Catégories des archives : 2008-2009

Articles produits par les élèves pendant l’année scolaire 2008-2009.

MANGER-BOUGER

 

MANGER-BOUGER

site officiel 

9 repères essentiel : manger1

 

Fruits et légumes :

Au moins 5 par jour.

Ils sont bourrés de vitamines, de minéraux et de fibres, qui aident à protéger la santé. Ils jouent un rôle protecteur vis-à-vis de nombreuses maladies, comme les cancers, le diabète et les maladies cardio-vasculaires. Ils sont aussi les alliés de notre ligne : ils sont « nourrissants », mais très peu caloriques !

 

Produits laitiers :

Jusqu’à 4 pour les enfants, les ados et les personnes âgées !

La catégorie des « produits laitiers » regroupe la plupart des produits élaborés à base de lait : yaourts, fromages blancs, mais aussi fromages…et bien sûr le lait lui-même ! Ils nous apportent des protéines, du calcium et souvent de la vitamine D, essentiels à la construction du tissu osseux et à son entretien ! Le calcium intervient aussi dans d’autres phénomènes vitaux : contraction musculaire, coagulation sanguine, etc.

 

 

Féculents :

A chaque repas.

Les féculents, ce sont ces aliments que pratiquement tout le monde aime : le pain, les pâtes, le riz, la semoule, le maïs, les céréales, les pommes de terre, le blé, les légumineuses (lentilles, fèves, pois chiches, soja, haricots…) Ils nous apportent ce qu’on appelle des « glucides complexes » et sont importants pour le fonctionnement des muscles et du cerveau. Contrairement aux aliments sucrés (sucre, boissons sucrées, confiseries, pâtisseries, desserts lactés, etc.), sources de glucides simples, les féculents fournissent une énergie qui se libère progressivement dans le corps. En consommer aide à attendre le repas suivant sans avoir faim, ce qui permet de limiter les « petits creux » et donc les grignotages.

 

 

Viande, poissons, œufs :

1 à 2 fois par jour. Et pour le poisson, c’est au moins deux fois par semaine ! Ils nous apportent des protéines d’excellente qualité. La viande et le poisson apportent également du fer.

 

 

Matières grasses :

A limiter, bien les choisir, pour vraiment en profiter.

Les matières grasses sont indispensables à notre organisme : elles devraient représenter 30 à 35% de nos apports caloriques quotidiens… mais ne doivent pas non plus être consommées en excès. Une alimentation trop riche en graisses augmente le risque de prise de poids, ou celui de développer une maladie cardio-vasculaire…

 

 

Produits sucrés :

A consommer avec modération, apprenez à limiter votre consommation !

Ils contribuent, surtout en l’absence d’un brossage régulier des dents à la formation des caries dentaires. Ils sont surtout très caloriques. Consommés régulièrement en grande quantité, ils peuvent contribuer au développement d’une obésité et d’autres maladies à l’âge adulte. Mais, consommés de temps en temps et en quantité raisonnable, les produits sucrés sont compatibles avec un bon état nutritionnel.

 

 

Sel :

Apprenez à limiter votre consommation de sel !

Même si l’on ne sale pas, on mange souvent trop salé. Nous ajoutons du sel sur nos plats et dans nos préparations… Nous en consommons aussi et surtout sans nous en rendre compte, car de nombreux produits transformés par l’industrie agro-alimentaire en contiennent déjà (80% du sel que nous consommons)…et parfois beaucoup.Pourquoi limiter sa consommation ? Parce qu’une consommation de sel excessive favorise l’hypertension, elle-même à l’origine de maladies cardio-vasculaires.

 

 

 

Eau :

A volonté, parce que l’eau est la seule boisson indispensable ! C’est également la moins chère !

Notre corps est composé à plus de 60% d’eau…Or nous perdons tous les jours une partie de cette eau par les urines, la transpiration, la respiration. Il nous faut donc compenser ces pertes pour maintenir l’équilibre de l’organisme. Il est donc recommandé de boire de l’eau à volonté, pendant et entre les repas. Et c’est justement en buvant que nous compensons !

 

 

Activité physique :

Au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide par jour… Faire 30 minutes d’activité physique, ce n’est pas si compliqué.

