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Articles produits par les élèves de 3e1 pendant l’année scolaire 2008-2009.

Le danger de la surpêche du thon rouge en Méditérranée.

 

I – Présentation du thon rouge

Le thon rouge, c’est un poisson mythique, pêché en Méditerranée depuis des millénaires, attendu par les hommes chaque été. Mais ce superbe migrateur, capable d’atteindre les 600 kilos, est aujourd’hui en grand danger. Il faut dire qu’il offre la chair la plus subtile, la plus fine et la plus onéreuse aux amateurs de sushis et de sashimis, de plus en plus nombreux dans le monde.

 Aujourd’hui, les captures de thon rouge ne représentent plus qu’environ 3 pour cent du total des captures en Méditerranée. Malgré cela, cette espèce a conservé son importance économique en raison de la forte demande sur le sushi et le sashimi à l’étranger. Rien qu’aux Etats-Unis, la demande annuelle s’établit autour de 24 000 tonnes, soit plus d’une année entière de captures en Méditerranée.        thonrouge1                                                                                                                                  thon-rouge       Chaque année, les scientifiques et les groupes de défenseurs de la nature poussent leur cri d’alarme : le thon rouge disparaît ! Chaque année on espère que des mesures seront prises pour diminuer la pêche, ou du moins contrôler efficacement les prises autorisées. Car plus de mille bateaux traquent ce poisson dans l’ensemble du bassin méditerranéen, notamment en Libye où on le trouve encore. Et les plus gros, les plus modernes de ces navires, sont capables de faire des coups de filets gigantesques : 200 ou 300 tonnes parfois. L’été dernier, ce seigneur des mers a défrayé la chronique. Sa pêche a été brutalement interrompue, suite aux rapports alarmants des scientifiques et des écologistes. Malgré cela, des infractions et des fraudes ont été commises, notamment chez les français, les italiens et les espagnols. Ainsi, parce que la pêche de ce poisson représente des investissements et des sommes d’argent colossales, chaque année, les règlements sont bafoués et les lois ridiculisées. Aucun Etat européen n’est en mesure de faire respecter les quotas qui lui sont alloués, et de nouveaux scandales apparaissent à chaque campagne de pêche. De Paris à Sète, en passant par l’Espagne et la Turquie où s’est tenue la commission d’attribution des quotas, Thalassa a mené l’enquête sur un massacre organisé qui n’est pas prêt de s’achever.  

 

II – Action contre la pêche du thon rouge       

lundi-200-activistes-de-greenGreenpeace militan contre la surpeche

En juin 2007 Greenpeace médiatisait la situation du thon en Méditerranée. Sa campagne de sensibilisation dénonce une pratique destructrice de la pêche. Pour les scientifiques, le seuil de renouvellement de l’espèce se situerait aux alentours des 15 000 tonnes par an. Le consensus adopté à Dubrovnik en 2006 permet malgré tout d’en pêcher près du double. Un chiffre qu’il faut encore multiplier par deux pour obtenir le total effectif des prises.

Cette baisse de 30% en deux ans est très loin de satisfaire les organisations écologiques, qui ne trouvent pas de mots assez durs pour la qualifier: «requiem pour le thon», «obsèques», «décision désastreuse», «une farce», la victoire du «cynisme» et la «fin de la partie». 

 

III – Le réglement de la commission européenne La Commission européenne a publié un règlement d’urgence concernant l’interdiction de la pêche au thon rouge en Méditerranée à partir du 23 juin 2008. Le directeur général des affaires maritimes et de la pêche de la Commission Européenne estime que les quotas de thon rouge seront atteints à cette date, d’où cette interdiction précipitée.

Le thon rouge, une des espèces les plus prisées en Méditerranée et qui a traversé les siècles sans problème, est aujourd’hui en danger pour cause de surexploitation régionale. Les captures de ce poisson ont atteint le chiffre record de 39 000 tonnes en 1994. Puis, elles ont brutalement chuté à 22 000 tonnes en 2002.   En 2007, les quotas avaient été dépassés de 4400 tonnes, l’UE mettant fin à la pêche du thon rouge au mois de septembre.  

