Archives des mots clés : Volcan

Les risques volcaniques en france

En France, les risques volcaniques se situent essentiellement dans les DOM-TOM (Martinique, Réunion, Guadeloupe). En Polynésie Française et dans le Massif Central, les risques sont nettement moindres. Les risques les plus élevés des aléas volcaniques peuvent être classé en deux groupes : 1°) Les risques directement liés à l’activité éruptive. Les coulées de lave, les nuées ardentes, les panaches de cendres et les nuages de gaz nocifs. 2°) Ceux qui résultent de la conjonction de processus différés dans le temps et dans l’espace. Ces risques là sont indirectement liés aux éruptions. Ils peuvent êtres déclenchés par la combinaison des processus volcaniques et de la météo, les raz-de-marée (tsunamis), les coulées de boue, les glissements de terrain. D’autres conséquences peuvent être prises en compte dans le tableau des risques volcaniques comme la famine, les épidémies, la contamination des eaux souterraines et de surface… Il va de soit que la région dans laquelle se situe le volcan qui entre en éruption est très importante au niveau du calcul des risques. Une éruption majeur dans une zone fortement peuplée comporte plus de risque qu’une éruption explosive majeur dans une zone sans habitations. réponse de : http://www.explic.com/8443-volcaniques.htm 21

Le piton de la fournaise est un volcan encore actif aujourd ‘hui qui d ‘après de nombreuses éruption dangereux ou non , continue a « cracher  » sa lave sur l’île de la Réunion .

Le Piton de la Fournaise est un volcan effusif, de point chaud et isolé, situé au sud-est de la Réunion, qui atteint 2631 mètres d’altitude.

Il est caractérisé par des coulées de lave jaune et rouge fluide. Lorsqu’elle refroidit, sa lave se transforme en une roche sombre, appelée basalte.

Il est en forme de cône avec un cratère.

Le volcan est connu depuis 1638. Il a eu environ une éruption par an.

Depuis 1977, la science et les chercheurs ont fait de lui un observatoire scientifique. Puis en 1982, la commission européenne le désigne comme « volcan laboratoire ». La particularité de ce volcan est que ses coulées de laves liquides passent toujours par le même endroit, ou presque, qui est appelé l’enclos.

Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.

(Source : GEO n° 244, Juin 1999)

Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.

(Source : GEO n° 244, Juin 1999)

Episode de la série Risques majeurs. En ce début du XXIème siècle, 10 % de la population mondiale vit sous la menace directe d’un volcan. Depuis plusieurs décennies, la volcanologie a beaucoup progressé dans sa compréhension des mécanismes éruptifs, mais est-ce suffisant pour en protéger les hommes ? En volcanologie, tout repose sur la prévision de l’éruption. Tourné en compagnie de l’équipe de l’Observatoire volcanique de l’île de La Réunion (IPGP, INSU, CNRS), ce film relate heure par heure les méthodes de prévision scientifique comme les gestes les plus instinctifs face à une situation de crise.

Voici un inclinomètre servant à mesurer les déformations.

(Source : GEO n° 244, Juin 1999)

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Comment prévoir une éruption volcanique

1) prévoir une éruption
Les volcans sont principalement connus pour leur pouvoir destructeur. Pour prévoir une éruption il faut, bien connaître le volcan que l’on étudie. Ainsi, le volcanologue, est d’abord un historien qui tente de reconstituer les éruptions antérieures, d’estimer leurs ampleurs, et de les dater. Ce travail permet d’établir une carte dite de risques où sont définies les zones les plus dangereuses. Ainsi, les différentes zones d’évacuation sont caractérisées selon le type d’éruption pressenti .

