au point de nouvelles technologies spatiales ont entraîné des modifications importantes du concept de départ durant le développement : les dépassements de coût qui en ont résulté ont failli entraîner l’annulation de tout le projet. Le lancement prévu initialement en 2009 a dû être repoussé à la fenêtre de lancement suivante, 26 mois plus tard, en 2011. Le coût total du projet est évalué en 2011 à 2,5 milliards de dollars.

Supernova de l’étoile KNS 2011

Pour la première fois , un télescope de la NASA a enregistré l’onde de choc de l’étoile KNS 2011 situé a 1,2 milliards d’années lumière de la terre.

Qu’est ce qu’une supernova ? Comment peut on observer une supernova?

Dans un premier temps nous allons voir comment explose une supernova, comment on peut l’observer et ses intérêts scientifiques. Puis nous allons voir comment elle se compose.

lien: http://www.actuhightech.com/wp-content/uploads/2016/01/supernova-explosion.jpg

Une supernova est l’explosion d’une étoile en fin de vie . Cette étoile se rétracte d’abord sur elle même jusqu’à l’explosion de celle ci car la masse était tellement dense que l’étoile à rejeté toute cette masse. Cette explosion rejette diffèrentes molécules comme le Silicium , l’eau , l’hydrogène …

La connaissance des supernovas historiques est importante car aucune supernova galactique n’a été observée depuis l’invention du télescope. D’autre part la connaissance de l’âge exact d’un évènement de supernova ou d’un pulsar est d’un intérêt crucial pour la compréhension de ceux-ci. Les témoignages concernant d’éventuelles supernovas sont malheureusement peu nombreux et peu précis, ce qui fait que seulement cinq d’entre elles sont connues avec certitude, auxquelles s’ajoutent quelques candidats plus ou moins probables et d’éventuelles supernovas non observées mais datant des temps historiques.

On peut observer une supernova à l’aide d’un télescope radar qui reçoit les ondes produites dans l’univers ou comme le télescope Kepler (qui a observé la supernova)  par image.

Lien: http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/builds/images/rte/RTEmagicC_38080_Cassiopeia_A_Supernova__nasa_txdam29069_9dd4e4.jpg

À gauche, un schéma de la composition chimique de l’étoile massive avec l’explosion ayant formé Cassiopée A. Sa structure en oignon montre que les atomes les plus lourds, le fer (Fe) et le silicium (Si), sont au centre de l’étoile, alors que l’hydrogène (H) et l’hélium (He) se trouvent à la surface. Sur la droite, les restes de la supernova à l’origine de Cassiopée A montrent une structure exactement inverse. On le voit grâce aux fausses couleurs associées aux noyaux présents dans les restes de la supernova et qui correspondent aux couleurs du schéma de gauche.

En conclusion une supernova est une explosion d’une étoile, on peut l’observer avec un télescope de la NASA et on la reconnait grâce à des composants chimiques tel que le fer, l’hélium, l’hydrogène et le silicium enfin les intérêts scientifiques sont que les explosions de supernova entrainent une extension de l’univers.

Travail réalisé Par Benoît Moulin Et Hugo Cendrier Et Brandon Lefèvre

Nous nous sommes inspirés des textes du site suivant:

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/dico/d/univers-supernova-60/

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronomie-onde-choc-supernova-observee-premiere-fois-62146/

Clonage du mammouth laineux

 

L’extinction rapide du mammouth laineux était jusqu’alors un événement mystérieux. Ce gros éléphantidé aux poils mesurant presqu’un mètre s’est complètement éteint il y a 4.000 ans, mais son déclin a commencé voilà 10.000 ans. Longtemps, les chercheurs ont tergiversé sur le rôle de l’Homme dans cette disparition. Le mammouth laineux avait-il été trop chassé, comme le Dodo au XVIIe siècle ? D’après les conclusions d’une ambitieuse étude, le mammouth laineux aurait été victime du changement climatique.

 

Des chercheurs ont réussi à séquencer les génomes de deux mammouths. Autrement dit, ils sont parvenus à établir la carte d’identité génétique du mammouth laineux. Une recherche qui permettrait de recréer l’animal. Le premier génome (ensemble des gènes d’un être) provient d’un mammouth issu du nord-est de la Sibérie, ayant vécu il y a 45 000 ans. L’autre est celui d’un animal qui a existé 4300 auparavant sur l’île de Wrangel, au nord de la Russie. L’ADN a été extrait à partir d’une dent et d’un échantillon de tissu mou. Contacté par L’Express, le co-auteur de l’étude, le docteur Love Dalen, détaille son approche: « Nous avons séquencé l’ADN à plusieurs reprises, ensuite des millions et des millions de séquences ont pu être assemblées en utilisant l’éléphant d’Afrique comme modèle ». Une méthode appelée « réécriture génomique« .  la gestation d’un éléphant dure de 20 a 22mois. nous avons choisi un éléphant car c’est l’ animal qui est le plus proche génétiquement du mammouth

 

 

Voici les grandes étapes d’un processus de clonage :

 

1)      Une cellule somatique est prélevée sur un individu adulte à tête blanche

2)     Mise en culture de cette cellule en milieu pauvre pendant 5 jours

3)      Arrêt du cycle cellulaire

4)      Cellules mises au repos

En parallèle à ces quatre étapes :

1’) Recueil des ovocytes en métaphase 2 de la méiose chez un autre individu à tête noire

2’) Enucléation d’ovocytes

3’) Activation par choc électrique de l’ovocyte

5)      Un ovocyte activé et une cellule mise au repos sont mises en contact

6)      Fusion des deux cellules grâce à un courant électrique

7)      Obtention d’un embryon  stade 1 cellule

8)      Implantation de cet embryon dans un oviducte ligaturé (culture in vivo) d’un individu a tête noire

9)      Développement de l’embryon pendant 6 jours in vivo puis réimplantation dans l’utérus d’un autre individu à tête noire.