Il ne s’agit pas forcément de devenir un athlète, mais juste de bouger un peu chaque jour : en effet, ce n’est pas l’intensité de l’effort qui compte, mais sa régularité ! Et au quotidien, il suffit de faire au moins l’équivalent de 30 minutes de marche rapide. Et si vous pouvez en faire plus, c’est encore mieux !

La pratique d’une activité physique quotidienne est un élément favorable à la santé. Certes, il n’est pas toujours facile ni possible d’aller au stade, à la piscine ou dans une salle de sport, de courir dans un parc ou à la campagne… Le manque de temps, la fatigue après une journée de travail et le manque de motivation, sont souvent les arguments avancés pour expliquer l’absence de pratique d’un sport. Pourtant, même modérée, l’activité physique est bénéfique. Ainsi, les personnes pratiquant une activité physique sont moins exposées à l’obésité, à un accident cardiaque et à un cancer que celles qui en font très peu. Et on peut, sans faire un sport particulier, intégrer l’activité physique dans sa vie quotidienne.

 

  Manger mieux.

 

Bien manger, c’est se faire plaisir en préservant sa santé…

Manger est un des grands plaisirs de la vie : plaisir de savourer un bon repas, de faire une pause dans le travail, de se retrouver à table en famille ou entre amis, de ne plus avoir faim et d’être rassasié, et même le plaisir de ne pas se soucier de ce qu’on mange ! C’est aussi la satisfaction de préparer pour les autres, de créer une recette, de partager ses « coups de mains », de découvrir des saveurs, d’apprécier la richesse et la diversité des alliances de goûts, de finesse des plats par opposition au trop gras trop salé trop sucré qui alourdit les papilles…

Si ce plaisir de manger procure un certain bien-être, il est également vrai que nous construisons notre santé avec notre alimentation. Toutes les études scientifiques le confirment : l’alimentation est un élément essentiel pour protéger sa santé !

Une alimentation riche de saveurs où certains aliments sont privilégiés et d’autres limités, alliée à une activité physique régulière, contribue à nous protéger de la prise de poids excessive, des risques d’hypertension artérielle, d’excès de cholestérol, de maladies cardio-vasculaires, d’ostéoporose, de diabète de type II, et du développement de certains cancers. Et on ne le répètera jamais assez, l’activité physique quotidienne est essentielle pour tous et à tout âge.

 

Bouger plus.

Rassurez-vous : il ne s’agit pas de devenir un athlète du jour au lendemain, mais juste d’être suffisamment actif physiquement chaque jour…Tout un ensemble de petit réflexes peuvent permettre d’atteindre ces 30 minutes. En effet, l’important, ce n’est pas l’intensité mais la régularité. Il n’est pas obligatoire de faire les 30 minutes d’un coup. Par contre, la durée minimale pour que l’activité soit bénéfique est de 10 minutes.

 

 

  Article réalisé par Maxime et Maxime !
 

LA MALBOUFFE

 I / Qu’est ce que la malbouffe ?

Le terme a été créé par Stella et Joël de Rosnay dans leur ouvrage La Malbouffe. Il s’agit alors de nommer un type d’alimentation qui ne répond pas aux besoins physiologiques car trop gras, trop sucré ou pauvre en nutriments. Cette définition est toujours d’actualité mais le sens du mot a été étendu à une critique plus globale dénonçant aussi le modèle productiviste et la société de consommation. Elle peut favoriser l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, etc.

La consommation de la malbouffe peut entraîner une malnutrition et l’obésité.

La malbouffe est souvent symbolisée en France par la chaîne internationale de restauration rapide (en anglais fast food) McDonald’s, mais cette critique s’étend à l’industrie agro-alimentaire depuis l’agriculture jusqu’aux transformateurs et aux distributeurs. Mais chaque pays semble avoir son symbole propre. Les États-Unis ont ainsi plutôt érigé le gâteau industriel « Twinkie » en symbole de la malbouffe.

II / Conséquence de la malbouffe .

Un ado sur 10 souffre ainsi à l’heure actuelle d’obésité. Pas étonnant avec des régimes à base d’huile, overdosés en sel et en sucre mais qui boudent les protéines (on fait pas mal la tête aux poissons entre autres). Un déséquilibre alimentaire qui nous rend également plus fatigués. Colas, limonades et eaux gazeuses tambourinent non seulement à plein gaz nos estomac mais peuvent également entraîner des risques de fractures. Les boissons pétillantes, riches en acide phosphorique, réduisent en effet la masse osseuse, particulièrement chez les jeunes qui ne pratiquent pas ou peu d’activités sportives.