IV – Engraissement du thon
 Selon les estimations de la FAO, la production annuelle de thon rouge grâce à cette technique s’établirait actuellement autour de 25 000 tonnes, soit 10 000 tonnes de plus qu’il y a à peine cinq ans. L’engraissement du thon est principalement pratiqué en Croatie, en Espagne, à Malte et en Turquie. Selon la FAO, cette pratique suscite de vives inquiétudes dans la mesure où, d’une part, elle aggrave une situation rendue fragile par la surexploitation et que, d’autre part, les prélèvements de jeunes thons se font en catimini, rendant pratiquement impossible toute évaluation précise des stocks Le problème s’est corsé avec le développement de l’aquaculture fondée sur les captures de thon rouge au stade juvénile. Egalement connue sous le nom d’«engraissement du thon», cette pratique consiste à capturer de jeunes poissons en mer puis à les enfermer dans des bassins d’élevage où ils sont engraissés en vue de leur commercialisation. Article réalisé par Chris et Karl.

Quelles sont les différences entre la pilule contraceptive et la pilule du lendemain ?

Qu’est-ce qu’une pilule contraceptive ?

La pilule bloque l’ovulation. Il existe de nombreuses pilules, chacune ayant une composition pilule_contraceptive22donnée et un dosage particulier. La pilule contraceptive se prend à une heure fixe chaque jour. Il faut donc choisir l’heure qui convient le mieux pour ne pas risquer de l’oublier. La pilule se présente sous la forme de comprimés de couleurs parfois différentes, disposés dans des plaquettes correspondant à un cycle de traitement. En pratique, il faut prendre un comprimé par jour jusqu’à la fin de la plaquette. Puis, en fonction de la pilule prescrite, il faut attendre quelques jours ou non, avant d’entamer une nouvelle plaquette. Le médecin, le pharmacien, les associations sont là pour nous renseigner. Si la pilule est prise correctement chaque jour, sans oubli, une grossesse est en principe impossible. En cas d’oubli et en cas d’absence de saignements à l’arrêt de la plaquette, il est prudent de pratiquer un test.

Qu’est-ce qu’une pilule du lendemain ?

Ce médicament ne doit être utilisé que de façon exceptionnelle et sous surveillance médicale. En cas d’oubli c’est là qu’intervient la pilule du lendemain. La pilule du lendemain est un médicament que l’on peut prendre si aucune contraception n’a été assurée ou si un moyen de contraception habituel n’a pas été correctement utilisé (oubli de la pilule, rupture de préservatif) lors d’un rapport sexuel.  Il ne faut pas se dire que si j’oublie la pilule « classique » je peux toujours prendre la pilule du lendemain car elle n’évite pas le risque d’une grossesse et la prise régulière de la pilule du lendemain peut perturber le cycle. La pilule du lendemain

Son efficacité est de 95 %, elle dépend du temps écoulé entre le rapport et la prise des comprimés. Après l’utilisation de la pilule du lendemain, il faut continuer sa plaquette de pilule jusqu’à la fin (même si on a pris un comprimé en retard) et attendre les prochaines règles (après 5 jours de retard, faites un test de grossesse ) et utilisez des moyens locaux de contraception en attendant la nouvelle plaquette (préservatifs masculins et féminins, spermicides, stérilet…). Pour celles qui ne prennent pas la pilule, sachez que vous pouvez vous adresser à un médecin ou au planning familial le plus proche de chez vous pour vous faire prescrire un contraceptif adapté à vos besoins hormonaux.

 

Conclusion : La pilule du lendemain ne doit pas devenir une habitude. Elle n’est là qu’en cas d’oublis et ne doit pas prendre la place de la pilule contraceptive.

La pilule contraceptive et la pilule du lendemain ne protègent pas contre les risques de transmission des MST (Maladies Sexuellement Transmissibles) notamment le Sida et l’hépatite B, seul le préservatif offre une véritable protection, alors pour ne courir aucun risque, sortez couvert !

