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La transplantation

 

La transplantation

Introduction:

La toute première transplantation date de 1933. Il s’agit d’une transplantation de rein

réalisée à partir d’un donneur décédé. L’intervention a été réalisée par le docteur VORONOY à Khersov (URSS).

I. Les étapes de la transplantation

Les différentes étapes de la transplantation sont:

1)Le donneur potentiel décède.

2)Le corps du défunt est sous surveillance.

3)La famille témoigne pour dire si le défunt n’était pas opposé au don de ses organes.

4)Le laboratoire analyse le sang du donneur.

5)Coordination et régulateur organisent le prélèvement et les greffes.

6)Les organes du donneur sont prélevés.

7)Les organes sont transférés dans les hôpitaux où les receveurs attendent d’être greffés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II. Comment se déroule l’intervention chirurgicale ?

Les circonstances du décès rendent le prélèvement possible. Tant que la décision de prélever n’est pas prise, les organes sont maintenus en état de fonctionnement par l’équipe de réanimation, sous surveillance constante. De plus la salle dans laquelle s’effectue l’opération est une salle stérile. Dans un timing compté à la minute près, chacun sait ce qu’il doit faire. Cette coordination entre les acteurs est indispensable pour que les organes qui ont put être prélevés soient greffés dans les meilleures conditions. C’est une chaîne de vie: la chaine du don à la greffe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

III. Le transport des organes

Si traditionnellement l’organe est simplement déposé dans un bac à glace. Un nouveau système (LifePort™ Kidney Transporter) constitue une alternative au traditionnel «bac à glace» (méthode statique d’entreposage d’organe) en améliorant nettement les conditions de transport et le soin des organes à transplanter.

Le LifePort™ Transporter consiste en un système sophistiqué fournissant une température et une pression constantes et contrôlables combinées à une perfusion utilisant une solution tampon physiologique appropriée. L’organe est mieux préservé dans sa structure et sa fonction et par conséquent, il peut offrir un fonctionnement complet plus rapide de l’organe après la transplantation.

 

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Conclusion:

La transplantation d’organes a connu une avancée technologique grâce au LifePort qui permet de garder l’organe en parfait état.

 

 

Cet article a été réalisé par Gaël Coutant et Dorian Draperie.

 

Liens:

http://www.dondorganes.fr/La-chaine-du-prélèvement-a-la-html

http://www.tpegreffe.com/deacuteroulement-dune-greffe.html

Transfusion sanguines, greffes et transplantations.

Nous allons vous présentez comment se déroule les transplantations et les transfusions sanguines.

 

1.Comment peut-on se procurer un coeur ?

Pour se procurer un coeur il faut une greffe, puis il  faut voir si il est cohérent avec son sang. Puis enfin il faut attendre son tour sur une liste d’attente car ils sont nombreux à avoir besoin d’un organe..

On ce procure un coeur grâce à une personne qui est décédée, et qui à le même groupe sanguin (note du professeur : non les groupes sanguins ne sont pas en cause, il faut que les cellules soient compatibles c’est plus compliqué que les groupes sanguins et c’est surtout beaucoup plus difficile de trouver quelqu’un de compatible).

 

2.Quels sont les risques qu’il peut y avoir lors d’une transplantation ?

Il faut d’abord savoir que les risques des transplantations peuvent être liés soit au receveur, soit au donneur. Par exemple, les nourrissons et les personnes âgées sont des receveurs à haut risque. De même, les donneurs porteurs de cicatrice, d’infection sont également potentiellement à risque. Cependant, chaque étape de la greffe comporte des risques spécifiques : le processus amont mettant en oeuvre le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation du greffon est soumis à une réglementation stricte ; la greffe elle-même pose encore d’importants problèmes de transmission d’infections et des problèmes de rejets du greffon.

Le prélèvement, la conservation, le transport et la transformation des greffons font l’objet de règles de Bonnes Pratiques dans le cadre réglementaire européen d’une démarche qualité. La possibilité de conservation prolongée des tissus dans des banques permet d’envisager des techniques de sécurisation après prélèvement : l’inactivation des tissus chaque fois que cela est possible, la mise en quarantaine des tissus ou cellules provenant de donneurs vivants ou d’un prélèvement multi-organes (le « témoin » donneur vivant ou receveur d’organes est re-testé 4 mois plus tard et le greffon est « libéré » si les sérologies sont négatives).

Le rejet du greffon reste le risque majeur.