 

 

2) il est impossible de prévoir exactement une éruption volcanique
Il est impossible à 100 % de les prevoir avec certitude. Tout dépend aussi du volcan; certains sont tellement rapides qu’on ne sait détecter une éruption que quelques minutes avant ; D’autres sont plus lents, et certains signes peuvent alerter, par exemple des fumerolles, des tremblements de terre, la disparition des oiseaux indique souveht une éruption.
En plaçant des capteurs dans la corolle du volcan on peut visualiser l’augmentation de la pression et de le température, on peut alors déduire un « risque » d’éruption mais on ne peut pas prévoir une date précise..
Pour prévoir les éruptions, les chercheurs :
  • étudient d’abord l’histoire du volcan. Les couches de laves et de cendres présentes renseignent sur la force et la fréquence des éruptions antérieures.
  • enregistrent les secousses situées près du volcan. Les éruptions sont toujours précédées de secousses, ce qui permet de déterminer le foyer du volcan avec précision.
  • mesurent les modifications des pentes des volcans. Lorsqu’une éruption se prépare, le magma gagne la surface et le volcan se fissure et se déforme. Ces mesures se font grâce à des appareils appelés inclinomètres ou à des relevés topographiques si la variation des pentes du volcan est importante.
  • enregistrent le champ magnétique situé autour du volcan. En effet, la circulation du magma et des gaz entraîne de légères modifications de ce champ magnétique. Pour cela, les données d’appareils, les magnétomètres, sont comparées à celles de stations de référence.
  • peuvent procéder à d’autres expertises telles l’usage de satellites, les relevés de température et de gaz….Il faudra atteindre le milieu du dix-neuvième siècle pour voir naître la volcanologie, avec l’installation du premier véritable observatoire scientifique sur le Vésuve. Apparaissent alors plusieurs dispositifs plus ou moins efficaces qui permettent d’étudier les phénomènes physiques liés aux volcans, comme les ondes sismiques ou le gonflement du sol.

A l’aide d’appareils compliqués  et de la connaissance du terrain on peut estimer à court terme, quand le magma remplit la chambre magmatique, le délai de la prochaine éruption (marges d’erreurs importantes). Par contre son amplitude et ses particularités sont imprévisibles.
nous avons été sur :

 

http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20061023114715AA2fl3C et

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/Lapicque/tpe/studer/les_volcans.htm et

http://www.orantiwe.fr/spip.php?article22

 

ERUPTION VOLCANIQUE A POMPEI

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A POMPEI IL YA EU UNE ERUPTION VOLCANIQUE  DU VESUVE :

Le 24 août 79, une violente éruption du Vésuve, volcan que l’on croyait éteint à jamais, provoque l’enfouissement de la riche cité romaine de Pompéi sous une pluie de cendres volcaniques. Le même jour, le port voisin d’Herculanum, à l’habitat plus populaire, disparaît, lui, sous une coulée de roches et de laves. Pompéi se retrouve enfouie sous 6 mètres de lapilli (fines particules de roches volcaniques) et Herculanum sous 16 mètres de boues. Sorties de l’oubli 1700 ans plus tard, ces deux cités nous ont permis, grâce à leur malheur soudain, de connaître la civilisation romaine à son apogée avec autant de précision que si elle s’était éteinte hier.
Apres l’éruption et les coulées de boues les habitants de pompéi se sont retrouvés engloutis par les coulées de boue et la cendre.
Cette photo montre le vésuve en pleine éruption Nombre de morts à pompei: 2000 à pompei et des dizaines de milliers aux alentours D ate de l’éruption du vésuve: 24 aout 79 av j-c L’éruption du volcan Vésuve, en l’an 79, a été dramatique pour les habitants qui vivaient autour. En quelques heures, plusieurs cités romaines ont été entièrement détruites. La plus célèbre est la ville de Pompéi. Depuis, de nombreux vestiges ont été découverts sous les cendres, ainsi que les cadavres des habitants. 2000 ans plus tard, ces corps étaient restés dans la même position qu’au moment de la catastrophe. Mais les scientifiques ne savaient pas avec précision comment ils avaient trouvé la mort. Jusqu’alors, on supposait qu’ils avaient été asphyxiés. En fait, en examinant 80 squelettes d’un peu plus près, des archéologues italiens viennent de comprendre ce qui s’est réellement passé, ce jour d’août 79… 12 heures après le début de l’éruption, une violente vague de poussière et de gaz brûlants s’est abattue sur la cité. Elle a pénétré à l’intérieur des abris où les habitants s’étaient réfugiés. Et leurs corps auraient brûlé en une fraction de seconde. Vu la position des ossements qui ont été retrouvés, on pense que les gens n’ont même pas eu le temps de se débattre. Ensuite, des cendres plus froides ont enveloppé chaque corps. Ce qui a permis de les conserver presque intacts. Une vidéo qui montre l’éruption du vésuve pour faire notre blog nous avons + utilisé google image et terra nova