 Article réalisé par Léonore, Chloé, et Blandine.

LA DISPARITION D’ESPECES DANS LES COURS D’EAU

L’écrevisse américaine et l’écrevisse de Louisiane sont deux espèces au pouvoir de colonisation très important. L’introduction de telles espèces dans le milieu naturel constitue un réel danger pour notre écrevisse indigène (l’écrevisse à pattes blanches). En effet, ces écrevisses américaines peuvent être des porteuses saines d’un champignon l’Aphanomyces astaci, qui peut provoquer la mort de notre écrevisse autochtone. Aussi par souci de préservation de notre espèce indigène, les écrevisses américaines et celles de Lousiane sont déclarées nuisibles. A ce titre, il est donc strictement interdit de les introduire dans les eaux libres, de les transporter à l’état vivant et de les commercialiser sans autorisation préfectorale. Et pour limiter leur propagation, le seul moyen écologique est la capture. 

 

Ecrevisse americaine Ecrevisse de Louisiane
Ecrevisse  Américaine  Ecrevisse de Louisiane

« La peste rouge »

Cette espèce américaine a un point fort, elle supporte très bien les eaux polluées, contrairement aux espèces françaises. Mieux encore, elle préfère les eaux victimes de l’activité humaine, riches en matière organique et pauvres en oxygène. Animal robuste, son invasion est très rapide (elle se reproduit trois fois plus vite que les autochtones) et les atteintes à l’environnement sont perceptibles. Elle creuse des terriers dans le sol (jusqu’à deux mètres de profondeur) et endommage sérieusement les berges. Elle s’attaque à la végétation et aux oeufs de poissons. Son autre arme pour se faire une place : sa résistance aux maladies. Mieux, elle est vectrice d’un champignon mortel pour les espèces françaises ! On parle ainsi de la «peste rouge».

 

Comment lutter ?

 

La pêche La solution la plus simple consiste à limiter ses populations par la pêche. Cette activité entretient une pression constante sur les Ecrevisses, ce qui limite le développement de ses populations à un niveau acceptable. La pêche des espèces invasives d’Ecrevisses est d’ailleurs autorisée durant la période d’ouverture officielle de cette activité. Il n’y a pas de taille minimale à respecter et la remise à l’eau des individus vivants est interdite, ainsi que leur transport, afin d’éviter la propagation de l’espèce .

Lutte chimique Dans les pays où les Ecrevisses causent des dégâts, les gestionnaires et les chercheurs ont testé l’effet des pesticides. Plusieurs substances ont été testées. Le fenthion et des pyrèthrinoïdes permettraient d’éliminer les Ecrevisses tout en épargnant les poissons. Cette méthode peut compléter la séparation manuelle des Ecrevisses et des poissons lors des vidanges de plans d’eau. Toutefois, les pesticides éliminent également les autres crustacés présents dans les zones traitées (Ecrevisses autochtones et autres macroinvertébrés). Par ailleurs, les pesticides peuvent provoquer des pollutions non négligeables des milieux aquatiques.

 Article réalisé par Laurène et Justine

Le Biocarburant

I Définition de biocarburant

Un biocarburant (ou agrocarburant) est un carburant produit à partir de matériaux organiques renouvelables et non-fossiles. Cette production peut se faire à partir d’un ensemble de techniques variées : production d’huile, d’alcool par fermentation alcoolique de sucres ou d’amidon hydrolysé, carburants gazeux obtenus à partir de biomasse végétale ou animale (dihydrogène ou méthane), ou carburants solides comme le charbon de bois. C’est Nikolaus Otto, inventeur du moteur à explosion, qui a créé le biocarburant. La canne à sucre peut être utilisée pour produire du biocarburant ou des aliments. Pour utiliser les biocarburants dans les moteurs, deux approches sont possibles :

-Soit on cherche à adapter le biocarburant à des moteurs conçus pour fonctionner avec des dérivés du pétrole

-Soit on cherche à adapter le moteur au biocarburant naturel, non transformé chimiquement. Plusieurs sociétés se sont spécialisées dans ces adaptations. La substitution peut être totale ou partielle. Cette stratégie permet une production locale et plus décentralisée des carburants.