 

3. Quels sont les différents types de greffes ?

L’autogreffe consiste à transférer un greffon prélevé chez le receveur lui-même. Il s’agit, par exemple, du transfert, chez le même individu, d’un rein de sa situation normale dans la région lombaire, vers un emplacement placé plus bas dans la région iliaque. Cette intervention est parfois utile pour sauver un rein dont l’abouchement normal dans l’aorte est menacé d’obstruction. Ce type de transplantation « isogénique » ne soulève que des problèmes chirurgicaux. Il peut encore s’agir, dans le cadre d’une intensification thérapeutique de maladies malignes, d’une injection de cellules souches hématopoïétiques autologues de la moelle osseuse ou du sang périphérique, prélevées et retransfusées chez le malade après congélation et cryopréservation.
L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus).
La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme

 

4. Transfusion sanguine.

La transfusion sanguine aujourd’hui:

Les situations médicales dans lesquelles on est amené à réaliser une transfusion sanguine à des malades sont fréquentes et variées, au premier rang desquelles les pertes de sang importantes par hémorragie grave. La transfusion dite « sanguine » consiste de nos jours à administrer par voie intraveineuse des préparations de concentré de globules rouges (concentrés globulaires) obtenues à partir de sang de donneurs anonymes non rétribués. La gestion et la transformation des produits sanguins issus des dons sont assurées en France par l’Etablissement Français de sang.

Les risques de compatibilité:

Le risque premier lors d’une transfusion sanguine est lié à la possibilité de réunir dans le l’organisme du receveur (la personne transfusée) un anticorps et son antigène érythrocytaire. Les globules rouges du donneur sont dits compatibles avec le sang du receveur si le receveur ne présente pas d’anticorps circulants dirigés contre un antigène érythrocytaire du donneur.

 

 

Article réalisé par Cassandre et Ophélie.

Greffe du coeur

1)  Comment peut-on se procurer un coeur pour une greffe ?

Le prélèvement d’organe ou de tissus doit se faire sous forme de donation gratuite et sans conditions.

Le prélèvement s’effectue de deux manières :

Sur donneurs vivants, génétiquement apparentés au receveur (père, mère, fils, fille, grands-parents, frère, sœur) ou émotionnellement liés à celui-ci (époux, épouse).

Sur donneurs décédés en état de mort cérébrale.

Source:  http://joliscoeurs.j.o.pic.centerblog.net/930n1zii.gif

2) A qui propose t-on une greffe du coeur ?

La transplantation cardiaque est proposée aux patients porteurs d’une insuffisance cardiaque grave et irréversible, pour laquelle l’espérance de vie est limitée. Un bilan médical et psychologique complet est effectué afin de savoir s’il existe d’autres maladies pouvant rendre difficile la surveillance ou la prescription de certains médicaments. Après discussion du dossier, le patient est alors « mis sur liste de transplantation » : il est alors susceptible d’être appelé à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit et devra se rendre dans le plus bref délai dans le centre de transplantation.

Source : http://www.gpm.fr/images/stories/graphique_evolution_greffes_organes.JPG

3)  Quelles sont les conditions pour une greffe réussie ?

Il faut : d’une part, greffer un tissu ou un organe dont les caractéristiques biologiques soient les plus proches de celle du receveur: c’est la compatibilité tissulaire ;
d’autre part, maîtriser les phénomènes inéluctables de rejet.

 

Source:  http://www.transplantation-medicale.wikibis.com/illustrations/375px-heart_transplant.jpg

4) Quels sont les complications d’une greffe ?

La complication d’une greffe du coeur peut être le rejet de l’organe par le corps.

L’organisme possède un mécanisme de défense appelé système immunitaire, qui le protège contre toute substance étrangère, comme les bactéries ou les virus. Le système immunitaire du transplanté va identifier le greffon comme un corps étranger et se défendre en le détruisant. C’est ce mécanisme qui est appelé rejet.

Il peut être combattu avec les médicaments anti-rejet mais la possibilité d’un rejet n’est jamais complètement éradiquée.

5) Peut- on être greffé plusieurs fois ?

C’est possible mais on est alors limité par la résistance naturelle du corps humain aux interventions répétées. L’organisme a déjà fabriqué des anticorps dirigés vers l’organe greffé considéré comme étranger.

Sources:

http://www.francois.derouin.free.fr

http://www.fr.wikipedia.org

http://www.yesanswer.com

http://www.theme-3-SVT.skyrock.com

Article réalisé par Louise Leuillet et Clémence Guilbault.

Don, Marché, Trafic des organes

1)  Introduction

Cette exposé porte sur le « Don, Marché, Trafic d’organes ».