1- L’obésité :

Un excès de nourriture. Il est vrai que les personnes obèses mangent trop.

Les graisses (et autres lipides), tout comme les sucres (glucides), servent à stocker l’énergie dans le corps. Les sucres fournissent une énergie rapidement utilisable, les graisses permettent de stocker beaucoup d’énergie dans peu d’espace.

La graisse est stockée dans des cellules appelées lipocytes ou adipocytes. En cas de stock important, on distingue deux situations :

le surpoids : les adipocytes stockent de plus en plus de graisse et grossissent ;

l’obésité : lorsque les adipocytes arrivent à saturation, ils se multiplient.

Les évaluations courantes de l’obésité font intervenir la masse (que l’on appelle souvent le « poids ») et la taille.

 

2- Le diabéte

Le diabète peut résulter en conséquences lourdes pour la santé. Le diabète est un facteur de risque important de maladies cardio-vasculaires, infarctus, insuffisance cardiaque, artérite, accident vasculaire cérébral ou encore de troubles micro-antipathiques pouvant conduire à la cécité , à une insuffisance rénale chronique .

Le diabète est une maladie aggravant l’invalidité, provocant la diminution de l’espérance de vie, et engendrant de forts coûts médicaux.

500 000 à 800 000 Français vivraient sans savoir encore qu’ils sont diabétiques

3- Un taux élevé de cholestérol

Le cholestérol est présent sous forme de stérides dans la plupart des tissus des vertébrés, et en particulier le foie, le cerveau, et la moelle épinière. C’est un composant majeur des membranes cellulaires qui contribue à leur stabilité et au maintien de leurs structures.

Mais il se forme alors, petit à petit, de véritables plaques de graisse, si on a absorbé trop de cholestérol.

III / Comment éviter de tomber dans la malbouffe.

1- Matières grasse

Les matières grasses sont indispensables à notre organisme : elles devraient représenter 30 à 35% de nos apports caloriques quotidiens… mais ne doivent pas non plus être consommées en excès. Une alimentation trop riche en graisses augmente le risque de prise de poids, ou celui de développer une maladie cardio-vasculaire… Évitez de surcharger les aliments de sauce, crème, beurre ou de mayonnaise : vous profiterez davantage de leur vraie saveur ! Consommez avec modération les produits riches en graisses « cachées » : pâtisseries, viennoiseries, biscuits apéritifs, certains plats tout prêts en sauce…

 

 

2-les fruits et légumes

Ils nous apportent des éléments dont notre corps a besoin. Ils sont riches en vitamines, en minéraux et en fibres, peu caloriques, et leur effet favorable sur la santé a été démontré. Ils ont un rôle protecteur dans la prévention de maladies à l’âge adulte, comme les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’obésité, le diabète… Ils nous aident également à éviter la prise de poids. Enfin et surtout, ils offrent une incroyable variété de saveurs, tout ce qu’il faut pour conjuguer santé et plaisir.

 

 

3-le sucre

Il est surtout très caloriques. Consommé régulièrement en grande quantité, il peut contribuer au développement d’une obésité et d’autres maladies à l’âge adulte. Mais, consommés de temps en temps et en quantité raisonnable, les produits sucrés sont compatibles avec un bon état nutritionnel.

Comment limiter leur consommation : Méfiez-vous des boissons sucrées ! La plupart sont le plus souvent très riches en sucre. Dosez bien le sucre que vous ajoutez dans vos boissons : café, thé, etc. Quand on verse à l’aveuglette, on en met davantage. Pour les enfants et les ados, essayez de ne pas surcharger vos placards en produits sucrés, ça évite qu’ils ne se jettent dessus quand vous ne pouvez pas contrôler ce qu’ils mangent.Le light est effectivement une solution qui permet de consommer moins de sucre. Par contre, le sucre y est remplacé par un édulcorant qui entretient dans votre corps l’envie de manger sucré.

