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Les recommandations « Manger Bouger »

  

 

Les recommandations «mangerbouger»

 

 

 << Le Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative et l’INPES lancent une nouvelle campagne de communication pour rendre plus concrets deux des neufs repères de consommation du Programme national nutrition santé (PNNS) : « Au moins 5 fruits et légumes par jour » et « Des féculents à chaque repas ». Cette campagne vise à mettre fin aux idées reçues et à transmettre tous les trucs et astuces pour adopter ces repères au quotidien.

 

Bien manger, c’est le début du bonheur !! 

Bien manger n’est pas inné et ce que nous mangeons chaque jour est lié à nos habitudes, à nos modes de vie, à nos goûts… L’alimentation et l’activité physique sont à la fois des plaisirs de l’existence et des clefs essentielles pour maintenir un bon état de santé ou le recouvrer. Aujourd’hui, il est en effet scientifiquement établi que « bien manger » et « bien bouger » sont des facteurs de protection contre les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète, l’obésité… Fruits et légumes, féculents : une consommation encore insuffisante.

Seuls 42,8 % des adultes et 20 % des enfants de 3 à 17 ans consomment au moins 5 fruits et légumes par jour. Entre 1999 et 2006, on note cependant une augmentation de la consommation de fruits frais et transformés de 10 % chez les hommes et de 24 % chez les femmes. Le prix, en particulier des fruits et légumes frais, le temps et le savoir-faire nécessaires pour les préparer sont des freins au passage à l’acte.

 

Quels sont les bons aliments ?

Du bon dans les aliments « mauvais pour vous » Quelques aliments sont condamnés sans raison valable. Tenez, le chocolat, la viande de bœuf et le fromage par exemple – nous les appelons nos péchés mignons et nous les blâmons pour notre taux de cholestérol élevé, nos problèmes cardiaques et l’élargissement de notre tour de taille. Mais sont-ils vraiment si mauvais pour nous ? Zannat Reza, diététiste à Toronto, fait le point sur 5 aliments soi-disant mauvais qui sont en fait bons pour votre santé.

 

 Aux moins 5 fruits et légumes par jours!!!

 

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 Les maladies de la santé :

Il peut y avoir plusieurs maladies de la santé qui sont :

-Hypertension

-Diabète

-Cholestérol

-L’obésité

-Des maladies neuromusculaires…

 

Les maladies neuromusculaires sont nombreuses (plus de 200 maladies différentes) et quasiment toutes d’origine génétique.

Ces maladies concernent aussi bien les enfants que les adultes.

Ce sont des maladies du muscle ou de son innervation motrice (atteinte de l’unité motrice). Il en résulte une atteinte de la fonction motrice (bouger, respirer, … : tout ce qui se fait avec des muscles).

Certaines maladies neuromusculaires sont d’une extrême gravité, d’autres permettent une vie quasi-normale. Elles sont d’expressions variables : les symptômes, pour un même diagnostic, peuvent varier d’une personne à l’autre.

Les symptômes, l’âge de début, la sévérité de l’atteinte, diffèrent également selon les maladies : les fonctions motrices, respiratoires, cardiaques, digestives peuvent être diversement perturbées.

Toutes les cellules de l’organisme contiennent les mêmes informations génétiques (le génotype) sous forme d’ADN (composant le génome). L’expression des gènes contenus dans le génome aboutit à la fabrication de protéines qui assurent le fonctionnement des cellules, avec des spécificités selon les organes. Le fonctionnement des muscles dépend donc lui-aussi de nombreuses protéines.

Ces protéines sont localisées et agissent à différents niveaux de l’unité motrice : au niveau du muscle lui-même, du corps cellulaire ou de l’axone du nerf moteur qui excite le muscle, ou de la jonction entre le nerf et le muscle. L’apparition de la plupart des maladies neuromusculaires est due à des modifications génétiques (mutations dans certains gènes) qui aboutissent à des protéines non fonctionnelles ou peu fonctionnelles, voire pas de protéine du tout. Selon la localisation de la protéine touchée par la mutation, la maladie neuromusculaire sera différente.

 

Une maladie rare est une affection touchant un nombre restreint de personnes (faible prévalence), à savoir moins de une personne sur 2000 selon le seuil admis en Europe ; en France, on dit qu’une maladie est rare si moins de 30 000 personnes en sont atteintes. On dénombre environ 7000 maladies rares dont 80% sont d’origine génétique, mais chaque semaine, de nouvelles maladies rares sont définies. Les maladies rares concernent 3 à 4 millions de personnes en France, et près de 25 millions en Europe. Un grand nombre de ces pathologies sont aussi dites «orphelines» parce que les populations concernées ne bénéficient pas de réponse thérapeutique.