Dans un premier temps, nous allons aborder le trafic d’organes pour ensuite s’intéresser  sur la procuration de ce dernier. Dans un troisième temps, nous allons différencier le don et la vente d’organes pour enfin connaître les étapes à parcourir pour s’en procurer.

http://www.laboiteverte.fr/wp-content/uploads/2009/08/coeur.jpg

 

2) Explication du trafic d’organes

Le trafic d’organes est un marché illégal qui se pratique souvent en Amérique du sud et en Afrique.

Il est souvent exercé par des organisations mafieuses par conséquent criminelles et peu scrupuleuses.

Les organisations criminelles internationales ont repéré ce trafic lucratif et font pression sur des personnes en situation de pauvreté extrême, particulièrement dans les pays pauvres, pour les inciter à vendre leurs organes. Des humains sont vendus comme pièces détachées pour répondre à la demande de riches malades en attente de transplantations d’organes. C’est un trafic lucratif organisé par des réseaux mafieux souvent en connexion avec le trafic de drogues, le trafic d’armes et la traite d’êtres humains pour « l’industrie du sexe » (prostitution).

3) procuration d’organes

On peut se procurer des organes de plusieurs manières différentes. L’une consiste à vendre un organe légalement tandis que l’autre consiste à se procurer ces derniers illégalement.

http://www.palestine-solidarite.org/israel-Stealing-Palestinian-Organs-211×300.jpg

Voici une photo d’un palestinien décédé suite à un vol d’organes ( marché noir ) expliqué ci-dessus

 

4) différence entre un don et une vente d’organes

L’un consiste à prévoir, de son vivant, la possibilité de donner ou non ses organes après sa mort soit en signalant à ses proches que l’on est favorable au prélèvement d’organes, soit en portant sur soi une carte de donneur d’organes (elle n’est pas obligatoire mais facilite grandement le don d’organes).

Tandis que l’autre consiste à la vente d’organes qui consiste comme son nom l’indique à vendre ses organes, par opposition au don d’organe.

 

5) Etape à parcourir pour faire un don ou une vente d’organes

Premièrement, pour faire un don ou une vente, on doit se procurer une carte de donneur d’organes.

Dans un second temps, il faut respescter des règles très strictes.

 

 

6) Conclusion

Nous avons constaté que pour se procurer un organes, il y a trois facons, le trafic, le marché et le don.

Le trafic est illégal tandis que les deux autres méthodes sont légales.

Pour vendre un organe, on doit se procurer une carte de donneur et suivre des règles très strictes.

 

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a4/Gray1120-kidneys.png/240px-Gray1120-kidneys.png

 

Pour réaliser notre article nous avons utilisé les sites suivants :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Trafic_d’organe

http://trafics-organes.vefblog.net/

http://www.palestine-solidarite.org/analyses.Nidal.221209.htm

La greffe du coeur.

La greffe cardiaque sert à traiter l’insuffisance cardiaque sévère et terminale. Au cours de cette intervention, une machine pompera le sang dans le reste de votre organisme. La première greffe cardiaque a été faite par Christian Barnard, cardiochirurgien, au Cap en Afrique du Sud le 3 décembre 1967. Il est suivi par Norman Shumway aux États-Unis quelques mois plus tard.

 

  • Comment transportons-nous un coeur ?

De la rapidité du transport dépend la qualité du greffon. Afin d’éviter tout contre-temps, les équipes de greffe disposent de moyens de transport prioritaires particuliers, tels que des ambulances escortées par la police ou encore des jets. Durant tout le trajet, le greffon est maintenu dans des conditions physiologiques optimales afin de ne pas altérer sa viabilité. Temps de conservation du coeur prélevé est de 3 à 4 heures.

 

  • La greffe du coeur

La greffe du coeur est sans nul doute la plus connue. Le cœur humain est un muscle qui bat environ 70 fois par minute et permet, de ce fait, la circulation du sang dans tout le corps. Beaucoup de maladies cardiaques nécessitent le recours de la greffe, mais celle-ci ne doit être envisagée qu’en dernier lieu.                                        

En effet, et grâce aux progrès de la médecine, une greffe n’est que le dernier recours, celui de la dernière chance en quelque sorte. Cependant, la greffe du coeur est devenue un traitement très efficace avec le perfectionnement des techniques et le développement de nouveaux traitements immunosuppresseurs. De ce fait, on obtient des résultats très satisfaisants.La greffe du coeur est effectuée après un prélèvement d’organe sur un sujet en état de mort encéphalique ou sur certaines personnes en arrêt cardiaque et respiratoire, mais uniquement sous certaines conditions. Tout comme les greffes cardiaques, la greffe du poumon est très délicate à réaliser étant donné que les poumons sont très fragiles et ne sont prélevés que dans des conditions très précises.La greffe du rein est aussi une transplantation fréquente, et concerne les patients dont les deux reins ne fonctionnent plus, parce qu’un seul rein suffit pour vivre tout à fait normalement. Certaines greffes sont indispensables et sauvent des vies, d’autres sont faites uniquement pour améliorer le cadre de vie et éviter des traitements lourds.