    4-le sel

Apprenez à limiter votre consommation de sel ! Même si l’on ne sale pas, on mange souvent trop salé. Nous ajoutons du sel sur nos plats et dans nos préparations… Nous en consommons aussi et surtout sans nous en rendre compte, car de nombreux produits transformés par l’industrie agro-alimentaire en contiennent déjà (80% du sel que nous consommons)…et parfois beaucoup.     Pourquoi limiter sa consommation ? Parce qu’une consommation de sel excessive favorise l’hypertension, elle-même à l’origine de maladies cardio-vasculaires. Prenez le réflexe de regarder les étiquettes des produits (plats cuisinés, eaux minérales, etc) Limitez votre consommation d’aliments riches en sel : charcuteries, fromages, biscuits apéritifs, snacks, plats préparés… Gardez-les pour les occasions exceptionnelles ! Les eaux peuvent être riches en sel (sodium) elles aussi : préférez celles dont la teneur en sodium ne dépasse pas 150 mg par litre. Éviter de trop saler l’eau de cuisson. Ca évite les doses trop fortes de sel, qui risquent en plus de gâcher le plat que vous préparez. Essayer de remplacer le sel par des épices (une pointe de curry ou de paprika), des herbes fraîches ou déshydratées (persil, basilic, coriandre), des aromates… Une consommation de sel excessive favorise l’hypertension, elle-même à l’origine de maladies cardio-vasculaires.       IV / Un petit plus alimentaire   Féculents : à chaque repas Viande, poissons, oeufs : 1 à 2 fois par jour Fruits et légumes : au moins 5 par jour Matières grasses : à limiter Produits sucrés : à consommer avec modération Sel : à limiter Activité physique : 30 mn par jour Eau : à volonté

     

Sources:

http://fr.wikipedia.org/

http://sante.ados.fr/

http://www.mangerbouger.fr/

 

 

Morgane L.

Camille A.

Il est important de connaître son groupe sanguin !

 

 
I ) Quels sont les différents groupes sanguins ?
        Nous avons tous chacun deux gènes, hérités de nos parents, qui définissent notre groupe sanguin. Il y a le gène A, B ou O. Le gène O est récessif, tandis que les gènes A et B sont dominants. C’est à dire, si quelqu’un hérite d’un gène A (A, B ou AB) et d’un gène O, le groupe sanguin de cette personne sera A (ou B). Par contre, si quelqu’un hérite de deux gènes O (A ou B), son groupe sanguin sera O (A ou B). Il faut lui ajouter aussi le système Rhésus. On n’est Rh+ quand il y a la présence de cet antigène et Rh- si on ne le posssède pas.

  

Compatibilité entre les groupes sanguins.
Compatibilité entre les groupes sanguins.

 

 

II) Comment et quand peut-on savoir son groupe sanguin ?     En cas d’hémorragie, il n’est jamais injecté du sang en urgence au bord de la route. Si une transfusion de sang est nécessaire, elle se fera plus tard, après le contrôle du groupage complet du patient. En cas d’accident, lors d’une intervention chirurgicale ou lors d’un accouchement, il est plus que nécessaire que chacun sache son groupe sanguin.    Il y a quand même plusieurs façons de connaitre son groupe sanguin : 1. On peut s’informer auprès du médecin de famille ou d’une personne autorisée à consulter votre dossier médical. 2. On peut participer à une collecte de sang. 3. On peut le connaître en clinique privée avec une prescription de votre médecin. 4. On peut aussi demander à consulter notre dossier médical à l’hôpital.

 

Tubes contenant du sang.
Tubes contenant du sang.

 

  III) Dans quelle circonstances donne-t- ton son sang?

don du sang

  Pour donner son sang il suffit de participer à une collecte ou de se rendre dans un centre spécialisé ou encore à l’hopital mais pour celà il faut être âgé d’au moins 18 ans et de peser au moins 50 kg .Les médecins n’ont que 3 à 5 minutes d’entretien pour catégoriser les personnes entre populations à risque, qui sont automatiquement exclues afin de limiter au maximum tout risque de transmition de maladies, et populations pouvant donner leur sang. Ensuite une fois que toutes ces conditions sont réunies, le don peut commencer mais la loi interdit de prélever plus de 8 ml par kilogramme.

Don sanguin.
Don sanguins

Garance V., Alicia L., et Cynthia L.

La maison à énergie positive !

 La maison à énergie positive !

