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Energie renouvelable

  

LES EOLIENNES

 

 

     Avec l’énergie éolienne, on est tributaire de la force du vent. De grandes éoliennes ont été construites mais les résultats sont parfois bien décevants à cause de l’irrégularité des vents.

     L’énergie éolienne est une énergie renouvelable. Elle tire du nom d’Eole, nom donné au dieu du vent dans la grèce antique. Une éolienne est un dispositif qui utilise la force du vent . Cette force peut être utilisée mécaniquement (dans le cas d’une éolienne de pompage), ou pour produire de l’électricité (dans le cas d’un aérogénérateur). On parle de parc éolien ou de ferme éolienne pour décrire les unités de productions groupées, dites « offshore » si elles sont en mer.

     L’implantation d’éoliennes est dommageable pour l’environnement et le vol des oiseaux. Elle perturbe des territoires de nidification et de séjour des oiseaux. Les critiques les plus souvent formulées sont le bruit qu’elles émettent et leur impact visuel.

 

     Pour installer un parc de 166 oliennes il faudrait , si on les plaçait en ligne, environ 135 km de côte continue pour les accueillir ou une bonne soixantaine de kilomètres en les plaçant en quinconce. Sans compter le couloir nécessaire pour les isoler des populations et des installations humaines de tout types pour remplacer les 60 000MW de Nucléaire installé en France il faudrait donc de l’ordre de 2000 Km de côtes d’éoliennes permanentes. 

 

Il existe plusieurs types d’éoliennes :

 

Eolienne moderne classique à 3 pales :

type_voilure
Eolienne moderne classique à 2 pales : type_classique_bipale1
Eolienne monopale : type_monopale
Eolienne de pompage : type_pompage
Eolienne de Savonius : type_savonius
Eolienne de Darrieus : type_darrieus1
Eolienne en hélice : type_helice
Eolienne à rotor vertical : type_rotor_vertical
   
   

 

Tout ceci pour dire que l’éolien, dans son état de développement actuel le plus avancé, ne peut être qu’une énergie d’appoint pour couvrir nos besoins d’aujourd’hui, en acceptant les contraintes esthétiques et les inconvénients vis à vis de la faune et du bruit.

 

Les Energies renouvelables

 

LES ENERGIES RENOUVELABLES

 

 

Il existe différentes sortes d’énergies renouvelables :

  • énergie solaire : l’énergie solaire est l’energie du soleil par son rayonnement. Sur le long terme, le prix du charbon, du gaz et du pétrole augmente avec l’épuisement de la resource. Le solaire apporte une source inépuisable d’énergie et la commission européenne pour les énergies renouvelables prévoit que l’énergie solaire représentera une part de 20% dans les énergies renouvelables, celles-ci devant apporter 20% de l’énergie en 2020 et 50% en 2040.

 

 

 

 

  • énergie éolienne : l’énergie éolienne est l’énergie du vent et plus spécifiquement, l’énergie tirée du vent au moyen d’un dispositif aérogénérateur comme une éolienne ou un moulin à vent. Deuxième gisment éolien d’Europe, le Royaume Unis. La France tente actuellement de combler le retard accumulé sur son exploitation. L’obligation faite à EDF de racheter l’electricité d’origine éolienne à plus du double de son prix de revient et ce, contre l’avis de la commission de régulation de l’énergie rend les investissements éoliens attractifs. Les objectifs affichés pour l’éolien sont de 10 000 MW en 2010 (6 000 à 9 000 éoliennes).

 

 

  • Le Bio Gaz : Ce sont les matières organiques qui libèrent le biogaz lors de leur décomposition selon un processus de fermentation (méthanisation). On l’appelle aussi « gaz naturel renouvelable »  ou encore « gaz de marais », par opposition au gaz d’origine fossile.

biogaz2

 

Qu’est la méthanisation ?

C’est la fermentation anaérobie (en absence d’oxygéne)  des matières organiques productrices, entre autres de méthane. De plus cela permet une dépollution des matières traitées, et une désodorisation qui est un atout important dans la cas de traitement des effluents venants des élevages.

Comment obtenir du méthane à partir de la biomasse ?

Le pincipe est simple, mais sa mise en pratique est plus compliquée si l’on veut une installation performante et rentable.