Ce dossier décrit les actions menées par le ministère de la Santé pour la prise en charge de ces maladies, et notamment les mesures destinées à faciliter la vie des personnes atteintes : organisation de la prise en charge des malades (soins, recherche, médicaments orphelins), intégration dans la vie scolaire et professionnelle, aides financières et humaines. Il indique les textes réglementaires qui régissent ces mesures.

 

  Morgane et Marielle

Les recommandations « mangerbouger » .

                                                                 « Bien manger pour bien se porter« 
Les effets des excès, de la sédentarité et de l’affaiblissement des repères alimentaires ont engendré une montée continue de l’obésité et des pathologies liées à une mauvaise nutrition, comme le diabète «gras», les maladies cardiovasculaires ou certains cancers. La France s’est dotée en 2001 d’un Programme National Nutrition Santé et est ainsi devenue le premier pays européen à disposer d’une telle stratégie. Le PNNS 1 (2001-2006) a établit un socle de repères nutritionnels, qui constitue désormais la référence française officielle :
  1. « Pour votre santé, mangez au moins cinq fruits et légumes par jour »
  2. « Pour votre santé, pratiquez une activité physique régulière »
  3. « Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé »
  4. « Pour votre santé, évitez de grignoter entre les repas ».
Le PNNS 2 s’est doté de nouvelles ambitions en matière de prévention, de dépistage précoce et de prise en charge des troubles nutritionnels (obésité, dénutrition). Il s’est fixé 9 objectifs prioritaires :
  1. Augmenter la consommation de fruits et légumes
  2. Augmenter la consommation de calcium
  3. Réduire la contribution moyenne des apports lipidiques totaux
  4. Augmenter la consommation de glucides
  5. Réduire l’apport d’alcool chez ceux qui consomment des boissons alcoolisées
  6. Réduire de 5 % la cholestérolémie moyenne dans la population des adultes
  7. Réduire de 10 mm de mercure la pression artérielle systolique chez les adultes
  8. Réduire de 20 % la prévalence du surpoids et de l’obésité
  9. Augmenter l’activité physique quotidienne par une amélioration de 25 % du pourcentage des sujets faisant l’équivalent d’au moins 1/2h de marche rapide par jour.

 

Afin d’atteindre ces objectifs, le PNNS 2 a développé 9 repères de consommation alimentaire, faisant l’objet de campagnes de communication de grande ampleur, que nous voyons en ce moment sur toutes les chaînes hertziennes. %% Je vous fais un résumé des principaux points : Au moins 5 fruits et légumes par jour
  • A chaque repas et en cas de petits creux,
  • Qu’ils soit crus, cuits, nature ou préparés, frais, surgelés ou en conserve.
Céréales à chaque repas et selon l’appétit  
  • Favoriser les aliments céréaliers complets ou le pain bio.
  • Privilégier la variété.
3 produits laitiers par jour  
  • Privilégier la variété.
  • Privilégier les fromages les plus riches en calcium, les moins gras et les moins salés.
1 à 2 fois viande ou poisson par jour  
  • En quantité inférieure à celle de l’accompagnement.
  • Viandes : privilégier la variété des espèces et les morceaux les moins gras.
  • Poisson : au moins 2 fois par semaine.
Limiter la consommation des matières grasses  Privilégier les matières grasses végétales (huiles d’olive, de colza…).
  • Favoriser la variété.
  • Limiter les graisses d’origine animale (beurre, crème…).
Limiter la consommation du sucre
  • Attention aux boissons sucrées.
  • Attention aux aliments gras et sucrés à la fois (pâtisseries, crèmes dessert, chocolat, glaces…).
De l’eau à volonté
  • Au cours et en dehors des repas.
  • Limiter les boissons sucrées (privilégier les boissons allégées).
  • Boissons alcoolisées : ne pas dépasser, par jour, 2 verres de vin (de 10 cl) pour les femmes et 3 pour les hommes. 2 verres de vin sont équivalents à 2 demis de bière ou 6 cl d’alcool fort.
Limiter la consommation du sel
  • Préférer le sel iodé.
  • Ne pas resaler avant de goûter.
  • Réduire l’ajout de sel dans les eaux de cuisson.
  • Limiter les fromages et les charcuteries les plus salés et les produits apéritifs salés.
Activité physique
  • Au moins l’équivalent d’une demi-heure de marche rapide chaque jour
  • A intégrer dans la vie quotidienne : marcher, monter les escaliers, faire du vélo…
S’il est recommandé de limiter la prise de certains aliments, il n’est pas question d’en interdire la consommation. De temps en temps, on peut s’offrir un petit plaisir ! Comme vous le voyez, c’est une véritable stratégie qui s’est mis en place, de la prévention par le biais de guides nutritionnels jusqu’à la prise en charge de l’obésité. Vous pouvez télécharger ces guides nutrition sur le site http://www.mangerbouger.fr/ Et vous que pensez-vous de ce programme ?