 

 

 

 Avant de pouvoir produire plus que l’on consomme, il faut passer l’étape de la maison « basse consommation ».

 

 

 

 

Pannaux solaires

 

On distingue deux types de panneaux solaires :

 

  • les panneaux solaires thermiques, appelés capteurs solaires thermiques, qui convertissent la lumière en chaleur récupérée et utilisée sous forme d’eau chaude ;
  • les panneaux solaires photovoltaïques, appelés modules photovoltaïques, qui convertissent la lumière en électricité. Le solaire photovoltaïque est communément appelé PV.

Dans les deux cas, les panneaux sont habituellement plats, d’une surface approchant plus ou moins le m² pour faciliter et optimiser la     pose. Les panneaux solaires sont les composants de base de la plupart des équipements de production d’énergie solaire.

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  • Les panneaux solaires thermiques sont actuellement plus rentables économiquement que les modules photovoltaïques grâce à un rendement élevé avoisinant les 80 % (voir capteur solaire thermique), cependant, l’énergie récupérée est pour l’instant utilisée essentiellement pour le chauffage de l’eau chaude sanitaire.

 

  • L’intérêt d’utiliser des panneaux solaires photovoltaïques apparaît vite lorsqu’on sait qu’une surface carrée de 344 km de côté (120 000 km²) pourrait couvrir la totalité des besoins mondiaux en électricité : le rendement d’une installation photovoltaïque étant estimé entre 15-17 % (en 2007 en Europe) soit 160 kWh/an/m² (ou 160 GWh/an/km²[2]) avec des besoins mondiaux estimés à 19 000 TWh (chiffre 2006; 16 000 TWh en 2004[3]). Dans le cas de l’Europe des 27 (3 000 TWh), une surface de 137 km de côté (19 000 km²) suffirait, tandis que dans le cas de la France (500 TWh), il faudrait qu’elle ait 56 km de côté (3 100 km²).

 

D’une manière générale, on considère que la totalité de la surface des toitures existantes correctement exposées et couvertes de panneaux pourrait suffire à satisfaire la totalité des besoins mondiaux en électricité. Pour estimer le potentiel de l’énergie solaire, il faut savoir que l’énergie émise par le soleil et reçue par la terre en environ une heure devrait permettre, si elle était récupérée en totalité, de pourvoir aux besoins énergétiques de l’humanité pendant un an.

 Geothermie

 

 

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  La géothermie, du grec Géo (la terre) et thermie (la chaleur), est la science qui étudie les phénomènes thermiques internes du globe terrestre et la technique qui vise à l’exploiter. Par extension, la géothermie désigne aussi l’énergie géothermique issue de l’énergie de la Terre qui est convertie en chaleur. On distingue trois types de géothermie :
  • la géothermie peu profonde à basse température ;
  • la géothermie profonde à haute température ;
  • la géothermie très profonde à très haute température.
 

Ces trois types de géothermie prélèvent la chaleur contenue dans le sol.La géothermie très basse énergie est une géothermie au niveau des températures comprises entre 10 °C et 30 °C. Dans ce cas, la chaleur provient non par des profondeurs de la croûte terrestre, mais du soleil et du ruissellement de l’eau de pluie, le sol du terrain jouant un rôle de source chaude du fait de son inertie et de sa mauvaise conductivité thermique.

 

 

l’isolation

 

 clé de l’habitat écologique: l’isolation

L’isolation est le véritable point clé du confort de toute habitation, et son enjeu est particulièrement important dans une maison écologique. Avoir chaud l’hiver, vivre dans un environnement sain et bien ventilé, être au frais l’été : les enjeux de l’isolation thermique sont importants d’un point de vue écologique mais aussi économique quand on sait qu’il est possible de vivre quasiment sans chauffage et sans climatisation dans une maison bien isolée.