II Les objectifs

Les objectifs sont  :

=>Réduire la dépendance du pétrole =>Diminuer les émissions de CO2

III Le biocarburant de la première et deuxième génération

carburant  Les biocarburants de première génération sont des alcools ou des esters fabriqués à partir d’une fraction relativement faible des cultures. Ceux de deuxième génération sont élaborés grâce à la totalité des plantes, y compris les résidus végétaux. Nous travaillons donc sur des procédés particuliers qui permettent d’utiliser toute la biomasse, ce qui n’est pas possible avec le procédé classique de fermentation, par exemple. A terme, il sera même possible de transformer les ordures ménagères.

IV Les avantages et inconvénients de la première génération  

Les avantages des carburants de première génération ont vite étaient contredits. Leur forte teneur en oxygène favorise la formation d’oxydes d’azote et d’aldéhydes, ils produisent aussi une pollution dangereuse. De plus, pour arriver à réduire la consommation de pétrole, les hectares qu’il faudrait mobiliser atteignent des chiffres énormes et irréalisables.

 V les avantages et inconvenients du biocarburant de la

deuxième génération

les avantage du biocarburant de la deuxième génération est le faible coût et que c’est bio. Leur inconvénient est leurs coûts très importants de lancement bien que leurs coûts de production eux restent très intéressants.  La production de biocarburant de seconde génération implique un capital de départ 10 fois plus important que celui des usines de première génération et il faut environ cinq ans pour que les usines de deuxième génération puissent ateindre une production maximale.

VI Conclusion

Le biocarburant n’est pas une solution.  La solution serait d’utiliser : des transports en commun, transport de marchandises par le rail ou les voies navigables, efforts des constructeurs pour rendre les véhicules moins gourmands en carburant …

B. Tristan et P. Marvin 3e1

Comment se procurer un coeur / un rein pour une greffe ?

 

Comment se procurer les organes ?

Les organes greffés doivent avoir préalablement fait l’objet d’un don. La loi le stipule, d’ailleurs, très clairement : « Le prélèvement d’organe ou de tissus doit se faire sous forme de donation gratuite et sans conditions. »

Le prélèvement s’effectue de deux manières :

Sur donneurs vivants, génétiquement apparentés au receveur (père, mère, fils, fille, grands-parents, frère, sœur) ou émotionnellement liés à celui-ci (époux, épouse).

Sur donneurs décédés en état de mort cérébrale.

Cette deuxième alternative, éviterait l’ablation d’un rein à un volontaire sain, répondrait au nombre croissant de receveurs en attente et réduirait le trafic de la vente d’organes.

La loi autorise le prélèvement de tissus ou d’organes sur un homme mort, si l’une des deux conditions suivantes est remplie :

Que ces prélèvements aient été autorisés par la personne décédée, de son vivant, soit par un testament réglementaire, soit par un écrit authentifié.

Que la famille du défunt ait donné son avis pour les prélèvements.

Or, en pratique, l’accord écrit du donneur ne suffit pas. Les médecins s’adressent toujours à la famille du défunt qui, très souvent, s’y oppose.

De plus, les personnes décédées, en état de mort cérébrale, n’ont généralement pas pensé à l’éventualité d’un tel accident, ni fait connaître leur acceptation ou leur refus de prélèvement. Les médecins se heurtent, une fois de plus, à l’objection de leurs proches parents.

Refus de la famille:

Le manque de dons cadavériques serait donc principalement dû à la réticence des proches parents d’autoriser le prélèvement et ce, pour diverses raisons :

Leur non information et leur ignorance du concept de mort cérébrale, d’autant plus que ce genre de décès laisse subsister de fausses apparences de vie.

La mort cérébrale (ou encéphalique) peut se définir comme de la façon suivante :

Certaines personnes, victimes de traumatismes ou d’accidents cérébraux, tombent dans un état de coma dépassé, caractérisé par la destruction de toutes les cellules du cerveau. Leur mort doit être attestée par des neurologues suivant des critères scientifiques adoptés mondialement.