  • Comment choisir le  receveur ?

Le choix du receveur est réalisé grâce à la Liste des personnes en attente de greffes qui répertorie, comme son nom l’indique, tout individu nécessitant une greffe. Cette sélection se fait selon des règles publiées au journal officiel dont l’objectif est d’utiliser de la meilleure façon possible les greffons prélevés. Si aucun receveur n’est identifié en France, un greffon peut être proposé à l’étranger.

  • Est-ce-qu’un coeur d’homme peut aller à une femme ?

Un coeur d’homme peux aller à une femme parce qu’il n’y pas aucune importance concernant les organes avec le sexe de l’individu.

 

 

 

 

Cet article a été realisé grâce aux sites :

http://www.aphp.fr/site/actualite/mag_organe.htm

http://sante-et-bien-etre.twoclic.com/greffe-du-coeur-1398.html

Par Chaussé Lucille, Airy Marine et Plisson Pauline.

Comment se procurer un rein pour une greffe? R.B et X.P

Les groupes sanguins sont très important pour une greffe, comme dans le cas d’une transfusion sanguine, les groupes de sang du donneur et du receveur doivent être compatibles :

  • Le donneur O est le donneur universel (il peut donner ses organes à tous).
  • Le donneur A peut donner ses organes aux receveurs A et AB.
  • Le donneur B peut donner ses organes aux receveurs B et AB.
  • Le donneur AB peut uniquement donner ses organes aux receveurs de même groupe (bien que le donneur AB soit receveur universel).

Le prélèvement s’effectue de deux manières:

*     Sur donneurs vivants, génétiquement apparentés au receveur (père, mère, fils, fille, grands-parents, frère, sœur) ou émotionnellement liés à celui-ci (époux, épouse).

*    Sur donneurs décédés en état de mort cérébrale. (le coeur bat encore)

 

I LA MORT CEREBRALE

La mort cérébrale peut se définir de la façon suivante :

Certaines personnes, victimes de traumatismes ou d’accidents cérébraux, tombent dans un état de coma dépassé, caractérisé par l’arrêt de toute activité cérébrale. Leur mort doit être attestée par des neurologues suivant des critères scientifiques adoptés mondialement.

Quoique déclarées mortes, leurs battements cardiaques, leur respiration et leur circulation sanguine sont artificiellement maintenus en fonctionnement à l’aide de machines et drogues spéciales, dans une perspective de don d’organes : les organes non irrigués par le sang sont vite nécrosés (morts) en l’espace de quelques minutes et ne peuvent plus servir pour une transplantation.

 

II AVIS DE LA FAMILLE ET CONDITIONS LEGALES

Cette deuxième alternative, éviterait l’ablation d’un rein à un volontaire sain, répondrait au nombre croissant de receveurs en attente et réduirait le trafic de la vente d’organes.

La loi autorise le prélèvement de tissus ou d’organes sur un homme mort, si l’une des deux conditions suivantes est remplie :

Que ces prélèvements aient été autorisés par la personne décédée, soit par un testament réglementaire, soit par un écrit authentifié.

 

http://maxcolas.m.a.pic.centerblog.net/4gztftup.jpg

 

Que la famille du défunt ait donné son avis pour les prélèvements.

Or, en pratique, l’accord écrit du donneur ne suffit pas. Les médecins s’adressent toujours à la famille du défunt qui, très souvent, s’y oppose, malheureusement.

De plus, les personnes décédées, en état de mort cérébrale, n’ont généralement pas pensé à l’éventualité d’un tel accident, ni fait connaître leur acceptation ou leur refus de prélèvement. Les médecins se heurtent, une fois de plus, à l’objection de leurs proches parents.

Le manque de dons cadavériques serait donc principalement dû à la réticence des proches parents d’autoriser le prélèvement et ce, pour diverses raisons :

Leur non information et leur ignorance du concept de mort cérébrale, d’autant plus que ce genre de décès laisse subsister de fausses apparences de vie.

Donc pour limiter le trafic d’organes, la mort des personnes sur liste d’attente et de toutes les autres conséquences  dues au manque d’organes, faites un testament où vous préciserez que, si un jour vous êtes en état de mort cérébrale vous faites le don de vos organes ou alors parlez-en à votre entourage.

Sources:

http://devoirs.fr/svt/comment-se-procurer-un-coeur-rein-pour-une-greffe–68317.html#reponses_53660

Créé par : Pillet Xavier et Bruneau Richard 3°5