La ouate de cellulose : un des meilleurs isolants

136479519.jpgLa ouate de cellulose est fabriquée avec des journaux et papiers recyclés et on la traite contre les moisissures et les champignons avec des sels de bore. Ainsi traitée, la ouate de cellulose devient ignifuge et résistant aux insectes ce qui accroit encore plus ses nombreuses qualités. Caractéristiques de la ouate de cellulose Actuellement, c’est un des meilleurs isolants pour la maison. En premier lieu, on citera ses très bonnes performances thermiques: le coefficient de conductivité thermique de la ouate présente des performances allant de 0,035 à 0,043 W/MK et on considère qu’un isolant est très bon en dessous de 0,05 W/MK. La ouate de cellulose est un matériau très efficace en hiver et contrairement à la laine de verre, il protège en plus très bien la maison contre la chaleur de l’été. A ces nombreuses qualités s’ajoute le fait qu’il s’agit d’un matériau naturel, écologique et qui ne revient pas plus cher que le lin et le chanvre, il est en outre moins cher que la laine de coton. La ouate de cellulose de part ses caractéristiques et son traitement au sel de bore est un matériau imputrescible et qui résiste très bien au feu. Avec le lin et le chanvre, c’est un des matériaux les plus appréciés pour l’isolation de l’habitat écologique.   Article réalisé par Aurélien, Arnaud, et Luuk.

La disparition des écrevisses à pattes blanches

 La disparition des écrevisses à pattes blanches

Écrevisse à pattes blanches

 Introdution: L’écrevisse à patte blanche est une espece en voie de disparition.

1°) les écrevisses à pattes blanches : description

L’écrevisse à pattes blanches se trouve dans des cours d’eau au régime hydraulique varié et même dans les plans d’eau. Elle colonise indiféremment des biotopes en contexte forestier où, elle affectionne plûtot les eaux fraiches bien renouvelées. Elle apprécie les milieux riches en abris variés la protégeant du courant ou des prédateurs (fonds caillouteux, graveleux ou pourvus de blocs sous lesquels elle se dissimule au cours de la journée, sous-berges avec racines, chevelu racidaire et cavités, herbiers aquatiques ou bois morts). Il lui arrive également d’utiliser ou de creuser un terrier dans les berges meubles en hiver.

Les exigences de l’espèces sont élevées pour ce qui concerne la qualité physico-chimique des eaux et son optimum correspond aux << eaux à truites >>. Cette espèces a en effet besoin d’une eau claire, peu profonde, d’une excellente qualité, très bien oxygénée, neutre à alcaline. Elle a aussi besoin d’une température de l’eau relativement constante pour sa croissance (15 à 18 °C), qui ne doit dépasser qu’ exceptionnellement 21°C en été.

Les prédateurs de l’espèce sont multiples et s’en prennnent notament aux juvéniles : larves d’insectes, notament coléoptères ou odonates, poisson , grenouille, héron, mammifères. L’écrevisse à pattes blanches subit la concurence d’écrevisses américaines et de Louisiane. Elles ont été introduite car elles sont plus prolifiques et plus résistantes à la dégradation des biotopes.

     2°) La cause de leur disparition          

  Sur le Bassin verssant de l’ Huisne , les espèces le plus souvent rencontrées sont l’ecrevisse américaine et l’écrevisse de Louisiane. Elles sont responsables du déséquilibre biologique dans les milieux aquatiques qu’elle colonisent. Plus résistantes aux pollutions ou aux varaitions de millieu, elles entrent en concurence directe avec les espèces locales et sont vectrices de maladies auxquelles par exemple les écrevisses à pattes blanches sont sensibles. Les hommes ont aussi importé cette espèce pour leur comsommation (sa chaire est plus tendre).

                     

Ecrevisse Américaine                                                                                 Ecrevisse de Louisiane

Les Ecrevisses ont été introduite sans savoir qu’elles étaient porteuses d’un champignon parasite (Aphanomyces astaci) responsable de la Peste des Ecrevisses (Aphanomycose). Découvert vers le milieu du XIX ème siècle en Europe, ce champignon décima de nombreuses populations d’Ecrevisses autochtones. Il semble que ce parasite fut introduit à la faveur d’essais d’acclimatation d’Ecrevisses américaines ou transporté dans les ballasts des bateaux en provenance des Amériques. Les Ecrevisses introduites donnent lieu a beaucoup de spéculation à propos de leur impact sur les écosystèmes, mais aucune mesure précise n’a été effectuée. Il a aussi été constaté que les Ecrevisses de Louisiane provoquent une diminution de la biomasse des poissons dans les étangs, par compétition alimentaire. Cependant, dans certains cas, elle est considérée comme espèce clé de l’écosystème par son rôle d’ »espèce ingénieur » (elle transforme le milieu qui devient favorable à d’autres animaux). Elle peut devenir elle-même une source de nourriture pour des prédateurs (Brochet, Sandre, Carpe) et la faune annexe (Loutre, Ibis sacré, Visons…). Depuis, la maladie se déclare sporadiquement parmi les Ecrevisses autochtones quand leur densité permet sa transmission. Les autres espèces introduites peuvent être aussi atteintes à des degrés divers et pérenniser la maladie