Le vésuve

Le mont Vésuve (monte Vesuvio en italien, Vesuvius mons en latin) est un volcan italien d’une hauteur de 1 281 mètres, bordant la baie de Naples, à l’est de la ville. Il s’agit du seul volcan d’Europe continentale à être entré en éruption durant les cent dernières années,Il est à l’origine de la destruction des villes de Pompéî Herculanum, Oplonti, et Stabies, ensevelies le 24 août 79 sous une pluie de cendres et de boue qui, ainsi, les a conservées jusqu’à nos jours dans leur état antique. Il est entré en éruption de nombreuses autres fois au cours des derniers millénaires et est considéré comme un des volcans les plus dangereux du monde en raison de sa tendance explosive et surtout de la population importante qui vit à ses abords. même s’il est actuellement en sommeil ; sa dernière éruption date de 1944.Il a inspiré de nombreuses légendes et représentations au cours des siècles. La montagne est classée parc national depuis 1995. 800px-vesuvius_from_plane

Voyage en Auvergne : Le Lac d’Aydat

exposé 4e2

Le Lundi 13 Octobre, nous nous sommes (4e2 et 4e3) rendu en Auvergne, nous sommes partis à 7h00 environ, vers 9h30 à 10h nous étions au volcan de Lemptegy, un volcan exploité, ensuite, vers 13h30 – 14h00 au Puy de Dôme, vers 15h30 – 16h au Puy de la Vache et nous sommes juste passé au Lac d’Aydat, nous étions à La Châtre à 20h15.

 

 

Le Lac d’Aydat est le plus grand lac d’Auvergne, sa superficie est de 65 hectares. Il a été formé à cause d’un barrage volcanique, c’est à dire une coulée de lave. Il y a une île dessus, qui s’appelle l’île St Sidoine pour rappeler que l’évêque Sidoine Apollinaire qui possédait une villa romaine sur les côtes du Lac. Il se trouve à 837 mètres au dessus du niveau de la mer et fait au plus bas 15 mètres de profondeur.

 

 

Nous sommes allés au Lac d’Aydat où nous ne sommes pas resté longtemps à cause du retard que nous avions pris au Puy de la Vache. Nous ne sommes même pas sortis du car, seul les professeurs sont sortis. Nous avons pu prendre tout de même quelques photos à travers les vitres du car.

 

 

Ecrit par : Louis S. 4e2 Vivien G. 4e2 Albéric J. 4e2 Ivan B. 4e2

LE VOLCAN DE LEMPTEGY

Le volcan de lemptegy est un site unique que nous avons visité le 13 octobre 2008.

 

Apres la seconde guerre mondiale, l’extraction de ses materiaux, comme la pouzzolane (scorie volcaniques) débute pour reconstituer des villes de Normandie (Rouen en particulier).

Petit à petit, cette exploitation a permis de dégager le coeur et l’anatomie du volcan. Nous découvrons alors des couches de laves venues de plusieurs volcans (puy de dome, volcan de lemptegy…) et que ce volcan a deux cheminées.

 

Né il y a 30 000 ans, ce volcan a connu plusieurs éruptions. Il possède plusieurs sortes de pierre ( rouges du coté de la cheminée et noires si elles sont à l’ecart). La pouzzolanne sert aussi à faire des parpaings. Il y a 4 sorte de bombes, les bombes en boules (qui font plusieurs aller et retours dans la cheminée avant de se faire éjecter)

les bombes en bouses de vaches (qui s’applatissent au sol)

les bombes en fuseau (qui tourne trés rapidement sur elles même et s’allongent

et les bombes en choux-fleurs (qui sont trempées quand elles touchent le sol).

Malgré toutes les choses que l’on a pus découvrir le volcan de lemptegy est loin d’avoir divulgé tous ses secret.