                                        Article réalisé par : Léa T.  

Habitudes de vie et apparition de maladies

Manger et bouger pour rester en forme !

Alexandre G.

Florent S.

I – Manger

      Manger, tout d’abord, permet d’apporter le carburant nécessaire à l’organisme. Afin de permettre au plus grand nombre de vieillir en bonne santé, il est important de mettre l’accent sur le rôle de la prévention grâce à la nutrition. Il est conseillé aux personnes de ne pas abuser d’aliments nocifs pour le poids. Pour cela le Ministère de la santé utilise des slogans omni-présents dans les publicités : « Pour votre santé évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé » comme dans les chaînes privilégièes pour enfants.  Les enfants qui sont les premiers touchés par cette sociétè de consommation, basée sur les aliments justement sucrés, salés ou gras. Car les parents, voulant faire plaisir à leurs enfants, leurs offrent ce qu’il désirent et donc le poids des enfants en général s’en ressent : 13.3 % des enfants scolarisés sont obèses d’après un sondage datant de 2000. Mais le chiffre est en croissance constante. Exemples d’aliments trop gras : chocolat au lait ( Kinder, Milka ), trop sucrés : bonbons en tous genres ( Dragibus, Fraises tagada de la marque Haribo ), trop salés : Monster Munch, chips. 

   

 

II – Bouger    

    Il est établi que  « bouger » est un  facteur de protection contre les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète. Pratiquer différents sports permet de renforcer les défenses immunitaires, de plus beaucoup de personnes ne trouvent pas le sommeil et le sport permet de régler ce problème. Le sport est aussi un très bon moyen de supporter les tâches quotidiennes comme le ménage, les déménagements… Ils sont également des moyens efficaces pour diminuer les risques d’ostéoporose et restent des éléments décisifs de la prévention de la prise de poids. Bouger réside dans l’exercice sportif quotidien. Cela permet de brûler les calories en trop présentes dans l’organisme après avoir ingéré des aliments nocifs à notre organisme. Le repère à garder en tête en matière d’activités physiques : l’équivalent d’au moins 30 minutes de marche rapide par jour pour un adulte et de 60 minutes pour un enfant. Il ne suffit pas de faire une pratique intense toute les semaines mais de le faire peu à peu chaque jour. La marche rapide ou le footing est une activité accessible à tous et très efficace pour la perte de poids. D’autres sport sont très complets comme la natation et donc très efficace. Mais plus vous bougerez plus votre poids baissera. Bouger permet de prendre « conscience » de son corps et de donner envie d’en prendre soin. Cela permet aussi de développer la force musculaire.

Causes et conséquences de l’obésité sur la santé.

 

CAUSES ET CONSEQUENCES DE L’OBESITE SUR LA SANTE

Comment devient-on obèse ?

 En mangeant, avec plaisir,mais au delà de sa faim.

 Enfant obèse

Un enfant qui mange devant la télévision, hypnotisé par des images bruyantes, est déconnecté de son appétit, mais pas de son centre de perception du plaisir. Il apprécie ce qu’il regarde et apprend à son corps à prendre du plaisir à trop manger. Il deviendra, très vite, inféodé à la nourriture, au plaisir de dépasser son appétit, et, une fois alourdi, appréciera de ne plus bouger. L’enfant à qui on ne refuse rien apprend à confirmer son aversion pour les épinards et à augmenter son amour pour le chocolat ou les bonbons. Il n’apprend pas l’équilibre ou les aspects salubres de certains aliments. Être seul devant son réfrigérateur, se mettre à la diète, se gaver comme un ortolan…. C’est mésestimer la force de son corps et courir à l’échec physiologique, psychologique et affectif. Il ne peut y avoir de diète sans déséquilibre. L’équilibre nutritionnel est basé sur la quantité de plaisir nécessaire à chacun. Car le plaisir exerce un effet de manque sur le corps, une contrainte si forte qu’il peut aller jusqu’à le persécuter, voir même, l’entraîner vers la mort.