La pollution et l’acidification des eaux sont probablement aussi une cause de la baisse des effectifs. Par exemple, suite au versement, en septembre 2008, d’une mixture de chaux dans une rivière, lors de la construction de l’autoroute A65, dans le sud-ouest de la France, l’écrevisse à pattes blanches a disparu. 

Une autre menace est constituée par les ruminants lorsqu’ils vont boire dans les rivières, dont ils piétinent les berges et le lit, laissant sur place leurs excréments.

 

 
La lente disparition des écrevisses – Ma-Tvideo France3 L’écrevisse à pattes blanches est en voie de disparition en Normandie. La faute à la pollution, mais pas seulement.
Les dernières se trouvent dans la vallée de la Béthune. Pour plus d’infos : http://normandie.france3.fr/ reportage diffusé le 30/07/2008
 
                                                                             3°) Comment préserver l’espèces?
 
Pour protéger les écrevisses il est possible d’aménager des abreuvoirs pour les ruminants selon deux systèmes : l’abreuvoir gravitaire en champ, alimenté à partir de l’eau du ruisseau ou d’une source, et, l’abreuvoir aménagé en berge permettant au bétail de s’abreuver directement dans le ruisseau en passant la tête sous une barrière pour boire mais leur interdisant le lit du cours d’eau.
   
 Alors on peut préserver l’espèce en évitant de polluer les cours d’eaux et d’importer d’autres espèces d’écrevisses ( les écrevisses Américaines et de Louisiane) qui peuvent nuire à la survie de l’écrevisse à pattes blanches .Video de normandiefrance3
Pour finir les hommes peuvent essayer d’en faire de « l’élevage » pour éviter que l’espèce ne s’éteigne! (opinion personnelle).
 
Conclusion: Malheureusement ce n’est pas les seules espèces en voie de disparition.  
 
 
Réalisé par: Elodie B. et Mariana B.
 
 
  
 

Risques et conséquences de l’obésité

 

Qu’est-ce que l’obésité?

 

L’obésité est une maladie chronique qui touche environ 15% des adultes français et plus de 30% des adultes américains. Elle atteint près de 10% des enfants.

 Une personne souffrant d’obésité court plusieurs risques :

 

Conséquences physique :

 

. diabète : alors que le diabète gras apparaît normalement à partir de 40 ans, on voit apparaître du diabète gras dès l’adolescence chez les obèses

 

. hypertension ;

 

. apnée du sommeil ;

 

. problèmes articulaires divers : arthrose, tassements vertébraux…

 

. dépendance à la nourriture (endorphine dans certains aliments) : sensation de dépression et de malaise entre les repas qui s’en va lorsque l’on mange

 

 Conséquences psychologiques : Certaines personnes obèses ont honte de leur corps face à toutes ces personnes « normales ».

 

 Conséquences sociales : La discrimination est une conséquence très dure à supporter pour toutes les personnes obèses, elles sont regardées comme si elles n’étaient pas du monde des humains.

 

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En 1992, l’obésité a été la cause de 178 000 décès en France, essentiellement par maladies cardio-vasculaires et diabète. Par ailleurs, du fait des complications du diabète, l’obésité est la première cause de cécité (non voyant) avant 65 ans en France, et la première cause d’amputation.

 

 Abuser des produits amincissants tels que les substituts de repas est souvent inefficace. Seule une volonté d’acier et des efforts permettront aux personnes rondes de se sentir bien dans leur peau et d’avoir l’ occasion de profiter au maximum de leur vie, sans augmenter les risques de mortalité (la vie est déjà tellement courte).

 

 

En conclusion, l’obésité est donc un phénomène social très important auquel il faut remédier. Globalement, elle représente au moins 3% des dépenses de santé en France et tue en réalité plus de personnes que les accidents de route et le Sida réunis.

 

Il faut réagir!!!!!

Article réalisé par Mickael et Manon.