Quoique déclarées mortes, leurs battements cardiaques, leur respiration et leur circulation sanguine sont artificiellement maintenus en fonctionnement à l’aide de machines et drogues spéciales, dans une perspective de don d’organes : les organes non irrigués par le sang sont vite nécrosés (morts) en l’espace de quelques minutes et ne peuvent plus servir pour une transplantation.

http://www.renaloo.com/liban.htm  

Le commerce d’organes

On voit, dans certains pays, prospérer des bureaux de placement d’organes. Des intermédiaires touchant d’énormes commissions se chargent du recrutement des donneurs dans les villages. Il s’agit pour la plupart de pauvres paysans -quand ce ne sont pas des enfants- acculés à vendre un rein, un œil…, pour permettre à leur famille de survivre. Mutilés, ils ne reçoivent qu’une faible somme tandis que les intermédiaires vendent à prix d’or les organes  » volés  » à des receveurs prêts à mettre le paquet pour continuer. tf1-lci-greffe-organe-2314587_13782 Dans le secteur des tissus humains se développe un autre type d’activités commerciales qui, pour être tolérées par certains états, n’en paraissent pas moins contestables. En effet, contrairement aux organes qui doivent être impérativement greffés dans les 48 heures, les tissus humains peuvent être conservés beaucoup plus longtemps dans des banques. Celles-ci sont spécialisées dans la collecte, la conservation et le traitement des tissus. Evidemment, un tel travail implique des frais. Aussi, existe-t-il deux types de banques : les banques de tissus sans but lucratif et les firmes commerciales. Les premières se contentent de facturer le travail de préparation et de conservation des tissus au prix coûtant. Pour elles, le  » non-profit  » est la règle. En général c’est le cas en Belgique où elles sont soumises au contrôle des pouvoirs publics. Quant aux secondes, elles sont régies selon les principes du commerce. Ces sociétés privées, pour la plupart d’origine nord-américaine, partent du principe que tout service mérite salaire et tirent d’importants bénéfices du traitement des tissus. Une fois de plus, la loi du profit se heurte à l’éthique d’une médecine égalitaire et basée sur la solidarité et la générosité. http://users.skynet.be/web/drt/trafic.htm travail réalisé par Coralie C. et Romain T.

Le sida, comment le dépister?

Un test de dépistage du vih est nécessaire a chaque fois qu’il y a eu prise de risques : rapport non protègé, rupture du préservatif, partage de matériel d’injection. Il est proposer systématiquement aux femmes en début de grossesse . Il s’impose ou partenaire qui ne souhaite plus utiliser le préservatif.

 

Faire un test de dépistage n’est jamais obligatoire mais toujours une démarche volontaire.

Il existe différents tests de dépistage du hiv. Le teste elisa test standard recherche dans la sang les anticorps du vih . Ce sont les substances produites par le corps en réaction à la présence du virus . Si l’on détecte ces anticorps dans le sang on peut donc conclure à la présence du vih . Le test de l’antigénémie p24 recherche une partie du virus qui n’est détectable qu’à une période donnée.

Ne pas attendre pour connaître son statut sérologique après une prise de risque, on peut:

- sous 48h : se rendre au plus vite aux urgences de l’hôpital le plus proche ou un traitement post exposition (tpe) pourra être prescrit pour limiter l’infection.

- de 15 à 28 jours : le test d’antigenemie p24 dit test précoce dès la quatrième semaine : les anticorps peuvent éventuellement être détectés par le test elisa, de toute façon, pour un résultat certain un test de dépistage elisa doit être effectué 3 mois après la prise de risque.

Le dépistage du vih, permet, en cas de résultats positifs d’initier un suivi médical adapté qui permettra de contrôler l’évolution de l’infection et d’intervenir au bon moment avec des traitements appropriés.

Trop de personnes découvrent leur seropositivité alors qu’elles sont déjà en phase sida.

source:http://www.curiosphere.tv/sida/soigner.cfm