 

Quels sont les pays les plus touchés par l’obésité ?

L ‘organisation mondiale de la santé n’hésite pas à parler d’ « épidémie mondiale ». Dans les zones urbaines des pays pauvres, les plats gras et sucrés, peu chers et immédiatement disponibles, concurrencent la nourriture traditionnelle, plus coûteuse et plus longue à préparer. Toujours durement touchés par l’insuffisance alimentaire, les pays les plus pauvres de la planète souffrent désormais également de son contraire, c’est-à-dire de l’obésité. Les pays les plus touchés sont les Etats-Unis, le Mexique et le Japon etc.

 

En rouge les zones les plus touchés par l’obésité aux Etats-unis.

 

L’obésité est-elle héréditaire  ?

La première carte génétique de l’obésité sévère vient d’être mise au point par une équipe internationale. A terme, ce décryptage devrait permettre l’identification précoce des enfants à risque d’obésité, et surtout la mise en place de stratégies médicales préventives personnalisées.

Ces travaux révèlent que l’étude des formes familiales d’obésité sévère est particulièrement utile pour comprendre les causes génétiques de cette maladie soulignent les auteurs. Une cause qui est tout de même estimée à 70%. Mais attention, cela ne réduit en rien le rôle fondamental du comportement alimentaire dans la régulation et l’évolution de la corpulence humaine et dans la survenue des obésités sévères de l’enfant. En clair, si le terrain génétique de l’obésité est désormais incontestable, l’impact d’une alimentation déséquilibrée et de la sédentarité l’est tout autant. Rappelons enfin que de nombreuses études ont démontré qu’un enfant obèse ou en surpoids à l’âge de 13 ans, avait un risque 2 fois plus élevé que les autres de demeurer obèse à l’âge adulte. C’est dire l’importance de maîtriser le poids de nos enfants. Donc en clair, non l’obésité n’est pas héréditaire mais le surpoids peut l’être.

 

Quels sont les principaux aliments glycémiques ?

Les principaux aliments glycémiques, donc qui contiennent trop de sucres sont tout d’abord les sodas (coca, fanta etc…), la nouriturre de fast food (hamburgers, frites, pizzas…), les produits laitiers tels que le beurre, les biscuits, les pâtisseries, les bonbons etc…

L’index glycémique (IG) est un classement des glucides. Il permet de mieux identifier cette catégorie d’aliments pour en faire les bons choix.

 

 

Enfants obèses dans un fastfood

 

Conclusion

 L’ augmentation de l’obésité est donc due à la modification de notre mode de vie, la crise financière est en effet aussi un des facteurs de l’obésité, les médias nous poussent à consommer des produits de plus en plus riches en glucide. De plus, lorsqu’un enfant s’est blessé de façon à rester dans son lit ou sa chambre pendant plusieurs mois, et bien il ne sait pas quoi faire alors il grignote, il devient de plus en plus dépendant à la nourriture et en veut toujours plus…Les « grignotages » se multiplient surtout chez les adolescents, ceci peut s’expliquer par une augmentation du stress, et de manière générale une mauvaise hygiène de vie, incompatible avec une alimentation régulière. De plus l’évolution de la technologie engendre des facilités mais entraîne aussi une diminution de la dépense énergétique et favorise l’ implantation des graisses. L’obésité est une maladie qui touche de plus en plus de monde et surtout de plus en plus jeunes, les enfants sont les premiers victimes de l’obésité, ceci reste inquiétant et demande réflexion pour essayer d’endiguer cette épidémie.

Article réalisé par Mathilde et Olivia.3°2

Comment les obèses peuvent-ils maigrir?

 

L’obésité concerne  12,4 % de la population en France, contre 11,3% en 2003 et 8,2% en 1997.

Cause De l’Obésité: 

La première cause de l’obésité est un excès de nourriture. Il est, en effet, fréquent que les personnes obèses mangent trop. Mais ce n’est pas toujours le cas, et certaines d’entre elles mangent relativement peu ; inversement, l’on voit des personnes maigres qui ingèrent quotidiennent des rations caloriques très élevées. On peut, pour partie, incriminer des différences dans l’activité physique, mais cela ne suffit pas à expliquer toutes les disparités.