10)  Gestation pendant cinq mois.

11)  Naissance du clone

Les animaux qui ont déjà été clonés sont des souris, des vaches, des porcs, des chats, des lapins, des chevaux, des mouches, des chiens, des singes, des chèvres, et même un dromadaire et un daim.

 

Pour conclure la reproduction des mammouths laineux est possible mais dans quelques dizaines d’années car ce processus est très difficile.

 

 

PHOTO 1   https://www.google.fr/search?q=mammouth+laineux&safe=strict&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwifgoLV5NbMAhVLORoKHR64AyYQ_AUIBygB&biw=1280&bih=879

http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/actu/d/paleontologie-mammouth-laineux-eteint-cause-changement-climatique-48923/

http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/le-mammouth-laineux-pourrait-bien-ressusciter-d-entre-les-morts_1674617.html

http://les-tpe-2011.e-monsite.com/medias/images/dolly.jpg

 

jérémy vinet et valentin lamy et théo Chavatte

Un curieux poisson mâle et femelle s’est autofécondé

C’est un poisson hybride qui s’est fécondé lui même.. Après l’avoir disséqué, les chercheurs ont découvert, collé aux ovaires,des spermatocytes (des spermatozoïdes en cours de formation.) C’est grâce à ça qu’elle a pu s’autoféconder.

Nous allons maintenant voir comment le poisson a pu s’autoféconder.

Les chercheurs on découvert lors de la dissection que le poisson avait collé aux ovaires, des spermatocytes (un agrégat de petites tâches noires). Le poisson hybride a pu s’autoféconder car il possède une anomalie sans avoir de testicules a néanmoins été capable de produire des spermatozoïdes.

Sauf exception aucun animal, n’est capable de s’autoféconder …Même l’escargot qui possèdent les deux sexes , n’en est pas capable.

Les chercheurs se sont rendu compte qu’il ne s’agissait pas d’un poisson banal mais d’un hybride entre deux espèces proches. Les auteurs de l’étude l’avaient obtenu par croisement entre un Pundamilia pundamilia femelle et un Neochromis omnicaeruleus mâle.

En En tout, l’hybride a donné naissance à 46 poissons des deux sexes. Seuls 17 d’entre eux (2 mâles et 15 femelles) sont parvenus à l’âge adulte. Les 2 mâles et 3 des femelles se sont avérés normalement fertiles. Les chercheurs n’ont en revanche pas voulu tester la fertilité des 12 autres « filles », préférant les isoler à leur tour pour voir si elles allaient rééditer le « miracle » grâce auquel elles avaient vu le jour. En vain.

Un organisme hermaphrodisme est un organisme qui possède à la fois les organes reproducteurs mâles et femelles

L’hermaphrodisme est fréquent chez les plantes mais beaucoup moins dans le règne animal : le prix à payer, en termes d’énergie et de contraintes morphologiques, est élevé pour développer deux systèmes de production de gamètes.

 

 

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Nous nous sommes inspirer du texte suivant:

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2016/03/24/un-curieux-poisson-male-et-femelle-sest-auto-feconde/

Nous sommes Steffan DEVILLE et Audrey TREVIEN

Les insectes ignorent il la douleur ?

A cause de leur absence de sensibilité interne. Leurs terminaisons nerveuses sont uniquement cutanées, c’est à dire en surface. On a vu des fourmis ouvrières mutilées, dépourvues d’abdomen, continuer à marcher normalement et même à nourrir des larves.  Alors, vous pensez, tomber d’une table, c’est presque un plaisir

La vitesse d’un corps en chute libre dépend de sa masse et du frottement de l’air.

Notre fourmi ne tombe pas dans le vide. Mais dans l’air. Or, la vitesse d’un corps en chute libre dépend de sa masse, mais aussi du frottement de l’air. Plus ça accélère, plus ça freine. Et ça freine davantage que ça n’accélère ! Résultat : l’insecte atteindra rapidement une vitesse limite, quand le frottement de l’air équilibrera la force d’attraction terrestre, autrement dit le poids la fourmi ne dépasse guère un centimètre. Elle vient d’endurer un vol plané depuis une table située à un mètre du sol : 100 fois sa hauteur ! C’est comme si on vous lâchait du haut d’un gratte-ciel, et qu’une fois en bas, vous courriez à la boulangerie. Les insectes sont les êtres vivants les plus résistants aux chocs.

Les insectes ignorent en partie la douleur

A cause de leur absence de sensibilité interne. Leurs terminaisons nerveuses sont uniquement cutanées, c’est à dire en surface. On a vu des fourmis ouvrières mutilées, dépourvues d’abdomen, continuer à marcher normalement et même à nourrir des larves. Pour eux tomber d’une table c’est presque du plaisir.

 

http://www.franceinfo.fr/emission/les-pourquoi/2015-2016/les-pourquoi-2015-2016-du-12-03-2016-12-03-2016-05-40