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La théorie de l’évolution

Les journalistes scientifiques prouvent que différentes parties du corps humain constituent des marques de l’évolution et de la sélection naturelle.

 

1 le tendon

Tout d’abord, dans une vidéo, les journalistes scientifiques tendent à montrer que le corps humain constitue, en réalité, le produit de l’évolution et de la sélection naturelle. Certaines parties de notre anatomie ne remplissent en effet plus leurs fonctions primaires, mais sont bien restées présentes. 
Par exemple: lorsque l’on étend notre bras sur une surface plane, on peut remarquer un tendon lorsque l’on joint notre pouce et notre auriculaire. Si non, pas de panique, vous faites partie des 10 à 15% de la population qui ne possède pas de tendon du muscle long palmaire. Cette absence ne constitue en aucun cas un handicap. 
Si vous possédez le tendon du muscle grand palmaire, vous êtes une preuve vivante que l’Homme
est le cousin du singe.

2 l’oreille

Ensuite, les preuves ne s’arrêtent pas là. Lorsqu’un bruit se fait entendre, l’oreille de l’Homme essaye inconsciemment de bouger vers la direction de ce bruit, sans y arriver. L’Homme possède en effet trois muscles situés autour du pavillon de l’oreille. Les muscles auriculaires antérieur, supérieur et postérieur sont tous atrophiques, c’est-à-dire que les cellules de ces muscles ont perdu, au fil du temps et de l’évolution, leur poids et leur volume. C’est la raison pour laquelle, nous ne pouvons pas bouger nos oreilles, comme certains animaux par exemple le chien ou le chat.

3  le coccyx

Enfin, un dernier exemple, le coccyx. Cet os situé à l’extrémité de la colonne vertébrale se termine par la soudure de quatre vertèbres atrophiées, et constitue en réalité une sorte de queue. Une partie du corps qui existait chez les ancêtres de l’Homme, mais qui une fois de plus, a diminué au cours de l’évolution. Dans le cas de l’Homme, les cellules de cette ‘queue’ sont programmées pour disparaître quelques semaines après leur apparition, au stade embryonnaire. Dans des cas extrêmement rares cependant, une mutation permet aux cellules de l’emporter sur l’évolution naturelle. Résultat, un enfant peut naître avec une excroissance dans le bas du dos.

 

Pour conclure, tous ces exemples nous montrent qu’au  fil du temps l’être humain n’a cessé d’évoluer et  des parties du corps s’atrophient ou se rallongent.


source : l’express (votre corps est la preuve de la théorie de l’évolution)

source de l’image

http://static.lexpress.fr/medias_10874/w_640,c_fill,g_north/muscles-auriculaires_5567519.jpeg

source des textes

http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/video-votre-corps-est-la-preuve-de-la-theorie-de-l-evolution_1774965.html

Réalisé par Blin Garance et Dietz Justine