 

Les dangers de l’obésité: 

  cardiovasculaire : les personnes obèses ont 3 fois plus de risque d’hypertension artérielle. respiratoire : souffrir d’un excès de poids peut entraîner une insuffisance respiratoire (essoufflement à l’effort). cancéreuse : les risques de décès à la suite d’un cancer sont majorés chez les personnes souffrant d’obésité ( + 55 % chez les femmes et + 33 % chez les hommes).  

Le Régime en lui même:

Avant de débuter un régime, il faut d’abord s’assurer que celui-ci est nécessaire et que la volonté de le suivre est réelle. Il est inutile de se mettre au régime si votre motivation n’est pas solide.  1.Manger de tout mais modérement et équilibré 2.Faire du sport régulièrement  Sont deux manière de maigrir efficacement contraiment au régime « Perdez 5 kilos en 5 jours » par exemple qui ne marche souvent pas.

QUELQUES REGLES POUR NE PLUS ETRE OBESE

L’obésité un vrai problème.

1.L’OBESITE C’EST QUOI ? :

L’ obésité c’est quand on a un problème de poids et 20% de plus que notre poids habituel. (voila une victime de l ‘obésité)

2.COMMENT  Y REMEDIER :

  • Faire du sport assez souvent (mais pas trop).
  • Il y a ensuite des méthodes comme slim data etc….
Quelques conseils :
  • Phase 1 : environ 21 jours (pour perdre du poids) A chaque repas : trois choix dans la zone verte ou deux choix dans la zone verte + un choix dans la zone orange.
  • Phase 2 : environ 21 jours (pour stabiliser la perte de poids). A chaque repas : un choix dans la zone verte + deux choix dans la zone orange.  Exceptionnellement, pour deux repas par semaine (non consécutifs) : un choix dans la zone verte + un choix dans la zone orange + un choix dans la zone rouge.
  • Phase 3 : (à vie pour ne pas (re)grossir et rester en forme) Toutes les associations sont permises, sauf trois choix dans la zone rouge ou bien un choix dans la zone orange + deux choix dans la zone rouge.
  Ensuite il y a d’autres méthodes mais bon ceci n’est qu’un article de 5ème donc nous n’avons pas noté toutes les possibilités possibles pour mincir ou pour éviter l’obésité…. (cela reste des conseils pour la methode slim data ….Vous n’êtes pas obligé de le pratiquer).

3.PROBLEMES DUS A L’OBESITE

  Quand on a des problèmes de poids il y a des gens qui se moquent de vous car votre démarche est lourde et ankilosée ça se sont des problèmes mineurs. Les vrais problèmes sont ceux qui se répercutent sur la santé . Il y a les problèmes respiratoires La majorité des personnes obèses présentent des altérations des fonctions respiratoires. L’accumulation de graisse au niveau du diaphragme des côtes et de l’abdomen gêne l’expansion de la cage thoracique. Il en résulte une diminution du volume de la réserve expiratoire et une baisse de l’oxygène dans le sang artériel. D’autres problèmes dus à l’obésité : Une partie importante de la population ronfle (50 % à 50 ans), mais 10 % des ronfleurs seulement font des apnées du sommeil. Les signes évocateurs en sont :
  • une fatigue permanente ;
  • des épisodes d’endormissement le jour ;
  • une irritabilité.
Souvent associé au ronflement, le Syndrome d’Apnée du Sommeil, ou SAS, à l’origine d’accidents cardiaques ou cérébraux, peut être détecté. Le SAS constitue la complication la plus sévère de la bronchopathie chronique. L’importance du risque que fait courir le SAS et l’existence de traitements efficaces rendent indispensables le diagnostic de la maladie. Le diagnostic de certitude repose sur un enregistrement du sommeil et de paramètres cardio-respiratoires : la poly-somnographie. Elle est nécessaire pour décider du traitement, pour l’adapter à chaque cas particulier et surveiller son efficacité. Syndrome de Pickwick ( je vous rassure les filles ça touche 4 fois plus l’homme que la femme.) Le patient atteint s’endort à tout moment de la journée mais plutôt pendant des périodes d’inactivité ou après les repas. Le nom de Pickwick a été donné en souvenir du valet de Charles Dickens massivement obèse et cyanosé qui s’endormait dès que son attention n’était plus maintenue en éveil. Le diabète Nous pouvons aussi avoir du diabète et si nous somme obèse en plus et bien cela accentue le diabète… La conclusion que vous pouvez retirer de cet article est : Que pour éviter d’être obèse, il faut surveiller votre alimentation et veiller à faire une activite  physique régulière. Yohann et Samuel