Il suffit de faire fermenter la matière organique en absence d’oxygène. La fermentation anaérobie peut se faire dans trois gamme de température :

– Psychrophiles : 15 à 25°

– Mésophiles     : 25 à 45°

– Thermophiles  : 55 à 65°

Le coeur du dispositif est le digesteur. Une cuve constitue le réacteur dans laquelle la matière à traiter est introduite soit de manière continue soit discontinue. Outre la cuve de fermentation l’installation comprend une régulation de température et un dispositif de stockage du gaz.

 

Article réalisé par Edouard C. et Loïc L.

Le chauffage collectif ou individuel par géothermie

Introduction : La géothermie, du grec Géo (la terre) et thermie (la chaleur), est la science qui étudie les phénomènes thermiques internes du globe terrestre et la technique qui vise à l’exploiter. Par extension, la géothermie désigne aussi l’énergie géothermique issue de l’énergie de la Terre qui est convertie en chaleur. On distingue trois types de géothermie :
  • la géothermie peu profonde à basse température ;
    installation
     
  • la géothermie profonde à haute température ;
  • la géothermie très profonde à très haute température.
Ces trois types de géothermie prélèvent la chaleur contenue dans le sol. L’énergie géothermique est exploitée dans des réseaux de chauffage et d’eau chaude depuis des milliers d’années en Chine, dans la Rome antique et dans le bassin méditerranéen. Origine : La plus grande partie de la chaleur interne de la Terre (87%), est produite par la radioactivité des roches qui constituent le manteau et la croûte terrestre : Radioactivité naturelle produite par la désintégration de l’uranium, du thorium et du potassium. Depuis l’aube de l’humanité, l’homme a toujours su tirer partie de cette énergie. Mais la découverte d’énergie plus facilement accessible n’a guerre encouragé son développement.

Principe
principe
  La géothermie peu profonde à basse température
Il s’agit principalement d’extraire la chaleur contenue dans le sous-sol afin de l’utiliser pour les besoins en chauffage. Les transferts thermiques peuvent aussi dans certains cas être inversés pour les besoins d’une climatisation. Les procédés d’extraction de l’énergie diffèrent suivant les solutions retenues par les constructeurs. La méthode utilisée pour assurer les transferts thermiques influe beaucoup sur le rendement de l’ensemble. L’utilisation de l’eau comme véhicule thermique améliore le rendement. Lorsque la terre est utilisée seule pour le transfert thermique le rendement est moins bon que lorsque l’on utilise l’eau. La géothermie peu profonde et basse température utilisera donc de plus en plus les nappes d’eau libre contenues dans le sous-sol alluvionnaire de nos rivières. La profondeur des deux forages aspiration et rejet sont peu profonds. La profondeur du forage est en fonction de la profondeur de la nappe phréatique et de la perméabitelité du sous-sol. En général le principe du « doublet géothermique » est retenu pour augmenter la durée de vie de l’exploitation de la nappe phréatique dans laquelle on puise l’eau chaude. Le principe est de faire deux forages : le premier pour puiser l’eau, le second pour la réinjecter dans la nappe. Les forages peuvent être éloignés l’un de l’autre (un à chaque extrémité de la nappe pour induire un mouvement de circulation d’eau dans la nappe, mais ce n’est pas pratique d’un point de vue de l’entretien) ou rapprochés de quelques mètres mais avec des forages obliques (toujours dans le but d’éloigner les points de ponction et de réinjection de l’eau).  

La géothermie profonde à haute température

Les forages sont dans ce cas plus profonds. La profondeur de forage est en fonction de la température désirée et du gradient thermique local qui peut varier sensiblement d’un site à l’autre. (en moyenne 4 °C par 100 m de profondeur). La méthode utilisée pour les transferts thermiques est plus simple (échangeur de température à contre courant) et ne nécessite pas de fluide caloporteur comme cela est le cas avec la géothermie peu profonde basse température.  

La géothermie très profonde à très haute température

Plus on fore profond dans la croûte terrestre, plus la température augmente. En moyenne, l’augmentation de température atteint 20 à 30 degrés par kilomètre. Ce gradient thermique dépend beaucoup de la région du globe considérée. Il peut varier de 3 °C / 100 m (régions sédimentaires) jusqu’à 1 000 °C / 100 m (régions volcaniques, zones de rift comme en Islande ou en Nouvelle-Zélande). Par rapport à d’autres énergies renouvelables, la géothermie de profondeur (haute et basse énergie), présente l’avantage de ne pas dépendre des conditions atmosphériques. C’est donc une source d’énergie quasi-continue car elle est interrompue uniquement par des opérations de maintenance sur la centrale géothermique ou le réseau de distribution de l’énergie. Les gisements géothermiques ont une durée de vie de plusieurs dizaines d’années (30 à 50 ans en moyenne). Article réalisé par Ghislain C. & Julien G.  

Le Biocarburant

I Définition de biocarburant

Un biocarburant (ou agrocarburant) est un carburant produit à partir de matériaux organiques renouvelables et non-fossiles. Cette production peut se faire à partir d’un ensemble de techniques variées : production d’huile, d’alcool par fermentation alcoolique de sucres ou d’amidon hydrolysé, carburants gazeux obtenus à partir de biomasse végétale ou animale (dihydrogène ou méthane), ou carburants solides comme le charbon de bois. C’est Nikolaus Otto, inventeur du moteur à explosion, qui a créé le biocarburant. La canne à sucre peut être utilisée pour produire du biocarburant ou des aliments. Pour utiliser les biocarburants dans les moteurs, deux approches sont possibles :

-Soit on cherche à adapter le biocarburant à des moteurs conçus pour fonctionner avec des dérivés du pétrole

-Soit on cherche à adapter le moteur au biocarburant naturel, non transformé chimiquement. Plusieurs sociétés se sont spécialisées dans ces adaptations. La substitution peut être totale ou partielle. Cette stratégie permet une production locale et plus décentralisée des carburants.

II Les objectifs

Les objectifs sont  :

=>Réduire la dépendance du pétrole =>Diminuer les émissions de CO2

III Le biocarburant de la première et deuxième génération

carburant  Les biocarburants de première génération sont des alcools ou des esters fabriqués à partir d’une fraction relativement faible des cultures. Ceux de deuxième génération sont élaborés grâce à la totalité des plantes, y compris les résidus végétaux. Nous travaillons donc sur des procédés particuliers qui permettent d’utiliser toute la biomasse, ce qui n’est pas possible avec le procédé classique de fermentation, par exemple. A terme, il sera même possible de transformer les ordures ménagères.

IV Les avantages et inconvénients de la première génération  

Les avantages des carburants de première génération ont vite étaient contredits. Leur forte teneur en oxygène favorise la formation d’oxydes d’azote et d’aldéhydes, ils produisent aussi une pollution dangereuse. De plus, pour arriver à réduire la consommation de pétrole, les hectares qu’il faudrait mobiliser atteignent des chiffres énormes et irréalisables.

 V les avantages et inconvenients du biocarburant de la

deuxième génération

les avantage du biocarburant de la deuxième génération est le faible coût et que c’est bio. Leur inconvénient est leurs coûts très importants de lancement bien que leurs coûts de production eux restent très intéressants.  La production de biocarburant de seconde génération implique un capital de départ 10 fois plus important que celui des usines de première génération et il faut environ cinq ans pour que les usines de deuxième génération puissent ateindre une production maximale.

VI Conclusion

Le biocarburant n’est pas une solution.  La solution serait d’utiliser : des transports en commun, transport de marchandises par le rail ou les voies navigables, efforts des constructeurs pour rendre les véhicules moins gourmands en carburant …

B. Tristan et P. Marvin 3e1

Sites à risques en France

 

 Sites à risques en France

 

 

I Les sites d’uranium.

carte des sîtes d'uranium  

Les principaux sites d’uranium sont surtout situés dans le centre de la France et surtout en Creuse.  Il y a  beaucoup de petits gisements dans l’Est de la france et vers le centre de la France (Massif central). Il n’y a qu’un seul gisement important inexploité qui se trouvent dans le Poitou-Charente. Pour des gisements plus important en quantité d’uranium il y a une usine qui s’est implantée  pour les traitements de minerais,  il y en a une sur chaque site important. L’uranium diminue dans les gisements  maintenant il est importé du Nigeria mais on ne connait pas combien de tonnes commandent la France.   II Centrales nucléaires en France  

carte de disposition des central nucleaires

  Ceci est une carte de toute les centrales nucleaires en France, en 2006 il y avait 58 réacteurs de centrales qui étaient en activité dans 19 centrales en exploitation. Il y a 12 réacteurs nucléaires qui sont arrêtés. Environ 80% de l’énergie électrique française produite est d’origine nucléaire.   Article réalisé par Vincent et Alexis.